Bonjour (les questions sont à la fin)
Un couple est en procédure de divorce par consentement mutuel.
Bonjour (les questions sont à la fin)
Un couple est en procédure de divorce par consentement mutuel.
Bonjour (les questions sont à la fin)
Un couple est en procédure de divorce par consentement mutuel.
Bonjour (les questions sont à la fin)
Un couple est en procédure de divorce par consentement mutuel.
La dernière partie du divorce se joue début décembre.
C'est le mari qui a demandé le divorce et a trouvé l'avocat (commun au
deux pour "aller plus vite"
Le mari a durant cette année été interné d'office suite à une tentative
de suicide et les psys on diagnostiqué des troubles bi polaires.
D'après une autre psy extérieure à cet hopital (que sa femme a consulté)
il serait à classer comme pervers narcissique (ce qui pourrait étre la
partie visible d'une schizophénie)
A la première audience il est arrivé TRES en retard
Le mari a cette époque dans sa folie( mais pas encore interné) ne
voulait plus divorcer, mais sa femme après ce qu'elle avait subi
(harcelement moral, chantage financier, saut d'humeurs, interrogatoires
a chaque fois qu'elle sortait de l'appartement meme pour aller chercher
du pain, bref tout ce que peut mettre en oeuvre un pervers narcissique,
il y a meme eu des coups avec main courante déposée)
voulait maintenant divorcer.
A l'issue de l'audience il voulait que la femme paye de suite
l'intégralité du divorce (alors qu'il était convenu qu'il serait payé à
la fois par le mari et par sa femme et que le dernier paiement
interviendrait à la fin de la procédure)
A la deuxième audience le mari, 2 jours avant ne voulait meme pas venir
(il trouvait que finalement il aimait sa femme malgré tout ce qu'il lui
faisait subir) et curieusement le jour dit, était préssé d'aller au
tribunal pour dire "oui".
Seulement l'avocat ne s'est pas présenté.
La femme a essayé de le joindre une partie de l'apres midi sur son fixe,
son portable, et a meme envoyé un fax a son cabinet. Il était injoignable.
Il ne s'est meme pas excusé du reste, du moins si, mais soi disant au mari.
L'audience a donc été reporté pour 3 mois, la juge a quand meme attendu
une partie de l'après midi.
Là, la femme sait que son mari a été voir l'avocat la semaine dernière
pour changer encore la convention (Monsieur à 30 000 euros de crédits
sur le dos et "souhaiterait" que sa femme en paie la moitié) en plus il
ne voudrait plus divorcer.
C'est le mari qui a fait transmettre l'information à la mère de la
femme. L'avocat lui n'a rien dit.
Questions :
- L'avocat n'a t-il pas commis une faute professionnelle ?
d'une part en ne se présentant pas, sans raison. D'autre part de par
sa faute en faisant reporter l'audience de trois mois, sachant que le
mari a encore changé d'avis, qu'il met une forte pression psychologique
sur sa femme, alors que son psy lui avait conseillé de ne pas l'appeler,
qu'il la terrorise la nuit (il se levait la nuit pour regarder dormir
sa femme, s'en approchait etc) enfin je passe sur tout le reste car cela
serait trop long, mais toujours est il qu'il y a le risque de voir la
procédure changer pour une beaucoup plus longue.
Est-il normal alors que l'avocat est commun, qu'elle ne soit pas au
courant de ce que veut faire son mari, qu'il a l'intention de changer la
convention (alors que le divorce est dans 5 jours et qu'il faut 8 jours
pour que la convention soit validée (je ne sais pas si c'est le terme
exact), donc cela implique encore un report ou un changement de
procédure si le mari en a l'intention (ce qui semble etre le cas)
Je me doute que le fait qu'il ai fait des avances sera dur à prouver
(hormis qu'il faut qu'il se soit livré intimement pour dire qu'il rédige
des "écrits d'évasion"), car il est facile d'abuser de femmes
fragilisées par un divorce (il y a des salopards partout).
Bonjour (les questions sont à la fin)
Un couple est en procédure de divorce par consentement mutuel.
La dernière partie du divorce se joue début décembre.
C'est le mari qui a demandé le divorce et a trouvé l'avocat (commun au
deux pour "aller plus vite"
Le mari a durant cette année été interné d'office suite à une tentative
de suicide et les psys on diagnostiqué des troubles bi polaires.
D'après une autre psy extérieure à cet hopital (que sa femme a consulté)
il serait à classer comme pervers narcissique (ce qui pourrait étre la
partie visible d'une schizophénie)
A la première audience il est arrivé TRES en retard
Le mari a cette époque dans sa folie( mais pas encore interné) ne
voulait plus divorcer, mais sa femme après ce qu'elle avait subi
(harcelement moral, chantage financier, saut d'humeurs, interrogatoires
a chaque fois qu'elle sortait de l'appartement meme pour aller chercher
du pain, bref tout ce que peut mettre en oeuvre un pervers narcissique,
il y a meme eu des coups avec main courante déposée)
voulait maintenant divorcer.
A l'issue de l'audience il voulait que la femme paye de suite
l'intégralité du divorce (alors qu'il était convenu qu'il serait payé à
la fois par le mari et par sa femme et que le dernier paiement
interviendrait à la fin de la procédure)
A la deuxième audience le mari, 2 jours avant ne voulait meme pas venir
(il trouvait que finalement il aimait sa femme malgré tout ce qu'il lui
faisait subir) et curieusement le jour dit, était préssé d'aller au
tribunal pour dire "oui".
Seulement l'avocat ne s'est pas présenté.
La femme a essayé de le joindre une partie de l'apres midi sur son fixe,
son portable, et a meme envoyé un fax a son cabinet. Il était injoignable.
Il ne s'est meme pas excusé du reste, du moins si, mais soi disant au mari.
L'audience a donc été reporté pour 3 mois, la juge a quand meme attendu
une partie de l'après midi.
Là, la femme sait que son mari a été voir l'avocat la semaine dernière
pour changer encore la convention (Monsieur à 30 000 euros de crédits
sur le dos et "souhaiterait" que sa femme en paie la moitié) en plus il
ne voudrait plus divorcer.
C'est le mari qui a fait transmettre l'information à la mère de la
femme. L'avocat lui n'a rien dit.
Questions :
- L'avocat n'a t-il pas commis une faute professionnelle ?
d'une part en ne se présentant pas, sans raison. D'autre part de par
sa faute en faisant reporter l'audience de trois mois, sachant que le
mari a encore changé d'avis, qu'il met une forte pression psychologique
sur sa femme, alors que son psy lui avait conseillé de ne pas l'appeler,
qu'il la terrorise la nuit (il se levait la nuit pour regarder dormir
sa femme, s'en approchait etc) enfin je passe sur tout le reste car cela
serait trop long, mais toujours est il qu'il y a le risque de voir la
procédure changer pour une beaucoup plus longue.
Est-il normal alors que l'avocat est commun, qu'elle ne soit pas au
courant de ce que veut faire son mari, qu'il a l'intention de changer la
convention (alors que le divorce est dans 5 jours et qu'il faut 8 jours
pour que la convention soit validée (je ne sais pas si c'est le terme
exact), donc cela implique encore un report ou un changement de
procédure si le mari en a l'intention (ce qui semble etre le cas)
Je me doute que le fait qu'il ai fait des avances sera dur à prouver
(hormis qu'il faut qu'il se soit livré intimement pour dire qu'il rédige
des "écrits d'évasion"), car il est facile d'abuser de femmes
fragilisées par un divorce (il y a des salopards partout).
Bonjour (les questions sont à la fin)
Un couple est en procédure de divorce par consentement mutuel.
La dernière partie du divorce se joue début décembre.
C'est le mari qui a demandé le divorce et a trouvé l'avocat (commun au
deux pour "aller plus vite"
Le mari a durant cette année été interné d'office suite à une tentative
de suicide et les psys on diagnostiqué des troubles bi polaires.
D'après une autre psy extérieure à cet hopital (que sa femme a consulté)
il serait à classer comme pervers narcissique (ce qui pourrait étre la
partie visible d'une schizophénie)
A la première audience il est arrivé TRES en retard
Le mari a cette époque dans sa folie( mais pas encore interné) ne
voulait plus divorcer, mais sa femme après ce qu'elle avait subi
(harcelement moral, chantage financier, saut d'humeurs, interrogatoires
a chaque fois qu'elle sortait de l'appartement meme pour aller chercher
du pain, bref tout ce que peut mettre en oeuvre un pervers narcissique,
il y a meme eu des coups avec main courante déposée)
voulait maintenant divorcer.
A l'issue de l'audience il voulait que la femme paye de suite
l'intégralité du divorce (alors qu'il était convenu qu'il serait payé à
la fois par le mari et par sa femme et que le dernier paiement
interviendrait à la fin de la procédure)
A la deuxième audience le mari, 2 jours avant ne voulait meme pas venir
(il trouvait que finalement il aimait sa femme malgré tout ce qu'il lui
faisait subir) et curieusement le jour dit, était préssé d'aller au
tribunal pour dire "oui".
Seulement l'avocat ne s'est pas présenté.
La femme a essayé de le joindre une partie de l'apres midi sur son fixe,
son portable, et a meme envoyé un fax a son cabinet. Il était injoignable.
Il ne s'est meme pas excusé du reste, du moins si, mais soi disant au mari.
L'audience a donc été reporté pour 3 mois, la juge a quand meme attendu
une partie de l'après midi.
Là, la femme sait que son mari a été voir l'avocat la semaine dernière
pour changer encore la convention (Monsieur à 30 000 euros de crédits
sur le dos et "souhaiterait" que sa femme en paie la moitié) en plus il
ne voudrait plus divorcer.
C'est le mari qui a fait transmettre l'information à la mère de la
femme. L'avocat lui n'a rien dit.
Questions :
- L'avocat n'a t-il pas commis une faute professionnelle ?
d'une part en ne se présentant pas, sans raison. D'autre part de par
sa faute en faisant reporter l'audience de trois mois, sachant que le
mari a encore changé d'avis, qu'il met une forte pression psychologique
sur sa femme, alors que son psy lui avait conseillé de ne pas l'appeler,
qu'il la terrorise la nuit (il se levait la nuit pour regarder dormir
sa femme, s'en approchait etc) enfin je passe sur tout le reste car cela
serait trop long, mais toujours est il qu'il y a le risque de voir la
procédure changer pour une beaucoup plus longue.
Est-il normal alors que l'avocat est commun, qu'elle ne soit pas au
courant de ce que veut faire son mari, qu'il a l'intention de changer la
convention (alors que le divorce est dans 5 jours et qu'il faut 8 jours
pour que la convention soit validée (je ne sais pas si c'est le terme
exact), donc cela implique encore un report ou un changement de
procédure si le mari en a l'intention (ce qui semble etre le cas)
Je me doute que le fait qu'il ai fait des avances sera dur à prouver
(hormis qu'il faut qu'il se soit livré intimement pour dire qu'il rédige
des "écrits d'évasion"), car il est facile d'abuser de femmes
fragilisées par un divorce (il y a des salopards partout).
Le 29-11-2004, JusteMoi a écrit:
Le mari a durant cette année été interné d'office suite à une tentative
de suicide et les psys on diagnostiqué des troubles bi polaires.
D'après une autre psy extérieure à cet hopital (que sa femme a consulté)
il serait à classer comme pervers narcissique (ce qui pourrait étre la
partie visible d'une schizophénie)
Ben non : trouble bipolaire = psychose maniaco-dépressive. Sans
un traitement approprié, la personne passe de périodes d'exaltation
(épisodes narcissiques de votre individu par exemple) à des périodes de
dépression (durant laquelle il a tenté de se suicider, ce serait
cohérent).
A la première audience il est arrivé TRES en retard
Oui, ce sont des choses qui arrivent aux avocats. Laissez moi deviner,
c'était une Audience en après-midi ?
(...) Dernière audience (...)
Seulement l'avocat ne s'est pas présenté.
Si l'avocat ne s'est pas présenté, il y avait surement une très bonne
raison.
Par exemple, une autre Audience pour un autre client, ou pire : il a pu
se retrouver désigné de permanence pour une Audience correctionnelle ...
et choisi de courir le risque (si il n'y a pas de "comparutions
immédiates" - des cas très souvent jugés en dernier - l'avocat de
permanence est libéré très vite).
Cela serait cohérent avec le fait qu'il ait été injoignable sur son fixe
et son portable, des Audience correctionnelles du matin qui finissent à
15 heures, ça arrive tout le temps.
Est-il normal alors que l'avocat est commun, qu'elle ne soit pas au
courant de ce que veut faire son mari, qu'il a l'intention de changer la
convention (alors que le divorce est dans 5 jours et qu'il faut 8 jours
pour que la convention soit validée (je ne sais pas si c'est le terme
exact), donc cela implique encore un report ou un changement de
procédure si le mari en a l'intention (ce qui semble etre le cas)
Le problème c'est qu'ils sont encore mariés et qu'il s'agit d'une
procédure "par consentement mutuel" c'est à dire à l'amiable ...
Donc NON, le comportement de cet avocat n'a rien d'anormal.
Je me doute que le fait qu'il ai fait des avances sera dur à prouver
(hormis qu'il faut qu'il se soit livré intimement pour dire qu'il rédige
des "écrits d'évasion"), car il est facile d'abuser de femmes
fragilisées par un divorce (il y a des salopards partout).
Vous savez, il n'est pas interdit à l'avocat de draguer ses clientes (on
est pas aux USA), et cela n'est même plus interdit aux médecins ...
Le 29-11-2004, JusteMoi <LD@hotmail.com> a écrit:
Le mari a durant cette année été interné d'office suite à une tentative
de suicide et les psys on diagnostiqué des troubles bi polaires.
D'après une autre psy extérieure à cet hopital (que sa femme a consulté)
il serait à classer comme pervers narcissique (ce qui pourrait étre la
partie visible d'une schizophénie)
Ben non : trouble bipolaire = psychose maniaco-dépressive. Sans
un traitement approprié, la personne passe de périodes d'exaltation
(épisodes narcissiques de votre individu par exemple) à des périodes de
dépression (durant laquelle il a tenté de se suicider, ce serait
cohérent).
A la première audience il est arrivé TRES en retard
Oui, ce sont des choses qui arrivent aux avocats. Laissez moi deviner,
c'était une Audience en après-midi ?
(...) Dernière audience (...)
Seulement l'avocat ne s'est pas présenté.
Si l'avocat ne s'est pas présenté, il y avait surement une très bonne
raison.
Par exemple, une autre Audience pour un autre client, ou pire : il a pu
se retrouver désigné de permanence pour une Audience correctionnelle ...
et choisi de courir le risque (si il n'y a pas de "comparutions
immédiates" - des cas très souvent jugés en dernier - l'avocat de
permanence est libéré très vite).
Cela serait cohérent avec le fait qu'il ait été injoignable sur son fixe
et son portable, des Audience correctionnelles du matin qui finissent à
15 heures, ça arrive tout le temps.
Est-il normal alors que l'avocat est commun, qu'elle ne soit pas au
courant de ce que veut faire son mari, qu'il a l'intention de changer la
convention (alors que le divorce est dans 5 jours et qu'il faut 8 jours
pour que la convention soit validée (je ne sais pas si c'est le terme
exact), donc cela implique encore un report ou un changement de
procédure si le mari en a l'intention (ce qui semble etre le cas)
Le problème c'est qu'ils sont encore mariés et qu'il s'agit d'une
procédure "par consentement mutuel" c'est à dire à l'amiable ...
Donc NON, le comportement de cet avocat n'a rien d'anormal.
Je me doute que le fait qu'il ai fait des avances sera dur à prouver
(hormis qu'il faut qu'il se soit livré intimement pour dire qu'il rédige
des "écrits d'évasion"), car il est facile d'abuser de femmes
fragilisées par un divorce (il y a des salopards partout).
Vous savez, il n'est pas interdit à l'avocat de draguer ses clientes (on
est pas aux USA), et cela n'est même plus interdit aux médecins ...
Le 29-11-2004, JusteMoi a écrit:
Le mari a durant cette année été interné d'office suite à une tentative
de suicide et les psys on diagnostiqué des troubles bi polaires.
D'après une autre psy extérieure à cet hopital (que sa femme a consulté)
il serait à classer comme pervers narcissique (ce qui pourrait étre la
partie visible d'une schizophénie)
Ben non : trouble bipolaire = psychose maniaco-dépressive. Sans
un traitement approprié, la personne passe de périodes d'exaltation
(épisodes narcissiques de votre individu par exemple) à des périodes de
dépression (durant laquelle il a tenté de se suicider, ce serait
cohérent).
A la première audience il est arrivé TRES en retard
Oui, ce sont des choses qui arrivent aux avocats. Laissez moi deviner,
c'était une Audience en après-midi ?
(...) Dernière audience (...)
Seulement l'avocat ne s'est pas présenté.
Si l'avocat ne s'est pas présenté, il y avait surement une très bonne
raison.
Par exemple, une autre Audience pour un autre client, ou pire : il a pu
se retrouver désigné de permanence pour une Audience correctionnelle ...
et choisi de courir le risque (si il n'y a pas de "comparutions
immédiates" - des cas très souvent jugés en dernier - l'avocat de
permanence est libéré très vite).
Cela serait cohérent avec le fait qu'il ait été injoignable sur son fixe
et son portable, des Audience correctionnelles du matin qui finissent à
15 heures, ça arrive tout le temps.
Est-il normal alors que l'avocat est commun, qu'elle ne soit pas au
courant de ce que veut faire son mari, qu'il a l'intention de changer la
convention (alors que le divorce est dans 5 jours et qu'il faut 8 jours
pour que la convention soit validée (je ne sais pas si c'est le terme
exact), donc cela implique encore un report ou un changement de
procédure si le mari en a l'intention (ce qui semble etre le cas)
Le problème c'est qu'ils sont encore mariés et qu'il s'agit d'une
procédure "par consentement mutuel" c'est à dire à l'amiable ...
Donc NON, le comportement de cet avocat n'a rien d'anormal.
Je me doute que le fait qu'il ai fait des avances sera dur à prouver
(hormis qu'il faut qu'il se soit livré intimement pour dire qu'il rédige
des "écrits d'évasion"), car il est facile d'abuser de femmes
fragilisées par un divorce (il y a des salopards partout).
Vous savez, il n'est pas interdit à l'avocat de draguer ses clientes (on
est pas aux USA), et cela n'est même plus interdit aux médecins ...
"JusteMoi" a écrit dans le message de news:
41aa6b3c$0$10782$Bonjour (les questions sont à la fin)
Un couple est en procédure de divorce par consentement mutuel.
.........
Là je crois que vous tenez le scénario d'un bon livre ou d'un bon film !
"JusteMoi" <LD@hotmail.com> a écrit dans le message de news:
41aa6b3c$0$10782$7a628cd7@news.club-internet.fr...
Bonjour (les questions sont à la fin)
Un couple est en procédure de divorce par consentement mutuel.
.........
Là je crois que vous tenez le scénario d'un bon livre ou d'un bon film !
"JusteMoi" a écrit dans le message de news:
41aa6b3c$0$10782$Bonjour (les questions sont à la fin)
Un couple est en procédure de divorce par consentement mutuel.
.........
Là je crois que vous tenez le scénario d'un bon livre ou d'un bon film !
Pourtant c'est plus commun que vous ne le pensez...
Pourtant c'est plus commun que vous ne le pensez...
Pourtant c'est plus commun que vous ne le pensez...
Il n'est peut etre pas interdit pour un avocat de draguer ses clientes,
mais je trouve ignoble, de profiter de la détresse psychologique des gens
pour le faire.
Il n'est peut etre pas interdit pour un avocat de draguer ses clientes,
mais je trouve ignoble, de profiter de la détresse psychologique des gens
pour le faire.
Il n'est peut etre pas interdit pour un avocat de draguer ses clientes,
mais je trouve ignoble, de profiter de la détresse psychologique des gens
pour le faire.
Fred a écrit :Le 29-11-2004, JusteMoi a écrit:Le mari a durant cette année été interné d'office suite à une tentative
de suicide et les psys on diagnostiqué des troubles bi polaires.
D'après une autre psy extérieure à cet hopital (que sa femme a consulté)
il serait à classer comme pervers narcissique (ce qui pourrait étre la
partie visible d'une schizophénie)
Ben non : trouble bipolaire = psychose maniaco-dépressive. Sans
un traitement approprié, la personne passe de périodes d'exaltation
(épisodes narcissiques de votre individu par exemple) à des périodes de
dépression (durant laquelle il a tenté de se suicider, ce serait
cohérent).
Pour le trouble bipolaire, il s'agissait d'un premier diagnostic lors
des premiers jours de son internement.
La phrase exacte était : "Sujet présentant un trouble bipolaire avec de
graves troubles de la personnalité"
Après traitement, le trouble bipolaire disparaissait, mais c'était
vraiment le comportement du pervers narcissique qui apparaissait (et pas
celui d'une personne bordeline). Avis donnés par 2 personnes dont une
psychiatre et une assistance sociale diplomée en thérapie
comportementaliste.
Le diagnostic final n'est pas connu puisque le psy qui traitait le mari
a toujours refusé de dire à sa femme de quoi son mari souffrait (malgré
l'accord de celui-ci) et n'a jamais voulu la recevoir alors qu'elle
voulait juste savoir si il pouvait être dangereux ou pas (malgré la
séparation de corps, elle l'avait acceuilli et vivait avec)A la première audience il est arrivé TRES en retard
Oui, ce sont des choses qui arrivent aux avocats. Laissez moi deviner,
c'était une Audience en après-midi ?
Non la première se déroulait le matin de bonne heure.
(...) Dernière audience (...)
Seulement l'avocat ne s'est pas présenté.Si l'avocat ne s'est pas présenté, il y avait surement une très bonne
raison.
Oralement il a dit "avoir oublié" et dans une lettre reçue récemment dit
s'être trompé de jour.
Par exemple, une autre Audience pour un autre client, ou pire : il a pu
se retrouver désigné de permanence pour une Audience correctionnelle ...
et choisi de courir le risque (si il n'y a pas de "comparutions
immédiates" - des cas très souvent jugés en dernier - l'avocat de
permanence est libéré très vite).
Cela serait cohérent avec le fait qu'il ait été injoignable sur son fixe
et son portable, des Audience correctionnelles du matin qui finissent à
15 heures, ça arrive tout le temps.
Donc c'est normal qu'il n'avertisse personne ?
Si il n'a pas de respect pour ses clients il pourrait au moins en avoir
pour la juge.
Elle a attendu tout l'après midi car après avoir lu le dossier, vu le
contexte, elle voulait que cette procédure se termine le jour même)
C'est normal que l'un des conjoints en subisse les conséquences ??
(report de 3 mois, et tous les ennuis que son mari lui a causé, la
pression psychologique, un éventuel changement de procédure etc etc)
2 jours avant il avait eu une conversation avec le mari, dans son
cabinet, donc si en 2 jours il "oublie", son secrétariat avait au moins
trace de cette audience.
Franchement je trouve cela léger comme comportement, et après les
avocats se demandent pourquoi ils ont si mauvaise réputation ?
Il ne s'agit quand meme pas d'un divorce commun. Le mari a quand meme un
passé psychiatrique (il y a eu des actes de violence contre sa femme il
y a 1 an et des actes de violence matérielle dans l'appartement.
Je ne parle meme pas ou pratiquement toutes les nuits il se levait,
s'approchait de sa femme (qui dormait dans une autre pièce) tournait
autour du canapé lit, la fixait longuement parfois pendant 1h... Sa
femme a le sommeil très léger et continuait à faire semblant de dormir.
Elle fait 1.57m et lui 1.95m. Vous imaginez la situation ??
Juste avant qu'il ne quitte l'appartement il y a 15 jours il est meme
aller dans la cuisine, a sorti les couteaux à 3h du matin, et s'est mis
dans l'idée de les affuter. Sa femme a paniqué et lui a demandé ce qu'il
faisait. Il a répondu seulement au bout de quelques minutes qu'il
voulait se couper une rondelle de saucisson !
Elle dormait (ou plutot sommeillait toutes les nuits) avec une bombe à
gaz sous l'oreiller
L'avocat était au courant de tout cela.Est-il normal alors que l'avocat est commun, qu'elle ne soit pas au
courant de ce que veut faire son mari, qu'il a l'intention de changer la
convention (alors que le divorce est dans 5 jours et qu'il faut 8 jours
pour que la convention soit validée (je ne sais pas si c'est le terme
exact), donc cela implique encore un report ou un changement de
procédure si le mari en a l'intention (ce qui semble etre le cas)
Le problème c'est qu'ils sont encore mariés et qu'il s'agit d'une
procédure "par consentement mutuel" c'est à dire à l'amiable ...
Donc NON, le comportement de cet avocat n'a rien d'anormal.
L'avocat, commun aux deux parties, donc neutre dans l'absolu, n'a pas
obligation d'avertir, de faire part des changements qui pourraient faire
changer la procédure à l'autre conjoint?? Il faut que l'autre partie
soit mise devant le fait accompli lors de l'audience ??
Je me doute que le fait qu'il ai fait des avances sera dur à prouver
(hormis qu'il faut qu'il se soit livré intimement pour dire qu'il rédige
des "écrits d'évasion"), car il est facile d'abuser de femmes
fragilisées par un divorce (il y a des salopards partout).
Vous savez, il n'est pas interdit à l'avocat de draguer ses clientes (on
est pas aux USA), et cela n'est même plus interdit aux médecins ...
Il n'est peut etre pas interdit pour un avocat de draguer ses clientes,
mais je trouve ignoble, de profiter de la détresse psychologique des
gens pour le faire.
En plus il peut rester impartial après cela ?? (que la femme dise oui ou
non)
Fred a écrit :
Le 29-11-2004, JusteMoi <LD@hotmail.com> a écrit:
Le mari a durant cette année été interné d'office suite à une tentative
de suicide et les psys on diagnostiqué des troubles bi polaires.
D'après une autre psy extérieure à cet hopital (que sa femme a consulté)
il serait à classer comme pervers narcissique (ce qui pourrait étre la
partie visible d'une schizophénie)
Ben non : trouble bipolaire = psychose maniaco-dépressive. Sans
un traitement approprié, la personne passe de périodes d'exaltation
(épisodes narcissiques de votre individu par exemple) à des périodes de
dépression (durant laquelle il a tenté de se suicider, ce serait
cohérent).
Pour le trouble bipolaire, il s'agissait d'un premier diagnostic lors
des premiers jours de son internement.
La phrase exacte était : "Sujet présentant un trouble bipolaire avec de
graves troubles de la personnalité"
Après traitement, le trouble bipolaire disparaissait, mais c'était
vraiment le comportement du pervers narcissique qui apparaissait (et pas
celui d'une personne bordeline). Avis donnés par 2 personnes dont une
psychiatre et une assistance sociale diplomée en thérapie
comportementaliste.
Le diagnostic final n'est pas connu puisque le psy qui traitait le mari
a toujours refusé de dire à sa femme de quoi son mari souffrait (malgré
l'accord de celui-ci) et n'a jamais voulu la recevoir alors qu'elle
voulait juste savoir si il pouvait être dangereux ou pas (malgré la
séparation de corps, elle l'avait acceuilli et vivait avec)
A la première audience il est arrivé TRES en retard
Oui, ce sont des choses qui arrivent aux avocats. Laissez moi deviner,
c'était une Audience en après-midi ?
Non la première se déroulait le matin de bonne heure.
(...) Dernière audience (...)
Seulement l'avocat ne s'est pas présenté.
Si l'avocat ne s'est pas présenté, il y avait surement une très bonne
raison.
Oralement il a dit "avoir oublié" et dans une lettre reçue récemment dit
s'être trompé de jour.
Par exemple, une autre Audience pour un autre client, ou pire : il a pu
se retrouver désigné de permanence pour une Audience correctionnelle ...
et choisi de courir le risque (si il n'y a pas de "comparutions
immédiates" - des cas très souvent jugés en dernier - l'avocat de
permanence est libéré très vite).
Cela serait cohérent avec le fait qu'il ait été injoignable sur son fixe
et son portable, des Audience correctionnelles du matin qui finissent à
15 heures, ça arrive tout le temps.
Donc c'est normal qu'il n'avertisse personne ?
Si il n'a pas de respect pour ses clients il pourrait au moins en avoir
pour la juge.
Elle a attendu tout l'après midi car après avoir lu le dossier, vu le
contexte, elle voulait que cette procédure se termine le jour même)
C'est normal que l'un des conjoints en subisse les conséquences ??
(report de 3 mois, et tous les ennuis que son mari lui a causé, la
pression psychologique, un éventuel changement de procédure etc etc)
2 jours avant il avait eu une conversation avec le mari, dans son
cabinet, donc si en 2 jours il "oublie", son secrétariat avait au moins
trace de cette audience.
Franchement je trouve cela léger comme comportement, et après les
avocats se demandent pourquoi ils ont si mauvaise réputation ?
Il ne s'agit quand meme pas d'un divorce commun. Le mari a quand meme un
passé psychiatrique (il y a eu des actes de violence contre sa femme il
y a 1 an et des actes de violence matérielle dans l'appartement.
Je ne parle meme pas ou pratiquement toutes les nuits il se levait,
s'approchait de sa femme (qui dormait dans une autre pièce) tournait
autour du canapé lit, la fixait longuement parfois pendant 1h... Sa
femme a le sommeil très léger et continuait à faire semblant de dormir.
Elle fait 1.57m et lui 1.95m. Vous imaginez la situation ??
Juste avant qu'il ne quitte l'appartement il y a 15 jours il est meme
aller dans la cuisine, a sorti les couteaux à 3h du matin, et s'est mis
dans l'idée de les affuter. Sa femme a paniqué et lui a demandé ce qu'il
faisait. Il a répondu seulement au bout de quelques minutes qu'il
voulait se couper une rondelle de saucisson !
Elle dormait (ou plutot sommeillait toutes les nuits) avec une bombe à
gaz sous l'oreiller
L'avocat était au courant de tout cela.
Est-il normal alors que l'avocat est commun, qu'elle ne soit pas au
courant de ce que veut faire son mari, qu'il a l'intention de changer la
convention (alors que le divorce est dans 5 jours et qu'il faut 8 jours
pour que la convention soit validée (je ne sais pas si c'est le terme
exact), donc cela implique encore un report ou un changement de
procédure si le mari en a l'intention (ce qui semble etre le cas)
Le problème c'est qu'ils sont encore mariés et qu'il s'agit d'une
procédure "par consentement mutuel" c'est à dire à l'amiable ...
Donc NON, le comportement de cet avocat n'a rien d'anormal.
L'avocat, commun aux deux parties, donc neutre dans l'absolu, n'a pas
obligation d'avertir, de faire part des changements qui pourraient faire
changer la procédure à l'autre conjoint?? Il faut que l'autre partie
soit mise devant le fait accompli lors de l'audience ??
Je me doute que le fait qu'il ai fait des avances sera dur à prouver
(hormis qu'il faut qu'il se soit livré intimement pour dire qu'il rédige
des "écrits d'évasion"), car il est facile d'abuser de femmes
fragilisées par un divorce (il y a des salopards partout).
Vous savez, il n'est pas interdit à l'avocat de draguer ses clientes (on
est pas aux USA), et cela n'est même plus interdit aux médecins ...
Il n'est peut etre pas interdit pour un avocat de draguer ses clientes,
mais je trouve ignoble, de profiter de la détresse psychologique des
gens pour le faire.
En plus il peut rester impartial après cela ?? (que la femme dise oui ou
non)
Fred a écrit :Le 29-11-2004, JusteMoi a écrit:Le mari a durant cette année été interné d'office suite à une tentative
de suicide et les psys on diagnostiqué des troubles bi polaires.
D'après une autre psy extérieure à cet hopital (que sa femme a consulté)
il serait à classer comme pervers narcissique (ce qui pourrait étre la
partie visible d'une schizophénie)
Ben non : trouble bipolaire = psychose maniaco-dépressive. Sans
un traitement approprié, la personne passe de périodes d'exaltation
(épisodes narcissiques de votre individu par exemple) à des périodes de
dépression (durant laquelle il a tenté de se suicider, ce serait
cohérent).
Pour le trouble bipolaire, il s'agissait d'un premier diagnostic lors
des premiers jours de son internement.
La phrase exacte était : "Sujet présentant un trouble bipolaire avec de
graves troubles de la personnalité"
Après traitement, le trouble bipolaire disparaissait, mais c'était
vraiment le comportement du pervers narcissique qui apparaissait (et pas
celui d'une personne bordeline). Avis donnés par 2 personnes dont une
psychiatre et une assistance sociale diplomée en thérapie
comportementaliste.
Le diagnostic final n'est pas connu puisque le psy qui traitait le mari
a toujours refusé de dire à sa femme de quoi son mari souffrait (malgré
l'accord de celui-ci) et n'a jamais voulu la recevoir alors qu'elle
voulait juste savoir si il pouvait être dangereux ou pas (malgré la
séparation de corps, elle l'avait acceuilli et vivait avec)A la première audience il est arrivé TRES en retard
Oui, ce sont des choses qui arrivent aux avocats. Laissez moi deviner,
c'était une Audience en après-midi ?
Non la première se déroulait le matin de bonne heure.
(...) Dernière audience (...)
Seulement l'avocat ne s'est pas présenté.Si l'avocat ne s'est pas présenté, il y avait surement une très bonne
raison.
Oralement il a dit "avoir oublié" et dans une lettre reçue récemment dit
s'être trompé de jour.
Par exemple, une autre Audience pour un autre client, ou pire : il a pu
se retrouver désigné de permanence pour une Audience correctionnelle ...
et choisi de courir le risque (si il n'y a pas de "comparutions
immédiates" - des cas très souvent jugés en dernier - l'avocat de
permanence est libéré très vite).
Cela serait cohérent avec le fait qu'il ait été injoignable sur son fixe
et son portable, des Audience correctionnelles du matin qui finissent à
15 heures, ça arrive tout le temps.
Donc c'est normal qu'il n'avertisse personne ?
Si il n'a pas de respect pour ses clients il pourrait au moins en avoir
pour la juge.
Elle a attendu tout l'après midi car après avoir lu le dossier, vu le
contexte, elle voulait que cette procédure se termine le jour même)
C'est normal que l'un des conjoints en subisse les conséquences ??
(report de 3 mois, et tous les ennuis que son mari lui a causé, la
pression psychologique, un éventuel changement de procédure etc etc)
2 jours avant il avait eu une conversation avec le mari, dans son
cabinet, donc si en 2 jours il "oublie", son secrétariat avait au moins
trace de cette audience.
Franchement je trouve cela léger comme comportement, et après les
avocats se demandent pourquoi ils ont si mauvaise réputation ?
Il ne s'agit quand meme pas d'un divorce commun. Le mari a quand meme un
passé psychiatrique (il y a eu des actes de violence contre sa femme il
y a 1 an et des actes de violence matérielle dans l'appartement.
Je ne parle meme pas ou pratiquement toutes les nuits il se levait,
s'approchait de sa femme (qui dormait dans une autre pièce) tournait
autour du canapé lit, la fixait longuement parfois pendant 1h... Sa
femme a le sommeil très léger et continuait à faire semblant de dormir.
Elle fait 1.57m et lui 1.95m. Vous imaginez la situation ??
Juste avant qu'il ne quitte l'appartement il y a 15 jours il est meme
aller dans la cuisine, a sorti les couteaux à 3h du matin, et s'est mis
dans l'idée de les affuter. Sa femme a paniqué et lui a demandé ce qu'il
faisait. Il a répondu seulement au bout de quelques minutes qu'il
voulait se couper une rondelle de saucisson !
Elle dormait (ou plutot sommeillait toutes les nuits) avec une bombe à
gaz sous l'oreiller
L'avocat était au courant de tout cela.Est-il normal alors que l'avocat est commun, qu'elle ne soit pas au
courant de ce que veut faire son mari, qu'il a l'intention de changer la
convention (alors que le divorce est dans 5 jours et qu'il faut 8 jours
pour que la convention soit validée (je ne sais pas si c'est le terme
exact), donc cela implique encore un report ou un changement de
procédure si le mari en a l'intention (ce qui semble etre le cas)
Le problème c'est qu'ils sont encore mariés et qu'il s'agit d'une
procédure "par consentement mutuel" c'est à dire à l'amiable ...
Donc NON, le comportement de cet avocat n'a rien d'anormal.
L'avocat, commun aux deux parties, donc neutre dans l'absolu, n'a pas
obligation d'avertir, de faire part des changements qui pourraient faire
changer la procédure à l'autre conjoint?? Il faut que l'autre partie
soit mise devant le fait accompli lors de l'audience ??
Je me doute que le fait qu'il ai fait des avances sera dur à prouver
(hormis qu'il faut qu'il se soit livré intimement pour dire qu'il rédige
des "écrits d'évasion"), car il est facile d'abuser de femmes
fragilisées par un divorce (il y a des salopards partout).
Vous savez, il n'est pas interdit à l'avocat de draguer ses clientes (on
est pas aux USA), et cela n'est même plus interdit aux médecins ...
Il n'est peut etre pas interdit pour un avocat de draguer ses clientes,
mais je trouve ignoble, de profiter de la détresse psychologique des
gens pour le faire.
En plus il peut rester impartial après cela ?? (que la femme dise oui ou
non)
Le 30-11-2004, JusteMoi a écrit:Fred a écrit :Le 29-11-2004, JusteMoi a écrit:
A la première audience il est arrivé TRES en retard
(...) Dernière audience (...)
l'avocat ne s'est pas présenté.
Donc c'est normal qu'il n'avertisse personne ?
Non, il aurait du avertir au moins sa secrétaire (il a bien une
secrétaire ??)
2 jours avant il avait eu une conversation avec le mari, dans son
cabinet, donc si en 2 jours il "oublie", son secrétariat avait au moins
trace de cette audience.
Normalement oui.Franchement je trouve cela léger comme comportement, et après les
avocats se demandent pourquoi ils ont si mauvaise réputation ?
Oui, c'est un peu léger ...
Est-il normal alors que l'avocat est commun, qu'elle ne soit pas au
courant de ce que veut faire son mari, qu'il a l'intention de changer la
convention (alors que le divorce est dans 5 jours et qu'il faut 8 jours
pour que la convention soit validée (je ne sais pas si c'est le terme
exact), donc cela implique encore un report ou un changement de
procédure si le mari en a l'intention (ce qui semble etre le cas)
Le problème c'est qu'ils sont encore mariés et qu'il s'agit d'une
procédure "par consentement mutuel" c'est à dire à l'amiable ...
Donc NON, le comportement de cet avocat n'a rien d'anormal.
L'avocat, commun aux deux parties, donc neutre dans l'absolu, n'a pas
obligation d'avertir, de faire part des changements qui pourraient faire
changer la procédure à l'autre conjoint?? Il faut que l'autre partie
soit mise devant le fait accompli lors de l'audience ??
Il devrait s'assurer que l'autre partie est informée et d'accord (sinon
où est le "consentement mutuel" ?).
Quant à savoir qi la parole de l'époux est suffisante ...
Il n'est peut etre pas interdit pour un avocat de draguer ses clientes,
mais je trouve ignoble, de profiter de la détresse psychologique des
gens pour le faire.
Certes, mais je ne donnais pas mon avis sur la moralité du procédé, ce
n'est pas "in charte".
Reste l'éventuelle possibilité d'un geste délibéré pour se venger de la
rebuffade, mais là ce serait vraiment ignoble, et allez donc le prouver.
Un avocat immoral n'est pas forcément un mauvais avocat, mais il est
mauvais pour cette cliente là.
Le 30-11-2004, JusteMoi <LD@hotmail.com> a écrit:
Fred a écrit :
Le 29-11-2004, JusteMoi <LD@hotmail.com> a écrit:
A la première audience il est arrivé TRES en retard
(...) Dernière audience (...)
l'avocat ne s'est pas présenté.
Donc c'est normal qu'il n'avertisse personne ?
Non, il aurait du avertir au moins sa secrétaire (il a bien une
secrétaire ??)
2 jours avant il avait eu une conversation avec le mari, dans son
cabinet, donc si en 2 jours il "oublie", son secrétariat avait au moins
trace de cette audience.
Normalement oui.
Franchement je trouve cela léger comme comportement, et après les
avocats se demandent pourquoi ils ont si mauvaise réputation ?
Oui, c'est un peu léger ...
Est-il normal alors que l'avocat est commun, qu'elle ne soit pas au
courant de ce que veut faire son mari, qu'il a l'intention de changer la
convention (alors que le divorce est dans 5 jours et qu'il faut 8 jours
pour que la convention soit validée (je ne sais pas si c'est le terme
exact), donc cela implique encore un report ou un changement de
procédure si le mari en a l'intention (ce qui semble etre le cas)
Le problème c'est qu'ils sont encore mariés et qu'il s'agit d'une
procédure "par consentement mutuel" c'est à dire à l'amiable ...
Donc NON, le comportement de cet avocat n'a rien d'anormal.
L'avocat, commun aux deux parties, donc neutre dans l'absolu, n'a pas
obligation d'avertir, de faire part des changements qui pourraient faire
changer la procédure à l'autre conjoint?? Il faut que l'autre partie
soit mise devant le fait accompli lors de l'audience ??
Il devrait s'assurer que l'autre partie est informée et d'accord (sinon
où est le "consentement mutuel" ?).
Quant à savoir qi la parole de l'époux est suffisante ...
Il n'est peut etre pas interdit pour un avocat de draguer ses clientes,
mais je trouve ignoble, de profiter de la détresse psychologique des
gens pour le faire.
Certes, mais je ne donnais pas mon avis sur la moralité du procédé, ce
n'est pas "in charte".
Reste l'éventuelle possibilité d'un geste délibéré pour se venger de la
rebuffade, mais là ce serait vraiment ignoble, et allez donc le prouver.
Un avocat immoral n'est pas forcément un mauvais avocat, mais il est
mauvais pour cette cliente là.
Le 30-11-2004, JusteMoi a écrit:Fred a écrit :Le 29-11-2004, JusteMoi a écrit:
A la première audience il est arrivé TRES en retard
(...) Dernière audience (...)
l'avocat ne s'est pas présenté.
Donc c'est normal qu'il n'avertisse personne ?
Non, il aurait du avertir au moins sa secrétaire (il a bien une
secrétaire ??)
2 jours avant il avait eu une conversation avec le mari, dans son
cabinet, donc si en 2 jours il "oublie", son secrétariat avait au moins
trace de cette audience.
Normalement oui.Franchement je trouve cela léger comme comportement, et après les
avocats se demandent pourquoi ils ont si mauvaise réputation ?
Oui, c'est un peu léger ...
Est-il normal alors que l'avocat est commun, qu'elle ne soit pas au
courant de ce que veut faire son mari, qu'il a l'intention de changer la
convention (alors que le divorce est dans 5 jours et qu'il faut 8 jours
pour que la convention soit validée (je ne sais pas si c'est le terme
exact), donc cela implique encore un report ou un changement de
procédure si le mari en a l'intention (ce qui semble etre le cas)
Le problème c'est qu'ils sont encore mariés et qu'il s'agit d'une
procédure "par consentement mutuel" c'est à dire à l'amiable ...
Donc NON, le comportement de cet avocat n'a rien d'anormal.
L'avocat, commun aux deux parties, donc neutre dans l'absolu, n'a pas
obligation d'avertir, de faire part des changements qui pourraient faire
changer la procédure à l'autre conjoint?? Il faut que l'autre partie
soit mise devant le fait accompli lors de l'audience ??
Il devrait s'assurer que l'autre partie est informée et d'accord (sinon
où est le "consentement mutuel" ?).
Quant à savoir qi la parole de l'époux est suffisante ...
Il n'est peut etre pas interdit pour un avocat de draguer ses clientes,
mais je trouve ignoble, de profiter de la détresse psychologique des
gens pour le faire.
Certes, mais je ne donnais pas mon avis sur la moralité du procédé, ce
n'est pas "in charte".
Reste l'éventuelle possibilité d'un geste délibéré pour se venger de la
rebuffade, mais là ce serait vraiment ignoble, et allez donc le prouver.
Un avocat immoral n'est pas forcément un mauvais avocat, mais il est
mauvais pour cette cliente là.
Un avocat immoral n'est pas forcément un mauvais avocat, mais il est
mauvais pour cette cliente là.
Immoral et mauvais. Donc ce n'était pas subjectif.
Puisque légalement on ne peut rien contre lui, reste la possibilité de
"le conseiller" aux associations etc etc (en présentant les faits bien
sur et en insistant sur le fait qu'il ne s'agit que d'une affaire)
Un avocat immoral n'est pas forcément un mauvais avocat, mais il est
mauvais pour cette cliente là.
Immoral et mauvais. Donc ce n'était pas subjectif.
Puisque légalement on ne peut rien contre lui, reste la possibilité de
"le conseiller" aux associations etc etc (en présentant les faits bien
sur et en insistant sur le fait qu'il ne s'agit que d'une affaire)
Un avocat immoral n'est pas forcément un mauvais avocat, mais il est
mauvais pour cette cliente là.
Immoral et mauvais. Donc ce n'était pas subjectif.
Puisque légalement on ne peut rien contre lui, reste la possibilité de
"le conseiller" aux associations etc etc (en présentant les faits bien
sur et en insistant sur le fait qu'il ne s'agit que d'une affaire)