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[APPLE 2+] encore :-) [LANGAGE MONITOR]

8 réponses
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MOI
RE §

il y a 25 ans, je codais des programmes binaires directement en
hexadécimal...

aujourd'hui, je découvre ce ça s'appelle le "monitor"...

peut-on dire que je codais en "langage machine" ?

merci.

8 réponses

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Francois LE COAT
Salut,
MOI écrit :
RE §
il y a 25 ans, je codais des programmes binaires directement en
hexadécimal...
aujourd'hui, je découvre ce ça s'appelle le "monitor"...
peut-on dire que je codais en "langage machine" ?
merci.

Oui, le "langage machine" est l’ancêtre de l'assembleur, car il
fallait assembler soi-même. Il s'agit de formuler une suite de
caractères alphanumériques, en hexadécimal, qui permettait de
surpasser la vitesse du Basic natif. Personnellement, je codais
en langage machine il y a 35 ans, sur un Sinclair ZX81. Car mon
tout premier programme a été le jeu de casse-briques, d'aprè s
l'Ordinateur Individuel, en hexadécimal. Ça n'est qu'un peu plu s
tard, grâce au livre de Rodnay Zaks sur le Zilog Z80, que j'ai
compris la signification de cette longue suite alphanumérique,
et que j'ai commencé à coder moi-même des jeux de cette ma nière.
À l'époque (1980) on disait bien que l'on codait en "langage ma chine".
--
François LE COAT
<http://eureka.atari.org/>
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MOI
Après mûre réflexion, Francois LE COAT a écrit :
Salut,
MOI écrit :
RE §
il y a 25 ans, je codais des programmes binaires directement en
hexadécimal...
aujourd'hui, je découvre ce ça s'appelle le "monitor"...
peut-on dire que je codais en "langage machine" ?
merci.

Oui, le "langage machine" est l’ancêtre de l'assembleur, car il
fallait assembler soi-même. Il s'agit de formuler une suite de
caractères alphanumériques, en hexadécimal, qui permettait de
surpasser la vitesse du Basic natif. Personnellement, je codais
en langage machine il y a 35 ans, sur un Sinclair ZX81. Car mon
tout premier programme a été le jeu de casse-briques, d'après
l'Ordinateur Individuel, en hexadécimal. Ça n'est qu'un peu plus
tard, grâce au livre de Rodnay Zaks sur le Zilog Z80, que j'ai
compris la signification de cette longue suite alphanumérique,
et que j'ai commencé à coder moi-même des jeux de cette manière.
À l'époque (1980) on disait bien que l'on codait en "langage machine".

merci !
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Gzavsnap
Le 14/05/2017 à 23:23, Francois LE COAT a écrit :
Salut,
MOI écrit :
Après mûre réflexion, Francois LE COAT a écrit :
MOI écrit :
RE §
il y a 25 ans, je codais des programmes binaires directement en
hexadécimal...
aujourd'hui, je découvre ce ça s'appelle le "monitor"...
peut-on dire que je codais en "langage machine" ?
merci.

Oui, le "langage machine" est l’ancêtre de l'assembleur, car il
fallait assembler soi-même. Il s'agit de formuler une suite de
caractères alphanumériques, en hexadécimal, qui permettait de
surpasser la vitesse du Basic natif. Personnellement, je codais
en langage machine il y a 35 ans, sur un Sinclair ZX81. Car mon
tout premier programme a été le jeu de casse-briques, d'après
l'Ordinateur Individuel, en hexadécimal. Ça n'est qu'un peu plus
tard, grâce au livre de Rodnay Zaks sur le Zilog Z80, que j'ai
compris la signification de cette longue suite alphanumérique,
et que j'ai commencé à coder moi-même des jeux de cette manière.
À l'époque (1980) on disait bien que l'on codait en "langage machine".

merci !

De rien. Il existe deux pages dans le cours de programmation du ZX81
pour expliquer comment se fait le codage en langage machine Z80.
C'est la manière la plus avancée de programmer l'ordinateur, qui
suppose qu'on le maîtrise entièrement. Cela m'a conduit à désassembler
des parties de ROM, pour pouvoir utiliser des routines existantes.
La majorité des logiciels commercialisés étaient codés comme cela.
L'imprimante thermique du ZX81 n'étant pas très lisible, il était
très difficile de décoder la fameuse suite alphanumérique. Rien ne
ressemblait plus à un "8" qu'un "B", ce qui générait des bugs ...
Sans moyen de sauvegarde, et avec 1Ko de RAM au début, voir fonctionner
le "Breakout" la toute première fois a été un émerveillement total !
C'était il y a approximativement 35 ans, avec mon premier ordinateur.

Salut,
Sans rapport avec le "moniteur" Apple, et toujours en lien avec le ZX81...
A l'époque, le ZX81 a eu deux vies.
Au début avec le Basic, très lent et gourmand en mémoire qui plaçait
cette machine sur la derrière place des ordinateurs familiaux à utiliser.
Et un jour, des programmes en langage machine sont arrivés!
Et là, la machine était boostée à des vitesses vertigineuses.
Prés de 10 fois plus rapide que le Basic en ROM, l'assembleur ne pardait
plus sont temps en BlaBla, déplacement de machins et mise à jour de trucs!
Le langage machine, très hermétique et difficile à appréhender sans
outils, s'est imposé ... face à un Basic qui était devenu un sujet de
plaisanterie!
Par contre, il est vrai qu'entrer ces codes mystérieux été forcement un
paris risqué et les plantages étaient très nombreux.
Il n'était pas rare de lire,lire... rerelire des liste de codes pour y
trouver LA faute de frappe qui avait pourri le code.
Par, contre, la surprise était au rendez-vous et la magie de
l'assembleur opérait.
En effet, cette liste de chiffres ne permettait pas d'avoir un aperçu du
programme, contrairement au basic, où des REM ou du texte permettait de
prévoir le fonctionnement du programme.
Pour Apple, le AppleBasic était le minimum vital, car très limité et
limité en taille par des erreurs de superposition de la mémoire
graphique et celle du Basic!
Donc, rapidement, sur celle machine, des outils de programmation ont
vite remplacé ce basic bogué et lent.
Exemple d'assembleur en listing pour Apple 2 (Kyrox):
<http://download.abandonware.org/magazines/Hebdogiciel/hebdogiciel_numero150/03.JPG>
Zx81 (Zx-KONG):
<http://download.abandonware.org/magazines/Hebdogiciel/hebdogiciel_numero123/22.jpg>
Et si la saisie était sans erreur, la joie était à son comble!
Et le jeu une récompense.
;-)
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MOI
Francois LE COAT a utilisé son clavier pour écrire :
Salut,
MOI écrit :
RE §
il y a 25 ans, je codais des programmes binaires directement en
hexadécimal...
aujourd'hui, je découvre ce ça s'appelle le "monitor"...
peut-on dire que je codais en "langage machine" ?
merci.

Oui, le "langage machine" est l’ancêtre de l'assembleur, car il
fallait assembler soi-même. Il s'agit de formuler une suite de
caractères alphanumériques, en hexadécimal, qui permettait de
surpasser la vitesse du Basic natif. Personnellement, je codais
en langage machine il y a 35 ans, sur un Sinclair ZX81. Car mon
tout premier programme a été le jeu de casse-briques, d'après
l'Ordinateur Individuel, en hexadécimal. Ça n'est qu'un peu plus
tard, grâce au livre de Rodnay Zaks sur le Zilog Z80, que j'ai
compris la signification de cette longue suite alphanumérique,
et que j'ai commencé à coder moi-même des jeux de cette manière.
À l'époque (1980) on disait bien que l'on codait en "langage machine".

RE !
j'ai fini par me dire que le "monitor" = environnement, et le langage =
langage machine...
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MOI
MOI a écrit :
Francois LE COAT a utilisé son clavier pour écrire :
Salut,
MOI écrit :
RE §
il y a 25 ans, je codais des programmes binaires directement en
hexadécimal...
aujourd'hui, je découvre ce ça s'appelle le "monitor"...
peut-on dire que je codais en "langage machine" ?
merci.

Oui, le "langage machine" est l’ancêtre de l'assembleur, car il
fallait assembler soi-même. Il s'agit de formuler une suite de
caractères alphanumériques, en hexadécimal, qui permettait de
surpasser la vitesse du Basic natif. Personnellement, je codais
en langage machine il y a 35 ans, sur un Sinclair ZX81. Car mon
tout premier programme a été le jeu de casse-briques, d'après
l'Ordinateur Individuel, en hexadécimal. Ça n'est qu'un peu plus
tard, grâce au livre de Rodnay Zaks sur le Zilog Z80, que j'ai
compris la signification de cette longue suite alphanumérique,
et que j'ai commencé à coder moi-même des jeux de cette manière.
À l'époque (1980) on disait bien que l'on codait en "langage machine".

RE !
j'ai fini par me dire que le "monitor" = environnement, et le langage =
langage machine...

"A monitor is a program which allows you to work directly with your
computer's memory cells"
http://www.atariarchives.org/mlb/chapter3.php
biz
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Gzavsnap
Le 18/05/2017 à 22:35, MOI a écrit :
MOI a écrit :
j'ai fini par me dire que le "monitor" = environnement, et le langage
= langage machine...

"A monitor is a program which allows you to work directly with your
computer's memory cells"
http://www.atariarchives.org/mlb/chapter3.php
biz

A l'époque, tout s'appelait "Moniteur" (MONITOR).
C'était devenu le terme générique pour appeler un programme en ROM,
contenant un langage: Basic, assembleur, désassembleur, Forth..
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Le futur en ordre
Le 15/05/2017 à 20:20, Francois LE COAT a écrit :
Salut,
Gzavsnap écrit :
Francois LE COAT écrit :
MOI écrit :
RE §
il y a 25 ans, je codais des programmes binaires directement en
hexadécimal...
aujourd'hui, je découvre ce ça s'appelle le "monitor"...
peut-on dire que je codais en "langage machine" ?
merci.

Oui, le "langage machine" est l’ancêtre de l'assembleur, car il
fallait assembler soi-même. Il s'agit de formuler une suite de
caractères alphanumériques, en hexadécimal, qui permettait de
surpasser la vitesse du Basic natif. Personnellement, je codais
en langage machine il y a 35 ans, sur un Sinclair ZX81. Car mon
tout premier programme a été le jeu de casse-briques, d'après
l'Ordinateur Individuel, en hexadécimal. Ça n'est qu'un peu plus
tard, grâce au livre de Rodnay Zaks sur le Zilog Z80, que j'ai
compris la signification de cette longue suite alphanumérique,
et que j'ai commencé à coder moi-même des jeux de cette manière.
À l'époque (1980) on disait bien que l'on codait en "langage machine".

merci !

De rien. Il existe deux pages dans le cours de programmation du ZX81
pour expliquer comment se fait le codage en langage machine Z80.
C'est la manière la plus avancée de programmer l'ordinateur, qui
suppose qu'on le maîtrise entièrement. Cela m'a conduit à désassembler
des parties de ROM, pour pouvoir utiliser des routines existantes.
La majorité des logiciels commercialisés étaient codés comme cela.
L'imprimante thermique du ZX81 n'étant pas très lisible, il était
très difficile de décoder la fameuse suite alphanumérique. Rien ne
ressemblait plus à un "8" qu'un "B", ce qui générait des bugs ...
Sans moyen de sauvegarde, et avec 1Ko de RAM au début, voir fonctionner
le "Breakout" la toute première fois a été un émerveillement total !
C'était il y a approximativement 35 ans, avec mon premier ordinateur.

Sans rapport avec le "moniteur" Apple, et toujours en lien avec le
ZX81...
A l'époque, le ZX81 a eu deux vies.
Au début avec le Basic, très lent et gourmand en mémoire qui plaçait
cette machine sur la derrière place des ordinateurs familiaux à utiliser.
Et un jour, des programmes en langage machine sont arrivés!
Et là, la machine était boostée à des vitesses vertigineuses.
Prés de 10 fois plus rapide que le Basic en ROM, l'assembleur ne pardait
plus sont temps en BlaBla, déplacement de machins et mise à jour de
trucs!
Le langage machine, très hermétique et difficile à appréhender sans
outils, s'est imposé ... face à un Basic qui était devenu un sujet de
plaisanterie!
Par contre, il est vrai qu'entrer ces codes mystérieux été forcement un
paris risqué et les plantages étaient très nombreux.
Il n'était pas rare de lire,lire... rerelire des liste de codes pour y
trouver LA faute de frappe qui avait pourri le code.
Par, contre, la surprise était au rendez-vous et la magie de
l'assembleur opérait.
En effet, cette liste de chiffres ne permettait pas d'avoir un aperçu du
programme, contrairement au basic, où des REM ou du texte permettait de
prévoir le fonctionnement du programme.
Pour Apple, le AppleBasic était le minimum vital, car très limité et
limité en taille par des erreurs de superposition de la mémoire
graphique et celle du Basic!
Donc, rapidement, sur celle machine, des outils de programmation ont
vite remplacé ce basic bogué et lent.
Exemple d'assembleur en listing pour Apple 2 (Kyrox):
<http://download.abandonware.org/magazines/Hebdogiciel/hebdogiciel_numero150/03.JPG>
Zx81 (Zx-KONG):
<http://download.abandonware.org/magazines/Hebdogiciel/hebdogiciel_numero123/22.jpg>
Et si la saisie était sans erreur, la joie était à son comble!
Et le jeu une récompense.
;-)

Mon premier programme en assembleur Z80 devait être dans l'Ordinateur
Individuel n°38 de juin-juillet 1982 à la page 178 car j'ai lu :
"
p.178 Pour casser des briques,
prenez un ZX-81, mettez une pincée de BASIC, un zeste de langage
machine, programmez le tout et... chargez!
"
<http://empichon72.free.fr/data/images/revues/oi/grand/1982/oi_1982_06_07_sommaire2.jpg>
C'était il y a 35 ans avec mon premier ordinateur le Sinclair ZX81. Mon
expérience jusque là avait été la programmation d'une calculatrice HP25.
La difficulté était qu'il s'agissait d'une impression avec l'imprimante
thermique du ZX81, et que le langage machine était à peu près illisible.
Mais je l'ai entré correctement et le casse-briques marchait très bien !
J'aimerais beaucoup retrouver une image du magazine l'O.I. à cette page.

Me rappelle passer des journées à taper les programmes, avec les codes
qui marchaient pas (erreur d'impression ou autres) ce qui m'a donné
envie d'aller plus loin et d'apprendre le basic dans un premier temps et
très vite l'assembleur.
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Le futur en ordre
Le 15/05/2017 à 14:59, Gzavsnap a écrit :
Le 14/05/2017 à 23:23, Francois LE COAT a écrit :
Salut,
MOI écrit :
Après mûre réflexion, Francois LE COAT a écrit :
MOI écrit :
RE §
il y a 25 ans, je codais des programmes binaires directement en
hexadécimal...
aujourd'hui, je découvre ce ça s'appelle le "monitor"...
peut-on dire que je codais en "langage machine" ?
merci.

Oui, le "langage machine" est l’ancêtre de l'assembleur, car il
fallait assembler soi-même. Il s'agit de formuler une suite de
caractères alphanumériques, en hexadécimal, qui permettait de
surpasser la vitesse du Basic natif. Personnellement, je codais
en langage machine il y a 35 ans, sur un Sinclair ZX81. Car mon
tout premier programme a été le jeu de casse-briques, d'après
l'Ordinateur Individuel, en hexadécimal. Ça n'est qu'un peu plus
tard, grâce au livre de Rodnay Zaks sur le Zilog Z80, que j'ai
compris la signification de cette longue suite alphanumérique,
et que j'ai commencé à coder moi-même des jeux de cette manière.
À l'époque (1980) on disait bien que l'on codait en "langage machine".

merci !

De rien. Il existe deux pages dans le cours de programmation du ZX81
pour expliquer comment se fait le codage en langage machine Z80.
C'est la manière la plus avancée de programmer l'ordinateur, qui
suppose qu'on le maîtrise entièrement. Cela m'a conduit à désassembler
des parties de ROM, pour pouvoir utiliser des routines existantes.
La majorité des logiciels commercialisés étaient codés comme cela.
L'imprimante thermique du ZX81 n'étant pas très lisible, il était
très difficile de décoder la fameuse suite alphanumérique. Rien ne
ressemblait plus à un "8" qu'un "B", ce qui générait des bugs ...
Sans moyen de sauvegarde, et avec 1Ko de RAM au début, voir fonctionner
le "Breakout" la toute première fois a été un émerveillement total !
C'était il y a approximativement 35 ans, avec mon premier ordinateur.

Salut,
Sans rapport avec le "moniteur" Apple, et toujours en lien avec le ZX81...
A l'époque, le ZX81 a eu deux vies.
Au début avec le Basic, très lent et gourmand en mémoire qui plaçait
cette machine sur la derrière place des ordinateurs familiaux à utiliser.
Et un jour, des programmes en langage machine sont arrivés!
Et là, la machine était boostée à des vitesses vertigineuses.
Prés de 10 fois plus rapide que le Basic en ROM, l'assembleur ne pardait
plus sont temps en BlaBla, déplacement de machins et mise à jour de trucs!
Le langage machine, très hermétique et difficile à appréhender sans
outils, s'est imposé ... face à un Basic qui était devenu un sujet de
plaisanterie!
Par contre, il est vrai qu'entrer ces codes mystérieux été forcement un
paris risqué et les plantages étaient très nombreux.
Il n'était pas rare de lire,lire... rerelire des liste de codes pour y
trouver LA faute de frappe qui avait pourri le code.
Par, contre, la surprise était au rendez-vous et la magie de
l'assembleur opérait.
En effet, cette liste de chiffres ne permettait pas d'avoir un aperçu du
programme, contrairement au basic, où des REM ou du texte permettait de
prévoir le fonctionnement du programme.
Pour Apple, le AppleBasic était le minimum vital, car très limité et
limité en taille par des erreurs de superposition de la mémoire
graphique et celle du Basic!
Donc, rapidement, sur celle machine, des outils de programmation ont
vite remplacé ce basic bogué et lent.
Exemple d'assembleur en listing pour Apple 2 (Kyrox):
<http://download.abandonware.org/magazines/Hebdogiciel/hebdogiciel_numero150/03.JPG>
Zx81 (Zx-KONG):
<http://download.abandonware.org/magazines/Hebdogiciel/hebdogiciel_numero123/22.jpg>
Et si la saisie était sans erreur, la joie était à son comble!
Et le jeu une récompense.
;-)

Oui la récompense ultime après avoir passer 1 jour à taper le programme,
2 jours à chercher les erreurs :)