Bonjour à tous,
Quelqu'un aurait-il une bonne adresse pour me numériser un disque vinyl sur
Paris ou RP ?.
Bonjour à tous,
Quelqu'un aurait-il une bonne adresse pour me numériser un disque vinyl sur
Paris ou RP ?.
Bonjour à tous,
Quelqu'un aurait-il une bonne adresse pour me numériser un disque vinyl sur
Paris ou RP ?.
Bonjour à tous,
Quelqu'un aurait-il une bonne adresse pour me numériser un disque vinyl
sur Paris ou RP ?.
Bonjour à tous,
Quelqu'un aurait-il une bonne adresse pour me numériser un disque vinyl
sur Paris ou RP ?.
Bonjour à tous,
Quelqu'un aurait-il une bonne adresse pour me numériser un disque vinyl
sur Paris ou RP ?.
Bonjour à tous,
Quelqu'un aurait-il une bonne adresse pour me numériser un disque
vinyl sur Paris ou RP ?.
Bonjour à tous,
Quelqu'un aurait-il une bonne adresse pour me numériser un disque
vinyl sur Paris ou RP ?.
Bonjour à tous,
Quelqu'un aurait-il une bonne adresse pour me numériser un disque
vinyl sur Paris ou RP ?.
Votre platine vinyle doit avoir une sortie ligne que vous reliez à
l'entrée ligne de votre PC.
Un logiciel comme Audacity vous permet d'enregistrer et de filtrer le
résultat (élimination des craquements, etc.).
Votre platine vinyle doit avoir une sortie ligne que vous reliez à
l'entrée ligne de votre PC.
Un logiciel comme Audacity vous permet d'enregistrer et de filtrer le
résultat (élimination des craquements, etc.).
Votre platine vinyle doit avoir une sortie ligne que vous reliez à
l'entrée ligne de votre PC.
Un logiciel comme Audacity vous permet d'enregistrer et de filtrer le
résultat (élimination des craquements, etc.).
RVG wrote:Votre platine vinyle doit avoir une sortie ligne que vous reliez à
l'entrée ligne de votre PC.
Référence ? Modèle ? Pour ce que j'en connais c'est FAUX.
- Une platine vinyl "à l'ancienne" dispose d'une sortie à niveau
PHONO nécessitant un préampli correcteur RIAA avant de pouvoir en
exploiter le signal. Ce préampli était traditionnellement incorporé
dans les amplis hifi (grand public ou pas) au niveau d'une entrée
dite, justement PHONO. Ces amplis disposaient aussi en général de
sorties à niveau ligne (pour enregistrement par exemple)
éventuellement exploitables par CERTAINS types d'entrée
d'ordinateurs : toutes n'étant pas forcément à niveau "ligne" aussi
(certaines étaient par exemple destinées à des micros externes).
- Une platine vinyl "moderne" dispose d'un convertisseur
audionumérique interne et d'une sortie USB permettant son
raccordement direct aux ordinateurs.
- Certains ordinateurs disposent d'entrées audio à niveau
"auto-adaptable" (suivez mon regard vers ceux que j'aime bien, en
général à la pointe de la technologie). D'autres ont des
convertisseurs de merde... dans tous les cas on peut utilement
investir dans une interface audionumérique externe capable de
recevoir des sources à niveau micro (avec ou sans alimentation
fantôme), ou ligne, DONC, malgré tout sortant d'un préampli RIAA
externe si la platine est d'ancien modèle et si on ne dispose pas
d'un ampli hifi offrant PHONO + LINE OUT.
Un logiciel comme Audacity vous permet d'enregistrer et de filtrer
le résultat (élimination des craquements, etc.).
Il existe de nombreux logiciels permettant d'enregistrer le son dans
un ordi, dont certains sont spécialisés dans la capture de signaux
issus de disques vinyls et effectivement dotés de filtres, de
système de découpe automatique, de normalisation des fichiers etc.
Ma pratique (qui n'est qu'un exemple et pas un modèle !) est dans un
premier temps de les ignorer et d'enregistrer sans compression
(donc en AIFF)
et sans traitement les faces d'un seul tenant (et surtout sans
correction de niveau ou de dynamique !), puis d'archiver ces fichiers
"sources" et de n'opérer les traitement qu'en seconde intention, une
attention particulière étant portée aux "tags" (métadonnées), photo
de pochette etc.
La raison en est qu'il est difficile de prédire aujourd'hui quel
sera le goût musical de dans dix ans : peut-être raffolera-t-on des
craquements originaux, des enchainements de titres, peut-être
vomira-t-on les compressions (destructrices !) à la mode
aujourd'hui...
Dans un contexte où, naturellement, j'estime qu'au prix actuel des
albums vendus en ligne, l'opération (qui se fait forcément en temps
réel et est donc forcément longue : deux ou trois fois la durée du
disque, entre enregistrement et traitements !) ne se justifie que
pour des vinyls *introuvables* en version CD.
C'est plus fréquent qu'on ne pense car un CD de durée identique à
celle d'un 33T non rempli au maximum peut être considéré comme une
"escroquerie" et les volumes de Brassens, par exemple, ont tous été
réorganisés par Philips, contrariant la logique de leur sortie
historique. Dans d'autres cas, des problèmes de droits, des choix
éditoriaux, sont venus travestir les albums originaux. D'autres ont
eu une existence éphémère, édités pour un seul concert (le Salvador
à Pantin en 82, par exemple) et les titre sont venus regarnir des
compilations sans jamais restituer tous les titres originaux alors
que l'orchestre fabuleux qui se trouvait derrière aurait justifié une
édition spéciale ! D'autres enfin ne sont jamais sortis et ne
sortiront jamais en CD. Si en plus ils sont rares, une numérisation
soigneuse (et "nature") s'impose.
RVG <not.here@themoment.invalid.org> wrote:
Votre platine vinyle doit avoir une sortie ligne que vous reliez à
l'entrée ligne de votre PC.
Référence ? Modèle ? Pour ce que j'en connais c'est FAUX.
- Une platine vinyl "à l'ancienne" dispose d'une sortie à niveau
PHONO nécessitant un préampli correcteur RIAA avant de pouvoir en
exploiter le signal. Ce préampli était traditionnellement incorporé
dans les amplis hifi (grand public ou pas) au niveau d'une entrée
dite, justement PHONO. Ces amplis disposaient aussi en général de
sorties à niveau ligne (pour enregistrement par exemple)
éventuellement exploitables par CERTAINS types d'entrée
d'ordinateurs : toutes n'étant pas forcément à niveau "ligne" aussi
(certaines étaient par exemple destinées à des micros externes).
- Une platine vinyl "moderne" dispose d'un convertisseur
audionumérique interne et d'une sortie USB permettant son
raccordement direct aux ordinateurs.
- Certains ordinateurs disposent d'entrées audio à niveau
"auto-adaptable" (suivez mon regard vers ceux que j'aime bien, en
général à la pointe de la technologie). D'autres ont des
convertisseurs de merde... dans tous les cas on peut utilement
investir dans une interface audionumérique externe capable de
recevoir des sources à niveau micro (avec ou sans alimentation
fantôme), ou ligne, DONC, malgré tout sortant d'un préampli RIAA
externe si la platine est d'ancien modèle et si on ne dispose pas
d'un ampli hifi offrant PHONO + LINE OUT.
Un logiciel comme Audacity vous permet d'enregistrer et de filtrer
le résultat (élimination des craquements, etc.).
Il existe de nombreux logiciels permettant d'enregistrer le son dans
un ordi, dont certains sont spécialisés dans la capture de signaux
issus de disques vinyls et effectivement dotés de filtres, de
système de découpe automatique, de normalisation des fichiers etc.
Ma pratique (qui n'est qu'un exemple et pas un modèle !) est dans un
premier temps de les ignorer et d'enregistrer sans compression
(donc en AIFF)
et sans traitement les faces d'un seul tenant (et surtout sans
correction de niveau ou de dynamique !), puis d'archiver ces fichiers
"sources" et de n'opérer les traitement qu'en seconde intention, une
attention particulière étant portée aux "tags" (métadonnées), photo
de pochette etc.
La raison en est qu'il est difficile de prédire aujourd'hui quel
sera le goût musical de dans dix ans : peut-être raffolera-t-on des
craquements originaux, des enchainements de titres, peut-être
vomira-t-on les compressions (destructrices !) à la mode
aujourd'hui...
Dans un contexte où, naturellement, j'estime qu'au prix actuel des
albums vendus en ligne, l'opération (qui se fait forcément en temps
réel et est donc forcément longue : deux ou trois fois la durée du
disque, entre enregistrement et traitements !) ne se justifie que
pour des vinyls *introuvables* en version CD.
C'est plus fréquent qu'on ne pense car un CD de durée identique à
celle d'un 33T non rempli au maximum peut être considéré comme une
"escroquerie" et les volumes de Brassens, par exemple, ont tous été
réorganisés par Philips, contrariant la logique de leur sortie
historique. Dans d'autres cas, des problèmes de droits, des choix
éditoriaux, sont venus travestir les albums originaux. D'autres ont
eu une existence éphémère, édités pour un seul concert (le Salvador
à Pantin en 82, par exemple) et les titre sont venus regarnir des
compilations sans jamais restituer tous les titres originaux alors
que l'orchestre fabuleux qui se trouvait derrière aurait justifié une
édition spéciale ! D'autres enfin ne sont jamais sortis et ne
sortiront jamais en CD. Si en plus ils sont rares, une numérisation
soigneuse (et "nature") s'impose.
RVG wrote:Votre platine vinyle doit avoir une sortie ligne que vous reliez à
l'entrée ligne de votre PC.
Référence ? Modèle ? Pour ce que j'en connais c'est FAUX.
- Une platine vinyl "à l'ancienne" dispose d'une sortie à niveau
PHONO nécessitant un préampli correcteur RIAA avant de pouvoir en
exploiter le signal. Ce préampli était traditionnellement incorporé
dans les amplis hifi (grand public ou pas) au niveau d'une entrée
dite, justement PHONO. Ces amplis disposaient aussi en général de
sorties à niveau ligne (pour enregistrement par exemple)
éventuellement exploitables par CERTAINS types d'entrée
d'ordinateurs : toutes n'étant pas forcément à niveau "ligne" aussi
(certaines étaient par exemple destinées à des micros externes).
- Une platine vinyl "moderne" dispose d'un convertisseur
audionumérique interne et d'une sortie USB permettant son
raccordement direct aux ordinateurs.
- Certains ordinateurs disposent d'entrées audio à niveau
"auto-adaptable" (suivez mon regard vers ceux que j'aime bien, en
général à la pointe de la technologie). D'autres ont des
convertisseurs de merde... dans tous les cas on peut utilement
investir dans une interface audionumérique externe capable de
recevoir des sources à niveau micro (avec ou sans alimentation
fantôme), ou ligne, DONC, malgré tout sortant d'un préampli RIAA
externe si la platine est d'ancien modèle et si on ne dispose pas
d'un ampli hifi offrant PHONO + LINE OUT.
Un logiciel comme Audacity vous permet d'enregistrer et de filtrer
le résultat (élimination des craquements, etc.).
Il existe de nombreux logiciels permettant d'enregistrer le son dans
un ordi, dont certains sont spécialisés dans la capture de signaux
issus de disques vinyls et effectivement dotés de filtres, de
système de découpe automatique, de normalisation des fichiers etc.
Ma pratique (qui n'est qu'un exemple et pas un modèle !) est dans un
premier temps de les ignorer et d'enregistrer sans compression
(donc en AIFF)
et sans traitement les faces d'un seul tenant (et surtout sans
correction de niveau ou de dynamique !), puis d'archiver ces fichiers
"sources" et de n'opérer les traitement qu'en seconde intention, une
attention particulière étant portée aux "tags" (métadonnées), photo
de pochette etc.
La raison en est qu'il est difficile de prédire aujourd'hui quel
sera le goût musical de dans dix ans : peut-être raffolera-t-on des
craquements originaux, des enchainements de titres, peut-être
vomira-t-on les compressions (destructrices !) à la mode
aujourd'hui...
Dans un contexte où, naturellement, j'estime qu'au prix actuel des
albums vendus en ligne, l'opération (qui se fait forcément en temps
réel et est donc forcément longue : deux ou trois fois la durée du
disque, entre enregistrement et traitements !) ne se justifie que
pour des vinyls *introuvables* en version CD.
C'est plus fréquent qu'on ne pense car un CD de durée identique à
celle d'un 33T non rempli au maximum peut être considéré comme une
"escroquerie" et les volumes de Brassens, par exemple, ont tous été
réorganisés par Philips, contrariant la logique de leur sortie
historique. Dans d'autres cas, des problèmes de droits, des choix
éditoriaux, sont venus travestir les albums originaux. D'autres ont
eu une existence éphémère, édités pour un seul concert (le Salvador
à Pantin en 82, par exemple) et les titre sont venus regarnir des
compilations sans jamais restituer tous les titres originaux alors
que l'orchestre fabuleux qui se trouvait derrière aurait justifié une
édition spéciale ! D'autres enfin ne sont jamais sortis et ne
sortiront jamais en CD. Si en plus ils sont rares, une numérisation
soigneuse (et "nature") s'impose.
En partant d'une galette gravée, il n'y a pratiquement aucune
amélioration possible sauf à atténuer le souffle et les craquements au
risque de perdre une partie du spectre musical - qui est déjà compressé
et déformé (scintillement, pleurage, etc.) dans un disque analogique,
En partant d'une galette gravée, il n'y a pratiquement aucune
amélioration possible sauf à atténuer le souffle et les craquements au
risque de perdre une partie du spectre musical - qui est déjà compressé
et déformé (scintillement, pleurage, etc.) dans un disque analogique,
En partant d'une galette gravée, il n'y a pratiquement aucune
amélioration possible sauf à atténuer le souffle et les craquements au
risque de perdre une partie du spectre musical - qui est déjà compressé
et déformé (scintillement, pleurage, etc.) dans un disque analogique,
RVG wrote:En partant d'une galette gravée, il n'y a pratiquement aucune
amélioration possible sauf à atténuer le souffle et les craquements au
risque de perdre une partie du spectre musical - qui est déjà compressé
et déformé (scintillement, pleurage, etc.) dans un disque analogique,
Tu confirmes dans une certaine mesure l'intérêt, si on part dans une
démarche de numérisation "utile" (de sources introuvables à la vente en
format numérique) de réaliser et d'archiver une numérisation brute, non
traitée dans un premier temps, et de ne procéder à d'éventuels
traitements (amha minimums) que dans un deuxième temps, incluant
découpe, et choix d'un format de compression compatible avec son
environnement de lecture (AAC ou Ogg Vorbis, amha).
RVG <not.here@themoment.invalid.org> wrote:
En partant d'une galette gravée, il n'y a pratiquement aucune
amélioration possible sauf à atténuer le souffle et les craquements au
risque de perdre une partie du spectre musical - qui est déjà compressé
et déformé (scintillement, pleurage, etc.) dans un disque analogique,
Tu confirmes dans une certaine mesure l'intérêt, si on part dans une
démarche de numérisation "utile" (de sources introuvables à la vente en
format numérique) de réaliser et d'archiver une numérisation brute, non
traitée dans un premier temps, et de ne procéder à d'éventuels
traitements (amha minimums) que dans un deuxième temps, incluant
découpe, et choix d'un format de compression compatible avec son
environnement de lecture (AAC ou Ogg Vorbis, amha).
RVG wrote:En partant d'une galette gravée, il n'y a pratiquement aucune
amélioration possible sauf à atténuer le souffle et les craquements au
risque de perdre une partie du spectre musical - qui est déjà compressé
et déformé (scintillement, pleurage, etc.) dans un disque analogique,
Tu confirmes dans une certaine mesure l'intérêt, si on part dans une
démarche de numérisation "utile" (de sources introuvables à la vente en
format numérique) de réaliser et d'archiver une numérisation brute, non
traitée dans un premier temps, et de ne procéder à d'éventuels
traitements (amha minimums) que dans un deuxième temps, incluant
découpe, et choix d'un format de compression compatible avec son
environnement de lecture (AAC ou Ogg Vorbis, amha).
Votre platine vinyle doit avoir une sortie ligne que vous reliez à
l'entrée ligne de votre PC.
Votre platine vinyle doit avoir une sortie ligne que vous reliez à
l'entrée ligne de votre PC.
Votre platine vinyle doit avoir une sortie ligne que vous reliez à
l'entrée ligne de votre PC.
???...
Ma Thorens 226 n'en a pas...
C'est mal ?...
???...
Ma Thorens 226 n'en a pas...
C'est mal ?...
???...
Ma Thorens 226 n'en a pas...
C'est mal ?...
MELMOTH wrote:???...
Ma Thorens 226 n'en a pas...
C'est mal ?...
non c'est normal ! En fait c'est ceette idée d'une sortie ligne sur une
platine vinyle qui me semble quasi inexistante.
MELMOTH <theo@free.fr> wrote:
???...
Ma Thorens 226 n'en a pas...
C'est mal ?...
non c'est normal ! En fait c'est ceette idée d'une sortie ligne sur une
platine vinyle qui me semble quasi inexistante.
MELMOTH wrote:???...
Ma Thorens 226 n'en a pas...
C'est mal ?...
non c'est normal ! En fait c'est ceette idée d'une sortie ligne sur une
platine vinyle qui me semble quasi inexistante.