AUDIOVISUEL Apr=E8s les d=E9clarations de leur pr=E9sident sur les
=ABanomalies=BB de l'audiovisuel public, des vedettes de
Francet=E9l=E9visions s'expliquent sur leur contrat.
[20 octobre 2005]
VENTE d'=E9missions au contenu flou, commandes de programmes jamais
diffus=E9s, contrats avec clauses avantageuses... Deux jours apr=E8s
l'attaque de Patrick de Carolis, le pr=E9sident de Francet=E9l=E9visions,
les animateurs-producteurs vedettes des cha=EEnes publiques se
d=E9fendent.
Interrog=E9s par Le Figaro, certains entrepreneurs du PAF se disent
tr=E8s sereins. =ABJe ne me sens pas du tout vis=E9 par la pol=E9mique=BB,
confie Thierry Ardisson, pr=E9sentateur de Tout le monde en parle sur
France 2.
Depuis huit ans, il se dit animateur-concepteur. =ABJ'avais une
soci=E9t=E9 de production, j'ai aujourd'hui une soci=E9t=E9 de programmes.
Mon boulot est de cr=E9er des =ABpackages=BB : un concept, un titre, un
animateur, un d=E9cor et une strat=E9gie de lancement=BB, poursuit-il.
Tout le monde en parle est produit par Catherine Barma.
Un audit interne tr=E8s redout=E9
C'est elle qui g=E8re l'op=E9rationnel. Thierry Ardisson poursuit :
=ABContrairement =E0 certaines stars du service public, je n'ai aucun
passe-droit. Je n'ai aucune autre garantie que mon succ=E8s. Une clause
de mon contrat stipule que je dois atteindre une part d'audience de
20%. Si je fais 17%, je suis vir=E9. Or, depuis la rentr=E9e, j'atteins
29%.=BB
Patrick S=E9bastien dont l'=E9mission Le Plus Grand Cabaret du monde sur
France 2 affiche 30% de parts de march=E9, deux fois plus que l'audience
pr=E9vue dans son contrat, est lui aussi tranquille.
=ABJamais je n'ai couru apr=E8s les cases. D=E9cors, danseurs... L'argent
se voit dans mes =E9missions. Je n'ai jamais eu les facilit=E9s qu'ont
d'autres animateurs-produc teurs.=BB
D'autres comme Jean-Luc Delarue, Dominique Cantien, Daniela Lumbroso et
Marc-Olivier Fogiel sont vis=E9s. Ce sont eux qui redoutent le plus
l'audit interne, publi=E9 en d=E9cembre. Contact=E9, Marc-Olivier Fogiel
n'a pas souhait=E9 commenter mais R=E9my Pflimlin, l'ancien directeur
g=E9n=E9ral de France 3, d=E9ment que son contrat contienne une prime
li=E9e =E0 ses performances.
Chez R=E9servoir Prod, la soci=E9t=E9 de Jean-Luc Delarue, on rappelle que
=ABle contrat sign=E9 avant l'arriv=E9e de Patrick de Carolis avait pour
cons=E9quence une baisse du chiffre d'affaires de 28%=BB. Au cours de ces
deux derni=E8res ann=E9es, il a fondu de 50% du fait d'arr=EAt
d'=E9missions, comme C'est mon choix, ou de changement de p=E9riodicit=E9,
comme le Grand Zapping. Et de conclure : =ABNous sommes loin de la rente
de situation d=E9nonc=E9e ici et l=E0.=BB
La productrice Dominique Cantien r=E9fute l'accusation selon laquelle
des =E9missions lui auraient =E9t=E9 command=E9es sans cahier des charges
bien d=E9fini.
=ABLes contrats pass=E9s pour les trois prime times - et non sept -
sont pr=E9cis dans leur contenu et tr=E8s =E9crits=BB, se d=E9fend-elle. Il
s'agit de deux =E9missions avec des imitateurs et d'Un soir sur terre
consacr=E9 =E0 la gendarmerie d'=E9lite.
=ABTout cela a =E9t=E9 amorc=E9 par l'=E9quipe pr=E9c=E9dente, mais sign=E9=
en
toute transparence par Philippe Baudillon, le nouveau patron de France
2=2E Autrement dit, jamais je n'ai b=E9n=E9fici=E9 de privil=E8ges.=BB Dani=
ela
Lumbroso ne se sentirait pas plus concern=E9e : les trois =E9missions
qu'elle a anim=E9es et produites, comme Joe Dassin, avaient =E9t=E9
d=E9crites pr=E9cis=E9ment lors de leur vente.
Pourquoi Patrick de Carolis a-t-il choisi d'exposer sur la place
publique ces probl=E8mes internes ? =ABIl veut =EAtre transparent=BB,
estime Jean-Marc Morandini qui commente sur Europe 1 l'actualit=E9 des
m=E9dias.
=ABCarolis est dans une logique d'assise de son pouvoir : elle passe par
l'=E9tablissement de ses propres r=E8gles de gouvernance=BB, analyse un
producteur. Certains membres du CSA observent la situation avec
perplexit=E9.
Avant l'=E9t=E9, Francet=E9l=E9visions a d=E9j=E0 fait l'objet d'un audit
approfondi de la Cour des comptes et plus r=E9cemment du contr=F4le
d'Etat. Aucune de ces instances n'a d=E9cel=E9 de manquements graves =E0
la l=E9galit=E9, puisque la voix de son ma=EEtre est correctement relay=E9e.
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Christian PRIEUR
Aucun d'entre eux ne me fera jamais pleurer sur son sort................................
"Helmut Prod" a écrit dans le message de news:
AUDIOVISUEL Après les déclarations de leur président sur les «anomalies» de l'audiovisuel public, des vedettes de Francetélévisions s'expliquent sur leur contrat.
[20 octobre 2005]
VENTE d'émissions au contenu flou, commandes de programmes jamais diffusés, contrats avec clauses avantageuses... Deux jours après l'attaque de Patrick de Carolis, le président de Francetélévisions, les animateurs-producteurs vedettes des chaînes publiques se défendent.
Interrogés par Le Figaro, certains entrepreneurs du PAF se disent très sereins. «Je ne me sens pas du tout visé par la polémique», confie Thierry Ardisson, présentateur de Tout le monde en parle sur France 2.
Depuis huit ans, il se dit animateur-concepteur. «J'avais une société de production, j'ai aujourd'hui une société de programmes. Mon boulot est de créer des «packages» : un concept, un titre, un animateur, un décor et une stratégie de lancement», poursuit-il. Tout le monde en parle est produit par Catherine Barma.
Un audit interne très redouté
C'est elle qui gère l'opérationnel. Thierry Ardisson poursuit : «Contrairement à certaines stars du service public, je n'ai aucun passe-droit. Je n'ai aucune autre garantie que mon succès. Une clause de mon contrat stipule que je dois atteindre une part d'audience de 20%. Si je fais 17%, je suis viré. Or, depuis la rentrée, j'atteins 29%.»
Patrick Sébastien dont l'émission Le Plus Grand Cabaret du monde sur France 2 affiche 30% de parts de marché, deux fois plus que l'audience prévue dans son contrat, est lui aussi tranquille.
«Jamais je n'ai couru après les cases. Décors, danseurs... L'argent se voit dans mes émissions. Je n'ai jamais eu les facilités qu'ont d'autres animateurs-produc teurs.»
D'autres comme Jean-Luc Delarue, Dominique Cantien, Daniela Lumbroso et Marc-Olivier Fogiel sont visés. Ce sont eux qui redoutent le plus l'audit interne, publié en décembre. Contacté, Marc-Olivier Fogiel n'a pas souhaité commenter mais Rémy Pflimlin, l'ancien directeur général de France 3, dément que son contrat contienne une prime liée à ses performances.
Perplexité chez certains membres du CSA
-- PUBLICITE -- Regardez LCP, ça déchire son hémicycle ! --
Chez Réservoir Prod, la société de Jean-Luc Delarue, on rappelle que «le contrat signé avant l'arrivée de Patrick de Carolis avait pour conséquence une baisse du chiffre d'affaires de 28%». Au cours de ces deux dernières années, il a fondu de 50% du fait d'arrêt d'émissions, comme C'est mon choix, ou de changement de périodicité, comme le Grand Zapping. Et de conclure : «Nous sommes loin de la rente de situation dénoncée ici et là.»
La productrice Dominique Cantien réfute l'accusation selon laquelle des émissions lui auraient été commandées sans cahier des charges bien défini.
«Les contrats passés pour les trois prime times - et non sept - sont précis dans leur contenu et très écrits», se défend-elle. Il s'agit de deux émissions avec des imitateurs et d'Un soir sur terre consacré à la gendarmerie d'élite.
«Tout cela a été amorcé par l'équipe précédente, mais signé en toute transparence par Philippe Baudillon, le nouveau patron de France 2. Autrement dit, jamais je n'ai bénéficié de privilèges.» Daniela Lumbroso ne se sentirait pas plus concernée : les trois émissions qu'elle a animées et produites, comme Joe Dassin, avaient été décrites précisément lors de leur vente.
Pourquoi Patrick de Carolis a-t-il choisi d'exposer sur la place publique ces problèmes internes ? «Il veut être transparent», estime Jean-Marc Morandini qui commente sur Europe 1 l'actualité des médias.
«Carolis est dans une logique d'assise de son pouvoir : elle passe par l'établissement de ses propres règles de gouvernance», analyse un producteur. Certains membres du CSA observent la situation avec perplexité.
Avant l'été, Francetélévisions a déjà fait l'objet d'un audit approfondi de la Cour des comptes et plus récemment du contrôle d'Etat. Aucune de ces instances n'a décelé de manquements graves à la légalité, puisque la voix de son maître est correctement relayée.
Aucun d'entre eux ne me fera jamais pleurer sur son
sort................................
"Helmut Prod" <president_helmut@yahoo.fr> a écrit dans le message de news:
1129908426.847737.251150@g47g2000cwa.googlegroups.com...
AUDIOVISUEL Après les déclarations de leur président sur les
«anomalies» de l'audiovisuel public, des vedettes de
Francetélévisions s'expliquent sur leur contrat.
[20 octobre 2005]
VENTE d'émissions au contenu flou, commandes de programmes jamais
diffusés, contrats avec clauses avantageuses... Deux jours après
l'attaque de Patrick de Carolis, le président de Francetélévisions,
les animateurs-producteurs vedettes des chaînes publiques se
défendent.
Interrogés par Le Figaro, certains entrepreneurs du PAF se disent
très sereins. «Je ne me sens pas du tout visé par la polémique»,
confie Thierry Ardisson, présentateur de Tout le monde en parle sur
France 2.
Depuis huit ans, il se dit animateur-concepteur. «J'avais une
société de production, j'ai aujourd'hui une société de programmes.
Mon boulot est de créer des «packages» : un concept, un titre, un
animateur, un décor et une stratégie de lancement», poursuit-il.
Tout le monde en parle est produit par Catherine Barma.
Un audit interne très redouté
C'est elle qui gère l'opérationnel. Thierry Ardisson poursuit :
«Contrairement à certaines stars du service public, je n'ai aucun
passe-droit. Je n'ai aucune autre garantie que mon succès. Une clause
de mon contrat stipule que je dois atteindre une part d'audience de
20%. Si je fais 17%, je suis viré. Or, depuis la rentrée, j'atteins
29%.»
Patrick Sébastien dont l'émission Le Plus Grand Cabaret du monde sur
France 2 affiche 30% de parts de marché, deux fois plus que l'audience
prévue dans son contrat, est lui aussi tranquille.
«Jamais je n'ai couru après les cases. Décors, danseurs... L'argent
se voit dans mes émissions. Je n'ai jamais eu les facilités qu'ont
d'autres animateurs-produc teurs.»
D'autres comme Jean-Luc Delarue, Dominique Cantien, Daniela Lumbroso et
Marc-Olivier Fogiel sont visés. Ce sont eux qui redoutent le plus
l'audit interne, publié en décembre. Contacté, Marc-Olivier Fogiel
n'a pas souhaité commenter mais Rémy Pflimlin, l'ancien directeur
général de France 3, dément que son contrat contienne une prime
liée à ses performances.
Perplexité chez certains membres du CSA
-- PUBLICITE -- Regardez LCP, ça déchire son hémicycle ! --
Chez Réservoir Prod, la société de Jean-Luc Delarue, on rappelle que
«le contrat signé avant l'arrivée de Patrick de Carolis avait pour
conséquence une baisse du chiffre d'affaires de 28%». Au cours de ces
deux dernières années, il a fondu de 50% du fait d'arrêt
d'émissions, comme C'est mon choix, ou de changement de périodicité,
comme le Grand Zapping. Et de conclure : «Nous sommes loin de la rente
de situation dénoncée ici et là.»
La productrice Dominique Cantien réfute l'accusation selon laquelle
des émissions lui auraient été commandées sans cahier des charges
bien défini.
«Les contrats passés pour les trois prime times - et non sept -
sont précis dans leur contenu et très écrits», se défend-elle. Il
s'agit de deux émissions avec des imitateurs et d'Un soir sur terre
consacré à la gendarmerie d'élite.
«Tout cela a été amorcé par l'équipe précédente, mais signé en
toute transparence par Philippe Baudillon, le nouveau patron de France
2. Autrement dit, jamais je n'ai bénéficié de privilèges.» Daniela
Lumbroso ne se sentirait pas plus concernée : les trois émissions
qu'elle a animées et produites, comme Joe Dassin, avaient été
décrites précisément lors de leur vente.
Pourquoi Patrick de Carolis a-t-il choisi d'exposer sur la place
publique ces problèmes internes ? «Il veut être transparent»,
estime Jean-Marc Morandini qui commente sur Europe 1 l'actualité des
médias.
«Carolis est dans une logique d'assise de son pouvoir : elle passe par
l'établissement de ses propres règles de gouvernance», analyse un
producteur. Certains membres du CSA observent la situation avec
perplexité.
Avant l'été, Francetélévisions a déjà fait l'objet d'un audit
approfondi de la Cour des comptes et plus récemment du contrôle
d'Etat. Aucune de ces instances n'a décelé de manquements graves à
la légalité, puisque la voix de son maître est correctement relayée.
Aucun d'entre eux ne me fera jamais pleurer sur son sort................................
"Helmut Prod" a écrit dans le message de news:
AUDIOVISUEL Après les déclarations de leur président sur les «anomalies» de l'audiovisuel public, des vedettes de Francetélévisions s'expliquent sur leur contrat.
[20 octobre 2005]
VENTE d'émissions au contenu flou, commandes de programmes jamais diffusés, contrats avec clauses avantageuses... Deux jours après l'attaque de Patrick de Carolis, le président de Francetélévisions, les animateurs-producteurs vedettes des chaînes publiques se défendent.
Interrogés par Le Figaro, certains entrepreneurs du PAF se disent très sereins. «Je ne me sens pas du tout visé par la polémique», confie Thierry Ardisson, présentateur de Tout le monde en parle sur France 2.
Depuis huit ans, il se dit animateur-concepteur. «J'avais une société de production, j'ai aujourd'hui une société de programmes. Mon boulot est de créer des «packages» : un concept, un titre, un animateur, un décor et une stratégie de lancement», poursuit-il. Tout le monde en parle est produit par Catherine Barma.
Un audit interne très redouté
C'est elle qui gère l'opérationnel. Thierry Ardisson poursuit : «Contrairement à certaines stars du service public, je n'ai aucun passe-droit. Je n'ai aucune autre garantie que mon succès. Une clause de mon contrat stipule que je dois atteindre une part d'audience de 20%. Si je fais 17%, je suis viré. Or, depuis la rentrée, j'atteins 29%.»
Patrick Sébastien dont l'émission Le Plus Grand Cabaret du monde sur France 2 affiche 30% de parts de marché, deux fois plus que l'audience prévue dans son contrat, est lui aussi tranquille.
«Jamais je n'ai couru après les cases. Décors, danseurs... L'argent se voit dans mes émissions. Je n'ai jamais eu les facilités qu'ont d'autres animateurs-produc teurs.»
D'autres comme Jean-Luc Delarue, Dominique Cantien, Daniela Lumbroso et Marc-Olivier Fogiel sont visés. Ce sont eux qui redoutent le plus l'audit interne, publié en décembre. Contacté, Marc-Olivier Fogiel n'a pas souhaité commenter mais Rémy Pflimlin, l'ancien directeur général de France 3, dément que son contrat contienne une prime liée à ses performances.
Perplexité chez certains membres du CSA
-- PUBLICITE -- Regardez LCP, ça déchire son hémicycle ! --
Chez Réservoir Prod, la société de Jean-Luc Delarue, on rappelle que «le contrat signé avant l'arrivée de Patrick de Carolis avait pour conséquence une baisse du chiffre d'affaires de 28%». Au cours de ces deux dernières années, il a fondu de 50% du fait d'arrêt d'émissions, comme C'est mon choix, ou de changement de périodicité, comme le Grand Zapping. Et de conclure : «Nous sommes loin de la rente de situation dénoncée ici et là.»
La productrice Dominique Cantien réfute l'accusation selon laquelle des émissions lui auraient été commandées sans cahier des charges bien défini.
«Les contrats passés pour les trois prime times - et non sept - sont précis dans leur contenu et très écrits», se défend-elle. Il s'agit de deux émissions avec des imitateurs et d'Un soir sur terre consacré à la gendarmerie d'élite.
«Tout cela a été amorcé par l'équipe précédente, mais signé en toute transparence par Philippe Baudillon, le nouveau patron de France 2. Autrement dit, jamais je n'ai bénéficié de privilèges.» Daniela Lumbroso ne se sentirait pas plus concernée : les trois émissions qu'elle a animées et produites, comme Joe Dassin, avaient été décrites précisément lors de leur vente.
Pourquoi Patrick de Carolis a-t-il choisi d'exposer sur la place publique ces problèmes internes ? «Il veut être transparent», estime Jean-Marc Morandini qui commente sur Europe 1 l'actualité des médias.
«Carolis est dans une logique d'assise de son pouvoir : elle passe par l'établissement de ses propres règles de gouvernance», analyse un producteur. Certains membres du CSA observent la situation avec perplexité.
Avant l'été, Francetélévisions a déjà fait l'objet d'un audit approfondi de la Cour des comptes et plus récemment du contrôle d'Etat. Aucune de ces instances n'a décelé de manquements graves à la légalité, puisque la voix de son maître est correctement relayée.
Thierry
Bonjour,
Helmut Prod a écrit :
-- PUBLICITE -- Regardez LCP, ça déchire son hémicycle ! --
trop fort !
-- « Le travail est probablement ce qu'il y a sur cette terre de plus bas et de plus ignoble. Il n'est pas possible de regarder un travailleur sans maudire ce qui a fait que cet homme travaille, alors qu'il pourrait nager, dormir dans l'herbe ou simplement lire ou faire l'amour avec sa femme. » Boris VIAN
Mon blog RSS : http://yarglah.free.fr/monblog_rss.php <<
Bonjour,
Helmut Prod a écrit :
-- PUBLICITE -- Regardez LCP, ça déchire son hémicycle ! --
trop fort !
--
« Le travail est probablement ce qu'il y a sur cette terre de plus bas et
de plus ignoble. Il n'est pas possible de regarder un travailleur sans
maudire ce qui a fait que cet homme travaille, alors qu'il pourrait nager,
dormir dans l'herbe ou simplement lire ou faire l'amour avec sa femme. »
Boris VIAN
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-- PUBLICITE -- Regardez LCP, ça déchire son hémicycle ! --
trop fort !
-- « Le travail est probablement ce qu'il y a sur cette terre de plus bas et de plus ignoble. Il n'est pas possible de regarder un travailleur sans maudire ce qui a fait que cet homme travaille, alors qu'il pourrait nager, dormir dans l'herbe ou simplement lire ou faire l'amour avec sa femme. » Boris VIAN
Mon blog RSS : http://yarglah.free.fr/monblog_rss.php <<
