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C’est dans un paisible coin de la ville parisienne que j’ai pu retrouver mes collègues de la presse afin de débuter la présentation du jeu après seulement quelques minutes d’attente. Le temps de situer le contexte historique et conceptuel du jeu, mais aussi d’attendre les retardataires...
Prénommé Hour of Victory, le jeu développé par nFusion s’inspire des grandes séries historiques telles que Call of Duty, Medal of Honor ou encore Brothers In Arms dans l’optique d’y prolonger le concept FPS. Respectant un tant soit peu les événements historiques de la Seconde Guerre mondiale, le jeu nous conte avec brio les aventures de trois soldats au cœur bien accroché.
Bien que le jeu ne respecte pas avec précision l’histoire de l’humanité, Midway s’est appliqué à modéliser soigneusement les environnements ainsi que les armes présentes dans le jeu. Ces dernières se montrent relativement efficaces et ressemblent de près comme de loin aux armes réelles.
Du MP40 au M1 Garand en passant par le célèbre M1903 Springfield, Hour of Victory nous offre la possibilité d’utiliser à bon escient de nombreuses armes issues de la guerre. Divisé en quatre chapitres qui eux-mêmes sont subdivisés en quatre sous chapitres, le jeu possède un explicite morcellement servant à distinguer les différents théâtres de combat allant du désert africain aux bases enneigées nazies.
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Chacune des missions peut être accomplie aux commandes d’un des trois différents personnages disponibles. Ce tripartisme bien que basique donne l’accès à une multitude de chemins spécifiques à une classe donnée. Selon son style de jeu, le joueur pourra choisir parmi un sniper, un ranger ou encore un commando.
Ces trois classes se distinguent à l’aide de leurs armes de prédilections ainsi que de leurs prédispositions physiques et mentales. Ainsi le sniper pourra faire usage de son arme sur de très longues distances, et pourra dans le même temps faire usage des cordes d’escalade dans l’optique de rejoindre des lieux propices au tir de haute précision.
Quant au commando, ce dernier se voit doter de capacités physiques lui permettant de bouger à travers de lourds obstacles, de défoncer les portes ou plus intéressant encore, de foncer dans le tas grâce à son imposante résistance.
Selon leurs dispositions physiques, chacun de nos trois protagonistes se voient logiquement attribués une capacité de résistance propre à leur corps qui définit au final notre capacité à absorber des dégâts.
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Pour finir nous avons le ranger qui comme son nom l’indique devra faire usage de la ruse et de la discrétion dans le but d’accomplir sa mission. Equipé d’un Sten MK-II silencieux et d'un couteau, notre homme sera à même de se cacher dans l’ombre pour y surprendre ses ennemis et pourquoi pas les poignarder discrètement.
C’est dans des environnements détaillés mais malheureusement peu interactifs que nous évoluerons aux cotés d’une interface claire et fort lisible, signalant sans cesse les ennemis à proximité, les alliés ainsi que nos objectifs à atteindre.
Hour of Victory présente un système de dégâts similaire à Call of Duty 2, dans lequel il faudra se mettre à couvert en cas d’assombrissement de l’écran qui indique une dangereuse escalade vers le Paradis.
Toujours en développement, nous n’avons actuellement pu jouer à la version finale mais bel et bien à une version bêta datant d’avril 2007 ce qui pourrait à titre d’exemple expliquer la flottante IA allant de la forte réactivité au laisser-aller complet. Cela ne nous a par ailleurs pas empêché d’explorer diverses missions qui donnaient un bon aperçu du jeu final exclusif à la Xbox 360.
Date de sortie prévue pour le 29 Juin 2007 sur Xbox 360
