Je fais une dépression réactionnelle suite à mon entrée dans la vie
active. Au début, c'étaient des pleurs. Après un premier arrêt maladie
suite à trop d'idées noires, au retour duquel mon employeur m'a dit
d'aller voir ailleurs car j'étais une erreur de casting; j'étais
effondrée et sans anti-dépresseurs car ils me rendaient malades. Sur
le coup, j'ai vu qu'un de mes anciens employeurs qui m'avaient pris en
stage cherchait quelqu'un. Il a accepté ma candidature et j'ai
accepté. C'est alors que mon état de santé mentale s'est aggravé, je
ne voulais plus démissionner, ma famille me disait que c'était la
seule solution. J'ai donné une fois ma lettre de démission sous la
contrainte familiale que j'ai ensuite reprise. Après, j'ai vécu deux
jours d'enfer seule dans mon bureau. La secrétaire de mon patron l'a
alerté de mon état et il s'est excusé et m'a dit de me reposer. Là,
impossible de me reposer, je suis restée trois jours au lit en
tremblant. De retour au travail, mon employeur me propose de
redémarrer à zéro, ce que je souhaitais et là je lui reparles de
démission lorsque je constate que je n'arrive toujours pas à
travailler. Le lendemain, impossible d'aller bosser. Ma mère profitant
d'un des seuls moments où je voulais démissionner, m'accompagne porter
ma lettre de démission. Sur le coup, l'employeur propose même de
prendre du repos au lieu de démissionner. Moi, j'étais totalement
absente; C'est après que j'ai réalisé que la démission était n'importe
quoi. J'ai alors fait une TS. Après quinze jours d'hospitalisation,
j'ai revu mon ancien employeur pour reprendre mon poste mais lui ne
veut plus. Je me dis que j'aurais du contester ma démission vu mon
état de santé et sachant qu'il a accepté en février une lettre datée
de janvier (la première lettre de démission). Aujourd'hui, j'ai
toujours des idées noires, je me dis que j'ai perdue un bon poste avec
des aspects pratiques intéressants et je ne suis pas motivée pour
aller chez mon nouvel employeur où on m'attend les bras ouverts.
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Est-il bon de revenir dans l'entreprise où on a eu sa dépression ? Je
ne sais pas si celle ci est due à l'entreprise ou au changement de vie
provoqué par le monde du travail?
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Loulou le Fou
Je veux bien, Scully, mais tu postes HS, sur un forum juridique.
Je te conseillerais juste une thérapie comportementale, pour enrayer ta phobie sociale, te stabiliser, et reprendre confiance en toi ( quoique je ne sois pas psy)... ... et ensuite, retrouver un boulot en adéquation avec tes aptitudes, et ton profil psychologique.
Loulou.
Je veux bien, Scully, mais tu postes HS, sur un forum juridique.
Je te conseillerais juste une thérapie comportementale, pour enrayer ta
phobie sociale, te stabiliser, et reprendre confiance en toi ( quoique je ne
sois pas psy)...
... et ensuite, retrouver un boulot en adéquation avec tes aptitudes, et ton
profil psychologique.
Je veux bien, Scully, mais tu postes HS, sur un forum juridique.
Je te conseillerais juste une thérapie comportementale, pour enrayer ta phobie sociale, te stabiliser, et reprendre confiance en toi ( quoique je ne sois pas psy)... ... et ensuite, retrouver un boulot en adéquation avec tes aptitudes, et ton profil psychologique.
Loulou.
Corinne
Je ne suis pas spécialiste, mais à mon avis il y a d'autres causes que l'entrée dans la vie active et qui étaient sous-jacentes jusque là. Une psychothérapie vous aiderait peut-être à y voir plus clair... et il n'y a pas de honte à avoir. Je vous le recommande fortement. En tout cas ne laissez pas traîner car s'il faut la solution est toute simple et bête ! Bon courage.
Je ne suis pas spécialiste, mais à mon avis il y a d'autres causes que
l'entrée dans la vie active et qui étaient sous-jacentes jusque là. Une
psychothérapie vous aiderait peut-être à y voir plus clair... et il n'y a
pas de honte à avoir. Je vous le recommande fortement.
En tout cas ne laissez pas traîner car s'il faut la solution est toute
simple et bête ! Bon courage.
Je ne suis pas spécialiste, mais à mon avis il y a d'autres causes que l'entrée dans la vie active et qui étaient sous-jacentes jusque là. Une psychothérapie vous aiderait peut-être à y voir plus clair... et il n'y a pas de honte à avoir. Je vous le recommande fortement. En tout cas ne laissez pas traîner car s'il faut la solution est toute simple et bête ! Bon courage.