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Numérisation de vinyl

41 réponses
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Guillou
Bonjour à tous,

Quelqu'un aurait-il une bonne adresse pour me numériser un disque vinyl
sur Paris ou RP ?.

10 réponses

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Jean Parleret-Hamonâne
Guillou a écrit :
Bonjour à tous,

Quelqu'un aurait-il une bonne adresse pour me numériser un disque vinyl sur
Paris ou RP ?.



Non, pas d'adresse.
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Guy
Le vendredi 28 juin 2013 19:51:54 UTC+2, Guillou a écrit :
Bonjour à tous,



Quelqu'un aurait-il une bonne adresse pour me numériser un disque vinyl

sur Paris ou RP ?.



Ce n'est pas difficile à faire soit même :

http://www.i-services.com/membres/forum/salon.php?uid3839&sid2187 &idsalon…93#is_top
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RVG
Le 28/06/2013 19:51, Guillou a écrit :
Bonjour à tous,

Quelqu'un aurait-il une bonne adresse pour me numériser un disque
vinyl sur Paris ou RP ?.





Votre platine vinyle doit avoir une sortie ligne que vous reliez à
l'entrée ligne de votre PC.

Un logiciel comme Audacity vous permet d'enregistrer et de filtrer le
résultat (élimination des craquements, etc.).

http://audacity.sourceforge.net/

--
"Shut your eyes and see."
James Joyce, Ulysses

http://jamen.do/l/a122797
http://jamen.do/l/a122027
http://bluedusk.blogspot.fr/
http://soundcloud.com/rvgronoff
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voir_le_reply-to
RVG wrote:

Votre platine vinyle doit avoir une sortie ligne que vous reliez à
l'entrée ligne de votre PC.



Référence ? Modèle ?
Pour ce que j'en connais c'est FAUX.

- Une platine vinyl "à l'ancienne" dispose d'une sortie à niveau PHONO
nécessitant un préampli correcteur RIAA avant de pouvoir en exploiter le
signal. Ce préampli était traditionnellement incorporé dans les amplis
hifi (grand public ou pas) au niveau d'une entrée dite, justement PHONO.
Ces amplis disposaient aussi en général de sorties à niveau ligne (pour
enregistrement par exemple) éventuellement exploitables par CERTAINS
types d'entrée d'ordinateurs : toutes n'étant pas forcément à niveau
"ligne" aussi (certaines étaient par exemple destinées à des micros
externes).

- Une platine vinyl "moderne" dispose d'un convertisseur audionumérique
interne et d'une sortie USB permettant son raccordement direct aux
ordinateurs.

- Certains ordinateurs disposent d'entrées audio à niveau
"auto-adaptable" (suivez mon regard vers ceux que j'aime bien, en
général à la pointe de la technologie). D'autres ont des convertisseurs
de merde... dans tous les cas on peut utilement investir dans une
interface audionumérique externe capable de recevoir des sources à
niveau micro (avec ou sans alimentation fantôme), ou ligne, DONC, malgré
tout sortant d'un préampli RIAA externe si la platine est d'ancien
modèle et si on ne dispose pas d'un ampli hifi offrant PHONO + LINE OUT.

Un logiciel comme Audacity vous permet d'enregistrer et de filtrer le
résultat (élimination des craquements, etc.).



Il existe de nombreux logiciels permettant d'enregistrer le son dans un
ordi, dont certains sont spécialisés dans la capture de signaux issus de
disques vinyls et effectivement dotés de filtres, de système de découpe
automatique, de normalisation des fichiers etc.

Ma pratique (qui n'est qu'un exemple et pas un modèle !) est dans un
premier temps de les ignorer et d'enregistrer sans compression (donc en
AIFF) et sans traitement les faces d'un seul tenant (et surtout sans
correction de niveau ou de dynamique !), puis d'archiver ces fichiers
"sources" et de n'opérer les traitement qu'en seconde intention, une
attention particulière étant portée aux "tags" (métadonnées), photo de
pochette etc.

La raison en est qu'il est difficile de prédire aujourd'hui quel sera le
goût musical de dans dix ans : peut-être raffolera-t-on des craquements
originaux, des enchainements de titres, peut-être vomira-t-on les
compressions (destructrices !) à la mode aujourd'hui...

Dans un contexte où, naturellement, j'estime qu'au prix actuel des
albums vendus en ligne, l'opération (qui se fait forcément en temps réel
et est donc forcément longue : deux ou trois fois la durée du disque,
entre enregistrement et traitements !) ne se justifie que pour des
vinyls *introuvables* en version CD. C'est plus fréquent qu'on ne pense
car un CD de durée identique à celle d'un 33T non rempli au maximum peut
être considéré comme une "escroquerie" et les volumes de Brassens, par
exemple, ont tous été réorganisés par Philips, contrariant la logique de
leur sortie historique. Dans d'autres cas, des problèmes de droits, des
choix éditoriaux, sont venus travestir les albums originaux. D'autres
ont eu une existence éphémère, édités pour un seul concert (le Salvador
à Pantin en 82, par exemple) et les titre sont venus regarnir des
compilations sans jamais restituer tous les titres originaux alors que
l'orchestre fabuleux qui se trouvait derrière aurait justifié une
édition spéciale ! D'autres enfin ne sont jamais sortis et ne sortiront
jamais en CD. Si en plus ils sont rares, une numérisation soigneuse (et
"nature") s'impose.

Voilou, hth,

--
Gérald
Avatar
RVG
Le 05/07/2013 21:55, Gerald a écrit :
RVG wrote:

Votre platine vinyle doit avoir une sortie ligne que vous reliez à
l'entrée ligne de votre PC.



Référence ? Modèle ? Pour ce que j'en connais c'est FAUX.

- Une platine vinyl "à l'ancienne" dispose d'une sortie à niveau
PHONO nécessitant un préampli correcteur RIAA avant de pouvoir en
exploiter le signal. Ce préampli était traditionnellement incorporé
dans les amplis hifi (grand public ou pas) au niveau d'une entrée
dite, justement PHONO. Ces amplis disposaient aussi en général de
sorties à niveau ligne (pour enregistrement par exemple)
éventuellement exploitables par CERTAINS types d'entrée
d'ordinateurs : toutes n'étant pas forcément à niveau "ligne" aussi
(certaines étaient par exemple destinées à des micros externes).

- Une platine vinyl "moderne" dispose d'un convertisseur
audionumérique interne et d'une sortie USB permettant son
raccordement direct aux ordinateurs.

- Certains ordinateurs disposent d'entrées audio à niveau
"auto-adaptable" (suivez mon regard vers ceux que j'aime bien, en
général à la pointe de la technologie). D'autres ont des
convertisseurs de merde... dans tous les cas on peut utilement
investir dans une interface audionumérique externe capable de
recevoir des sources à niveau micro (avec ou sans alimentation
fantôme), ou ligne, DONC, malgré tout sortant d'un préampli RIAA
externe si la platine est d'ancien modèle et si on ne dispose pas
d'un ampli hifi offrant PHONO + LINE OUT.

Un logiciel comme Audacity vous permet d'enregistrer et de filtrer
le résultat (élimination des craquements, etc.).



Il existe de nombreux logiciels permettant d'enregistrer le son dans
un ordi, dont certains sont spécialisés dans la capture de signaux
issus de disques vinyls et effectivement dotés de filtres, de
système de découpe automatique, de normalisation des fichiers etc.

Ma pratique (qui n'est qu'un exemple et pas un modèle !) est dans un
premier temps de les ignorer et d'enregistrer sans compression
(donc en AIFF)



ou WAV

et sans traitement les faces d'un seul tenant (et surtout sans
correction de niveau ou de dynamique !), puis d'archiver ces fichiers
"sources" et de n'opérer les traitement qu'en seconde intention, une
attention particulière étant portée aux "tags" (métadonnées), photo
de pochette etc.

La raison en est qu'il est difficile de prédire aujourd'hui quel
sera le goût musical de dans dix ans : peut-être raffolera-t-on des
craquements originaux, des enchainements de titres, peut-être
vomira-t-on les compressions (destructrices !) à la mode
aujourd'hui...

Dans un contexte où, naturellement, j'estime qu'au prix actuel des
albums vendus en ligne, l'opération (qui se fait forcément en temps
réel et est donc forcément longue : deux ou trois fois la durée du
disque, entre enregistrement et traitements !) ne se justifie que
pour des vinyls *introuvables* en version CD.



Il y a aussi les très vieilles cires 78 tours qu'on trouve sur Youtube
parce qu'un particulier en a retrouvé une caisse dans le grenier de sa
nouvelle maison. Des disques donc considérés comme perdus par l'éditeur
d'origine.

C'est plus fréquent qu'on ne pense car un CD de durée identique à
celle d'un 33T non rempli au maximum peut être considéré comme une
"escroquerie" et les volumes de Brassens, par exemple, ont tous été
réorganisés par Philips, contrariant la logique de leur sortie
historique. Dans d'autres cas, des problèmes de droits, des choix
éditoriaux, sont venus travestir les albums originaux. D'autres ont
eu une existence éphémère, édités pour un seul concert (le Salvador
à Pantin en 82, par exemple) et les titre sont venus regarnir des
compilations sans jamais restituer tous les titres originaux alors
que l'orchestre fabuleux qui se trouvait derrière aurait justifié une
édition spéciale ! D'autres enfin ne sont jamais sortis et ne
sortiront jamais en CD. Si en plus ils sont rares, une numérisation
soigneuse (et "nature") s'impose.




Les vieux originaux utilisés pour une commercialisation en CD
proviennent de masters magnétiques, analogiques ou numériques, qui sont
remixés en stéréo pour la diffusion en CD.
A l'instar des films, nombre de ces bandes originales ont été
remasterisées en HQ depuis pas mal de temps. Le boulot des ingés-sons
consiste à ramener toutes les pistes (de une pour de la mono à 32 pour
un opéra avec chanteurs, chœur et orchestre symphonique) à deux en
respectant les effets de profondeur. Un master où chaque groupe est
enregistré séparément a tous les volumes de sortie égaux. L'ingé-son
doit donc recréer la profondeur et l'acoustique de la salle de concert
originale, compte tenu du profil moyen du matériel audio utilisé par
l’auditeur final.

En partant d'une galette gravée, il n'y a pratiquement aucune
amélioration possible sauf à atténuer le souffle et les craquements au
risque de perdre une partie du spectre musical - qui est déjà compressé
et déformé (scintillement, pleurage, etc.) dans un disque analogique,
d'autant que selon l'emplacement sur le disque le sillon n'est pas lu à
la même vitesse relative.

--
"Shut your eyes and see."
James Joyce, Ulysses

http://jamen.do/l/a122797
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voir_le_reply-to
RVG wrote:

En partant d'une galette gravée, il n'y a pratiquement aucune
amélioration possible sauf à atténuer le souffle et les craquements au
risque de perdre une partie du spectre musical - qui est déjà compressé
et déformé (scintillement, pleurage, etc.) dans un disque analogique,



Tu confirmes dans une certaine mesure l'intérêt, si on part dans une
démarche de numérisation "utile" (de sources introuvables à la vente en
format numérique) de réaliser et d'archiver une numérisation brute, non
traitée dans un premier temps, et de ne procéder à d'éventuels
traitements (amha minimums) que dans un deuxième temps, incluant
découpe, et choix d'un format de compression compatible avec son
environnement de lecture (AAC ou Ogg Vorbis, amha).
--
Gérald
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Guy
Le 06/07/2013 05:42, Gerald a écrit :
RVG wrote:

En partant d'une galette gravée, il n'y a pratiquement aucune
amélioration possible sauf à atténuer le souffle et les craquements au
risque de perdre une partie du spectre musical - qui est déjà compressé
et déformé (scintillement, pleurage, etc.) dans un disque analogique,



Tu confirmes dans une certaine mesure l'intérêt, si on part dans une
démarche de numérisation "utile" (de sources introuvables à la vente en
format numérique) de réaliser et d'archiver une numérisation brute, non
traitée dans un premier temps, et de ne procéder à d'éventuels
traitements (amha minimums) que dans un deuxième temps, incluant
découpe, et choix d'un format de compression compatible avec son
environnement de lecture (AAC ou Ogg Vorbis, amha).




C'est aussi mon avis et c'est ce que je fais : je conserve les originaux
au format FLAC sur un disque amovible et je "bidouille" pour avoir une
copie en OGG ou AAC pour mon mobile, et ce, dans la plus pure légalité ;-)

http://www.i-services.com/membres/forum/salon.php?uid3839&sid2187&idsalonÂ…93#is_top

--
Loisirs et Passions
http://www.grenault.net
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MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de RVG nous susurrait, le vendredi 05/07/2013,
dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et
dans le message
<kr752i$bgm$, les doux
mélismes suivants :

Votre platine vinyle doit avoir une sortie ligne que vous reliez à
l'entrée ligne de votre PC.



???...
Ma Thorens 226 n'en a pas...
C'est mal ?...

--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
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voir_le_reply-to
MELMOTH wrote:

???...
Ma Thorens 226 n'en a pas...
C'est mal ?...



non c'est normal ! En fait c'est ceette idée d'une sortie ligne sur une
platine vinyle qui me semble quasi inexistante.

--
Gérald
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xcomm
Gerald a écrit :
MELMOTH wrote:

???...
Ma Thorens 226 n'en a pas...
C'est mal ?...



non c'est normal ! En fait c'est ceette idée d'une sortie ligne sur une
platine vinyle qui me semble quasi inexistante.



Bonsoir,

Oui, ce n'est pas le plus courant, mes les nouvelles références
disposent parfois de tout ce qui est adapté à la numérisation. Prise
USB, et sortie ligne pour répondre à certaines indications.

Quelques exemples qui peuvent aider :
Sherwood PM-9906
<http://www.francemarketing.fr/documents/Fiche%20Technique%20Sherwood%20PM-9906.pdf>
<http://www.francemarketing.fr/photos/2_photo_2.jpg>

audio-technica AT-LP120-USBC
<http://eu.audio-technica.com/fr/products/product.asp?catID=6&subIDB&

Bonne soirée.
Xavier
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