Dans une précédente news nous vous informions que le Consortium Arbus industrie volait au secours de Microsoft dans sa condamnation par la cour européenne pour monopole.

Cela obligeait Microsoft à payer une amende de 497 millions de dollars, de retirer son Windows Media Player de son système d' exploitation et de partager ses sources vis à vis de ses concurrents afin qu'ils développent des solutions.

Microsoft avait-il été pris sous l' aile du géant du transport aérien '

Toujours est-il qu'un démenti de Airbus vient d' être communiqué comme quoi il y avait méprise sur les termes. 

Le choix de l'avionneur européen montrerait aussi "que la décision de la Commission nuit aux efforts d'innovation des entreprises européennes, en restreignant leur capacité à améliorer leurs produits pour pouvoir répondre aux besoins nouveaux des consommateurs", a ajouté l'avocat de Microsoft. Selon Horacio Gutierrez, la "compétitivité" des groupes européens est même en jeu. 

Un porte-parole du tribunal de première instance a parallèlement expliqué que, pour intervenir en tant que tiers dans une affaire en cours, une entreprise devait prouver qu'elle serait directement concernée par la décision finale. 

D'ailleurs ce vendredi, Airbus a rectifié le cap et fait machine arrière. Le consortium dément tout soutien à Microsoft. "Nous restons totalement neutres, nous ne prenons pas parti", a insisté une porte-parole du constructeur d'avions.

Airbus aurait simplement demandé une clarification sur un point relatif aux critères de définition d'un marché utilisés dans le dossier Microsoft, pour souligner que l'article du Financial Times faisant état d'un soutien d'Airbus à Microsoft était totalement infondé.

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Source : silicon.fr / cyberpouvoir