Piratage : la liste noire de l'industrie du disque aux États-Unis

Comme l'année dernière, la Recording Industry Association of America s'inquiète des sites de streaming ripping.
À l'instar de la MPAA, la RIAA a adressé au Bureau du représentant américain au commerce sa liste de marchés les plus connus au monde pour le vol de contenu (PDF). Comme l'année dernière, l'association de défense des intérêts de l'industrie du disque aux États-Unis pointe du doigt le stream ripping.
Rien de surprenant en cela, cette charge contre le stream ripping a été récemment reprise par la Fédération internationale de l'industrie phonographique (IFPI). Qui plus est, l'actualité récente a été marquée par la fermeture du plus populaire site de stream ripping Youtube-mp3.org basé en Allemagne.
Selon la RIAA, cette fermeture emblématique a eu des conséquences sur des sites similaires qui ont cessé de proposer la conversion et le téléchargement de vidéos musicales sur YouTube. Tous n'ont cependant pas pris peur, et la RIAA dit suivre en particulier plus de 70 sites actifs de stream ripping.
Ceux qui sont le plus dans le collimateur sont Mp3juices.cc, Convert2mp3.net, Savefrom.net, Ytmp3.cc, Convertmp3.io, Flvto.biz et 2conv.com. Hormis le cas du stream ripping, la RIAA veut mettre la pression sur des sites de recherche et de téléchargement (1), des sites et trackers BitTorrent (2), des sites d'hébergement de fichiers (3), et des sites de téléchargement payants sans tous les accords nécessaires (4).
La RIAA souligne en outre une croissance significative du nombre de sites opérés depuis le Nigeria qui distribuent des liens de téléchargement illégal.
(1) : Newalbumreleases.net, Rnbxclusive.top, DNJ.to
(2) : Thepiratebay.org, Rarbg.to, 1337x.to, Torrentdownloads.me
(3) : 4shared.com, Uploaded.net, Rapidgator.net, Zippyshare.com, Dopefile.pk, Chomikuj.pl
(4) : Mp3va.com, Mp3fiesta.com
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Le gouvernement ne veut pas d'un dispositif qui renforcerait les sanctions sur les internautes dans le cadre de la lutte contre le piratage des contenus protégés par des droits d'auteur.
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Une impressionnante coalition du divertissement veut actionner ses leviers anti-piratage pour résoudre le problème mondial du piratage en ligne de contenus. Mais on ne voit pas trop comment pour le moment.
Vos commentaires Page 1 / 2
Donc faudra attaquer également :
-Box
-Google drive
-OneDrive
- Hubic
etc .....
Bon courage les gars ....
Pareil pour les autres :
Le plus gros, Uptobox :
"Uptobox is commited to cooperate with any and all legal authorities if an investigation should arise."
http://uptobox.com/pages/tos.html
Ils le font tous.
et qu'ils sont étasuniens....
tjrs pareil avec les états-unis : concurrence globale pour tous mais pas pour nous. le rouleau compresseur étasunien a déjà détruit pas mal de culture sur la planète. avec cette saloperie de droits extraterritorial, ils se croient au supermarché global ces connards !
Megaupload ça avait fait rager plus d'un, maintenant on en parle plus '
Y aura toujours d'autres gens pour ouvrir d'autres sites
Oui, ceci découle de ce que je disais plus haut le Le 09/10/2017 à 13:03
Mais je pense aussi que google est plus puissant que les administrateurs de ces trucs machins choses. Ils "possèdent" les informations de masses et les meilleurs experts en data-minning depuis belle-lurette. Je n'en mettrai pas ma main a couper, mais je suis presque sûr que même la NSA/ CIA / FBI n'a pas de meilleurs experts en data-mining que google.
Les GAFAMIOC et « NATU » (Netflix, Airbnb, Tesla, Uber) dominent et abusent de tous ce que les autres entreprises ne peuvent pas mettre en place comme l’évasion fiscale (qu'on appel "optilmisation" de nos jours ...
Ils faut penser que c'est un moteur de recherche, qu'il est principalement géré par des algorithmes et que c'est pas le boulot de Google de dire si chaque site est légal ou pas en dépis de leur algorithmes..