"Mais pour aller plus loin et justifier les investissements qu'il nécessite,
le très haut débit a besoin de nouveaux services. D'où le lancement, le 26
juin, de la plate-forme d'expérimentation Openlab. "Il s'agit d'explorer les
applications du très haut débit qui vont transformer les communications, la
consommation et le travail", indique Pierre-Eric Saint-André, directeur
général délégué d'Axione, filiale d'ETDE (Bouygues Construction), qui a
réalisé le réseau fibre optique de Pau.
Les opérateurs de services sont donc conviés à tester leurs offres sur le
réseau de la ville. A la clé, bien sûr, l'émergence d'applications
susceptibles de convaincre d'autres municipalités d'investir dans la fibre
optique. "Couvrir la France reviendrait à 30 milliards d'euros, soit le coût
de la construction de 500 km d'autoroute", note M. Saint-André."
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lamaracanar
"david" a écrit dans le message de news: ee3rl5$l2t$
fu2:fric
"Mais pour aller plus loin et justifier les investissements qu'il nécessite, le très haut débit a besoin de nouveaux services. D'où le lancement, le 26 juin, de la plate-forme d'expérimentation Openlab. "Il s'agit d'explorer les applications du très haut débit qui vont transformer les communications, la consommation et le travail", indique Pierre-Eric Saint-André, directeur général délégué d'Axione, filiale d'ETDE (Bouygues Construction), qui a réalisé le réseau fibre optique de Pau. Les opérateurs de services sont donc conviés à tester leurs offres sur le réseau de la ville. A la clé, bien sûr, l'émergence d'applications susceptibles de convaincre d'autres municipalités d'investir dans la fibre optique. "Couvrir la France reviendrait à 30 milliards d'euros, soit le coût de la construction de 500 km d'autoroute", note M. Saint-André."
http://www.lemonde.fr/web/article/0,,,0.html
Fu2.fric
Y zon du pot à Pau.
"david" <david_PasDESPAMrevel@hotmail.com> a écrit dans le message de news:
ee3rl5$l2t$1@talisker.lacave.net...
fu2:fric
"Mais pour aller plus loin et justifier les investissements qu'il
nécessite, le très haut débit a besoin de nouveaux services. D'où le
lancement, le 26 juin, de la plate-forme d'expérimentation Openlab. "Il
s'agit d'explorer les applications du très haut débit qui vont transformer
les communications, la consommation et le travail", indique Pierre-Eric
Saint-André, directeur général délégué d'Axione, filiale d'ETDE (Bouygues
Construction), qui a réalisé le réseau fibre optique de Pau.
Les opérateurs de services sont donc conviés à tester leurs offres sur le
réseau de la ville. A la clé, bien sûr, l'émergence d'applications
susceptibles de convaincre d'autres municipalités d'investir dans la fibre
optique. "Couvrir la France reviendrait à 30 milliards d'euros, soit le
coût de la construction de 500 km d'autoroute", note M. Saint-André."
"david" a écrit dans le message de news: ee3rl5$l2t$
fu2:fric
"Mais pour aller plus loin et justifier les investissements qu'il nécessite, le très haut débit a besoin de nouveaux services. D'où le lancement, le 26 juin, de la plate-forme d'expérimentation Openlab. "Il s'agit d'explorer les applications du très haut débit qui vont transformer les communications, la consommation et le travail", indique Pierre-Eric Saint-André, directeur général délégué d'Axione, filiale d'ETDE (Bouygues Construction), qui a réalisé le réseau fibre optique de Pau. Les opérateurs de services sont donc conviés à tester leurs offres sur le réseau de la ville. A la clé, bien sûr, l'émergence d'applications susceptibles de convaincre d'autres municipalités d'investir dans la fibre optique. "Couvrir la France reviendrait à 30 milliards d'euros, soit le coût de la construction de 500 km d'autoroute", note M. Saint-André."
http://www.lemonde.fr/web/article/0,,,0.html
Fu2.fric
Y zon du pot à Pau.
Mon nom est Personne
On Sun, 17 Sep 2006 19:40:56 +0200, "lamaracanar" wrote:
Y zon du pot à Pau.
Et du Pau gnon.
On Sun, 17 Sep 2006 19:40:56 +0200, "lamaracanar"
<oeideboeuf@orange.fr> wrote:
On Mon, 2 Oct 2006 15:48:20 +0100, "Norebladac" wrote:
Et où est-ce qu'ils ont le Pau Gnon à Pau? Dans la poche du contribuable qui rembousera les emprunts? peut-être...
C'est pas ce qu'on reprochait au monopole d'état qu'était France Télécom pour bien le flinguer, il y a quelques années?
Que se soit FT, free, ou autre, c'est de toute facon toujours les meme qui payent.
Norebladac
"Que se soit FT, free, ou autre, c'est de toute facon toujours les meme qui payent.": -faux, quand c'est l'impot qui paye, tous les contribuables contribuent..., quand c'est une société, ce sont ses clients qui contribuent. C'est ce qui était reproché à tort à FT du temps de son monopole, alors que l'état n'y mettait pas un sou, et ponctionnait même au passage FT qui était bénéficiaire. Avec les collectivités locales, devenues invesstisseurs en réseau, et qui s'alimentent par l'impo,t ça sera bien le contribuable!
"Personne n'est parfait" a écrit dans le message de news:
On Mon, 2 Oct 2006 15:48:20 +0100, "Norebladac" wrote:
Et où est-ce qu'ils ont le Pau Gnon à Pau? Dans la poche du contribuable qui rembousera les emprunts? peut-être...
C'est pas ce qu'on reprochait au monopole d'état qu'était France Télécom pour bien le flinguer, il y a quelques années?
Que se soit FT, free, ou autre, c'est de toute facon toujours les meme qui payent.
"Que se soit FT, free, ou autre, c'est de toute facon toujours les meme
qui payent.":
-faux, quand c'est l'impot qui paye, tous les contribuables contribuent...,
quand c'est une société, ce sont ses clients qui contribuent. C'est ce qui
était reproché à tort à FT du temps de son monopole, alors que l'état n'y
mettait pas un sou, et ponctionnait même au passage FT qui était
bénéficiaire. Avec les collectivités locales, devenues invesstisseurs en
réseau, et qui s'alimentent par l'impo,t ça sera bien le contribuable!
"Personne n'est parfait" <invalide@OuiJeSaisCestPasBien.invalid> a écrit
dans le message de news: idq4i2tfrg3kjo89bvlgqjna3tdvt9v1bh@4ax.com...
On Mon, 2 Oct 2006 15:48:20 +0100, "Norebladac"
<Christian.Adalberon@wanadoo.fr> wrote:
Et où est-ce qu'ils ont le Pau Gnon à Pau? Dans la poche du contribuable
qui
rembousera les emprunts? peut-être...
C'est pas ce qu'on reprochait au monopole d'état qu'était France Télécom
pour bien le flinguer, il y a quelques années?
Que se soit FT, free, ou autre, c'est de toute facon toujours les meme
qui payent.
"Que se soit FT, free, ou autre, c'est de toute facon toujours les meme qui payent.": -faux, quand c'est l'impot qui paye, tous les contribuables contribuent..., quand c'est une société, ce sont ses clients qui contribuent. C'est ce qui était reproché à tort à FT du temps de son monopole, alors que l'état n'y mettait pas un sou, et ponctionnait même au passage FT qui était bénéficiaire. Avec les collectivités locales, devenues invesstisseurs en réseau, et qui s'alimentent par l'impo,t ça sera bien le contribuable!
"Personne n'est parfait" a écrit dans le message de news:
On Mon, 2 Oct 2006 15:48:20 +0100, "Norebladac" wrote:
Et où est-ce qu'ils ont le Pau Gnon à Pau? Dans la poche du contribuable qui rembousera les emprunts? peut-être...
C'est pas ce qu'on reprochait au monopole d'état qu'était France Télécom pour bien le flinguer, il y a quelques années?
Que se soit FT, free, ou autre, c'est de toute facon toujours les meme qui payent.
mdr
Norebladac a émis l'idée suivante :
"Que se soit FT, free, ou autre, c'est de toute facon toujours les meme qui payent.": -faux, quand c'est l'impot qui paye, tous les contribuables contribuent..., quand c'est une société, ce sont ses clients qui contribuent. C'est ce qui était reproché à tort à FT du temps de son monopole, alors que l'état n'y mettait pas un sou, et ponctionnait même au passage FT qui était bénéficiaire.
Vieil argument spécieux.
Il est facile d'être bénéficiaire quand on a le monopole sur un service indispensable à tous, et qu'on peut donc, avec la complicité de l'état, fixer ses prix arbitrairement avec une marge exhorbitante.
La ponction de l'état dans un tel système est la rétribution de cette complicité.
Et le fait que l'état ait pu se permettre de ponctionner ainsi pendant des années est la preuve que le service était exagérément sur-facturé.
Distinguer, toujours dans le cadre d'un tel monopole national, entre les clients du monopole et les contribuables est purement théorique, dans la mesure où ce sont quasiment les mêmes (voir taux d'équipement en téléphonie fixe).
Les reproches de certaines personnes mal informées (sur de supposées subventions à FT) sont certes mal formulés, mais le fond est réel et en fait encore plus lamentable: des services nécessaire à tous ont été abusivement surfacturés. Il aurait été bien moins critiquable que le monopole des télécoms applique des tarifs en dessous de son seuil de rentabilité et aie besoin de subvention (solidarité nationale sur un service indispensable).
En final, le système a permis de ponctionner de l'argent aux foyers français (par le biais de la surfacturation de services), argent qui a servi à payer des équipements (boucle locale, réseau national) qui ont été généreusement attribués à une société privée (France Telecom), qui continue par tous les moyens encore à sa disposition de profiter de ces équipements.
-- Posted via a free Usenet account from http://www.teranews.com
Norebladac a émis l'idée suivante :
"Que se soit FT, free, ou autre, c'est de toute facon toujours les meme
qui payent.":
-faux, quand c'est l'impot qui paye, tous les contribuables contribuent...,
quand c'est une société, ce sont ses clients qui contribuent. C'est ce qui
était reproché à tort à FT du temps de son monopole, alors que l'état n'y
mettait pas un sou, et ponctionnait même au passage FT qui était
bénéficiaire.
Vieil argument spécieux.
Il est facile d'être bénéficiaire quand on a le monopole sur un service
indispensable à tous, et qu'on peut donc, avec la complicité de l'état,
fixer ses prix arbitrairement avec une marge exhorbitante.
La ponction de l'état dans un tel système est la rétribution de cette
complicité.
Et le fait que l'état ait pu se permettre de ponctionner ainsi pendant
des années est la preuve que le service était exagérément sur-facturé.
Distinguer, toujours dans le cadre d'un tel monopole national, entre
les clients du monopole et les contribuables est purement théorique,
dans la mesure où ce sont quasiment les mêmes (voir taux d'équipement
en téléphonie fixe).
Les reproches de certaines personnes mal informées (sur de supposées
subventions à FT) sont certes mal formulés, mais le fond est réel et en
fait encore plus lamentable: des services nécessaire à tous ont été
abusivement surfacturés. Il aurait été bien moins critiquable que le
monopole des télécoms applique des tarifs en dessous de son seuil de
rentabilité et aie besoin de subvention (solidarité nationale sur un
service indispensable).
En final, le système a permis de ponctionner de l'argent aux foyers
français (par le biais de la surfacturation de services), argent qui a
servi à payer des équipements (boucle locale, réseau national) qui ont
été généreusement attribués à une société privée (France Telecom), qui
continue par tous les moyens encore à sa disposition de profiter de ces
équipements.
--
Posted via a free Usenet account from http://www.teranews.com
"Que se soit FT, free, ou autre, c'est de toute facon toujours les meme qui payent.": -faux, quand c'est l'impot qui paye, tous les contribuables contribuent..., quand c'est une société, ce sont ses clients qui contribuent. C'est ce qui était reproché à tort à FT du temps de son monopole, alors que l'état n'y mettait pas un sou, et ponctionnait même au passage FT qui était bénéficiaire.
Vieil argument spécieux.
Il est facile d'être bénéficiaire quand on a le monopole sur un service indispensable à tous, et qu'on peut donc, avec la complicité de l'état, fixer ses prix arbitrairement avec une marge exhorbitante.
La ponction de l'état dans un tel système est la rétribution de cette complicité.
Et le fait que l'état ait pu se permettre de ponctionner ainsi pendant des années est la preuve que le service était exagérément sur-facturé.
Distinguer, toujours dans le cadre d'un tel monopole national, entre les clients du monopole et les contribuables est purement théorique, dans la mesure où ce sont quasiment les mêmes (voir taux d'équipement en téléphonie fixe).
Les reproches de certaines personnes mal informées (sur de supposées subventions à FT) sont certes mal formulés, mais le fond est réel et en fait encore plus lamentable: des services nécessaire à tous ont été abusivement surfacturés. Il aurait été bien moins critiquable que le monopole des télécoms applique des tarifs en dessous de son seuil de rentabilité et aie besoin de subvention (solidarité nationale sur un service indispensable).
En final, le système a permis de ponctionner de l'argent aux foyers français (par le biais de la surfacturation de services), argent qui a servi à payer des équipements (boucle locale, réseau national) qui ont été généreusement attribués à une société privée (France Telecom), qui continue par tous les moyens encore à sa disposition de profiter de ces équipements.
-- Posted via a free Usenet account from http://www.teranews.com
Copper Ok
On Fri, 06 Oct 2006 16:06:50 +0200, mdr wrote:
Vieil argument spécieux.
Pas plus spécieux que de réécrire l'histoire en toute méconnaissance des réalités de l'époque.
Distinguer, toujours dans le cadre d'un tel monopole national, entre les clients du monopole et les contribuables est purement théorique, dans la mesure où ce sont quasiment les mêmes (voir taux d'équipement en téléphonie fixe).
Ce qui n'était absolument pas le cas dans les années 70, époque à laquelle l'effort d'investissement à pris son envol, époque où, hormis l'entreprise et les professions libérales, bien peu de foyers bénéficiaient du téléphone.
Les reproches de certaines personnes mal informées (sur de supposées subventions à FT) sont certes mal formulés, mais le fond est réel et en fait encore plus lamentable: des services nécessaire à tous ont été abusivement surfacturés.
Surtout quand on estime la facturation de l'époque par rapport aux prix de revient d'aujourd"hui.
Il aurait été bien moins critiquable que le monopole des télécoms applique des tarifs en dessous de son seuil de rentabilité et aie besoin de subvention (solidarité nationale sur un service indispensable).
Cette "solidarité nationale" aurait été, toujours à l'époque, ponctionnée sur tous au profit de quelques uns. Ça a été le cas, par exemple, pour le transport aérien.
Bien au contraire, la tarification téléphonique qui pesait alors essentiellement sur le prix des communications moyenne et longue distance, et beaucoup moins sur le prix de l'abonnement favorisait les petits utilisateurs par rapport aux gros.
En final, le système a permis de ponctionner de l'argent aux foyers français (par le biais de la surfacturation de services), argent qui a servi à payer des équipements (boucle locale, réseau national) qui ont été généreusement attribués à une société privée (France Telecom), qui continue par tous les moyens encore à sa disposition de profiter de ces équipements.
Derrière l'expresssion "généreusement attribués à une société privée" il faut évidemment lire "grassement vendus aux actionnaires d'une société anonyme nouvellement créée", car j'imagine que les paquets de milliards de Francs puis d'euros récoltés par l'état qui a mis sur le marché en 2 temps, plus de la moitié des actions de FT, n'avaient pas pour seule contrepartie le sourire de l'hôtesse d'accueil de la rue d'Alleray.
A moins que c'eut été une promotion commerciale comme on en voit tant aujourd'hui : "Le sourire de l'hôtesse pour x MDF+ y MD¤, et pour un euro de plus, les z milliers de kilomètres de boucle locale...."
On Fri, 06 Oct 2006 16:06:50 +0200, mdr <mdr@my.server> wrote:
Vieil argument spécieux.
Pas plus spécieux que de réécrire l'histoire en toute méconnaissance
des réalités de l'époque.
Distinguer, toujours dans le cadre d'un tel monopole national, entre
les clients du monopole et les contribuables est purement théorique,
dans la mesure où ce sont quasiment les mêmes (voir taux d'équipement
en téléphonie fixe).
Ce qui n'était absolument pas le cas dans les années 70, époque
à laquelle l'effort d'investissement à pris son envol, époque où,
hormis l'entreprise et les professions libérales, bien peu de foyers
bénéficiaient du téléphone.
Les reproches de certaines personnes mal informées (sur de supposées
subventions à FT) sont certes mal formulés, mais le fond est réel et en
fait encore plus lamentable: des services nécessaire à tous ont été
abusivement surfacturés.
Surtout quand on estime la facturation de l'époque par rapport
aux prix de revient d'aujourd"hui.
Il aurait été bien moins critiquable que le
monopole des télécoms applique des tarifs en dessous de son seuil de
rentabilité et aie besoin de subvention (solidarité nationale sur un
service indispensable).
Cette "solidarité nationale" aurait été, toujours à l'époque,
ponctionnée sur tous au profit de quelques uns.
Ça a été le cas, par exemple, pour le transport aérien.
Bien au contraire, la tarification téléphonique qui pesait alors
essentiellement sur le prix des communications moyenne et
longue distance, et beaucoup moins sur le prix de l'abonnement
favorisait les petits utilisateurs par rapport aux gros.
En final, le système a permis de ponctionner de l'argent aux foyers
français (par le biais de la surfacturation de services), argent qui a
servi à payer des équipements (boucle locale, réseau national) qui ont
été généreusement attribués à une société privée (France Telecom), qui
continue par tous les moyens encore à sa disposition de profiter de ces
équipements.
Derrière l'expresssion "généreusement attribués à une société privée"
il faut évidemment lire "grassement vendus aux actionnaires d'une
société anonyme nouvellement créée", car j'imagine que les
paquets de milliards de Francs puis d'euros récoltés par l'état qui a
mis sur le marché en 2 temps, plus de la moitié des actions de FT,
n'avaient pas pour seule contrepartie le sourire de l'hôtesse
d'accueil de la rue d'Alleray.
A moins que c'eut été une promotion commerciale comme on en
voit tant aujourd'hui : "Le sourire de l'hôtesse pour x MDF+ y MD¤,
et pour un euro de plus, les z milliers de kilomètres de boucle
locale...."
Pas plus spécieux que de réécrire l'histoire en toute méconnaissance des réalités de l'époque.
Distinguer, toujours dans le cadre d'un tel monopole national, entre les clients du monopole et les contribuables est purement théorique, dans la mesure où ce sont quasiment les mêmes (voir taux d'équipement en téléphonie fixe).
Ce qui n'était absolument pas le cas dans les années 70, époque à laquelle l'effort d'investissement à pris son envol, époque où, hormis l'entreprise et les professions libérales, bien peu de foyers bénéficiaient du téléphone.
Les reproches de certaines personnes mal informées (sur de supposées subventions à FT) sont certes mal formulés, mais le fond est réel et en fait encore plus lamentable: des services nécessaire à tous ont été abusivement surfacturés.
Surtout quand on estime la facturation de l'époque par rapport aux prix de revient d'aujourd"hui.
Il aurait été bien moins critiquable que le monopole des télécoms applique des tarifs en dessous de son seuil de rentabilité et aie besoin de subvention (solidarité nationale sur un service indispensable).
Cette "solidarité nationale" aurait été, toujours à l'époque, ponctionnée sur tous au profit de quelques uns. Ça a été le cas, par exemple, pour le transport aérien.
Bien au contraire, la tarification téléphonique qui pesait alors essentiellement sur le prix des communications moyenne et longue distance, et beaucoup moins sur le prix de l'abonnement favorisait les petits utilisateurs par rapport aux gros.
En final, le système a permis de ponctionner de l'argent aux foyers français (par le biais de la surfacturation de services), argent qui a servi à payer des équipements (boucle locale, réseau national) qui ont été généreusement attribués à une société privée (France Telecom), qui continue par tous les moyens encore à sa disposition de profiter de ces équipements.
Derrière l'expresssion "généreusement attribués à une société privée" il faut évidemment lire "grassement vendus aux actionnaires d'une société anonyme nouvellement créée", car j'imagine que les paquets de milliards de Francs puis d'euros récoltés par l'état qui a mis sur le marché en 2 temps, plus de la moitié des actions de FT, n'avaient pas pour seule contrepartie le sourire de l'hôtesse d'accueil de la rue d'Alleray.
A moins que c'eut été une promotion commerciale comme on en voit tant aujourd'hui : "Le sourire de l'hôtesse pour x MDF+ y MD¤, et pour un euro de plus, les z milliers de kilomètres de boucle locale...."
go50
"mdr" wrote in message news:...
Et le fait que l'état ait pu se permettre de ponctionner ainsi pendant des années est la preuve que le service était exagérément sur-facturé.
bonjour,
choix politique
Distinguer, toujours dans le cadre d'un tel monopole national, entre les clients du monopole et les contribuables est purement théorique,
dans la mesure où ce sont quasiment les mêmes (voir taux d'équipement en téléphonie fixe).
Les reproches de certaines personnes mal informées (sur de supposées subventions à FT) sont certes mal formulés, mais le fond est réel et en
fait encore plus lamentable: des services nécessaire à tous ont été abusivement surfacturés. Il aurait été bien moins critiquable que le
monopole des télécoms applique des tarifs en dessous de son seuil de rentabilité et aie besoin de subvention (solidarité nationale sur un
service indispensable).
En final, le système a permis de ponctionner de l'argent aux foyers français (par le biais de la surfacturation de services), argent qui a
servi à payer des équipements (boucle locale, réseau national) qui ont été généreusement attribués à une société privée (France Telecom), qui
continue par tous les moyens encore à sa disposition de profiter de ces
équipements.
les ponctions n'ont pas servis les PTT de l'epoque mais l'etat qui redistribuait cet argent dans le budget national aux differents miniteres voir au renflouement de certaines societes (ariane espace ou thomson par exemple). le budget vote par l'etat aux PTT etait de tres loin bien inferieur aux recettes...
"mdr" <mdr@my.server> wrote in message
news:<mn.33c67d6a7e86c44a.50889@my.server>...
Et le fait que l'état ait pu se permettre de ponctionner ainsi pendant des
années est la preuve que le service était exagérément sur-facturé.
bonjour,
choix politique
Distinguer, toujours dans le cadre d'un tel monopole national, entre les
clients du monopole et les contribuables est purement théorique,
dans la mesure où ce sont quasiment les mêmes (voir taux d'équipement en
téléphonie fixe).
Les reproches de certaines personnes mal informées (sur de supposées
subventions à FT) sont certes mal formulés, mais le fond est réel et en
fait encore plus lamentable: des services nécessaire à tous ont été
abusivement surfacturés. Il aurait été bien moins critiquable que le
monopole des télécoms applique des tarifs en dessous de son seuil de
rentabilité et aie besoin de subvention (solidarité nationale sur un
service indispensable).
En final, le système a permis de ponctionner de l'argent aux foyers
français (par le biais de la surfacturation de services), argent qui a
servi à payer des équipements (boucle locale, réseau national) qui ont
été généreusement attribués à une société privée (France Telecom), qui
continue par tous les moyens encore à sa disposition de profiter de ces
équipements.
les ponctions n'ont pas servis les PTT de l'epoque mais l'etat qui
redistribuait cet argent dans le budget national aux differents miniteres
voir au renflouement de certaines societes (ariane espace ou thomson par
exemple). le budget vote par l'etat aux PTT etait de tres loin bien
inferieur aux recettes...
Et le fait que l'état ait pu se permettre de ponctionner ainsi pendant des années est la preuve que le service était exagérément sur-facturé.
bonjour,
choix politique
Distinguer, toujours dans le cadre d'un tel monopole national, entre les clients du monopole et les contribuables est purement théorique,
dans la mesure où ce sont quasiment les mêmes (voir taux d'équipement en téléphonie fixe).
Les reproches de certaines personnes mal informées (sur de supposées subventions à FT) sont certes mal formulés, mais le fond est réel et en
fait encore plus lamentable: des services nécessaire à tous ont été abusivement surfacturés. Il aurait été bien moins critiquable que le
monopole des télécoms applique des tarifs en dessous de son seuil de rentabilité et aie besoin de subvention (solidarité nationale sur un
service indispensable).
En final, le système a permis de ponctionner de l'argent aux foyers français (par le biais de la surfacturation de services), argent qui a
servi à payer des équipements (boucle locale, réseau national) qui ont été généreusement attribués à une société privée (France Telecom), qui
continue par tous les moyens encore à sa disposition de profiter de ces
équipements.
les ponctions n'ont pas servis les PTT de l'epoque mais l'etat qui redistribuait cet argent dans le budget national aux differents miniteres voir au renflouement de certaines societes (ariane espace ou thomson par exemple). le budget vote par l'etat aux PTT etait de tres loin bien inferieur aux recettes...