Dans le reportage, on nous présente plein de femmes amoureuses de
mineurs (de 12 à 17ans) comme des victimes, puis on passe à l'interview,
"c'est beau une histoire d'amour" dit Carlier, soit, mais imaginez le
tollé si le sujet avait été présenté de la même façon avec des hommes à
la place des femmes.
Imaginez la même chose avec un homme prof de collège qui témoigne avoir
eu des relations sexuelles avec une élève de 14ans. Aurait-il été applaudi ?
Pour des femmes ça passe...
--
Laurent Raufaste
analogue @ http://www.glop.org/
Honteux d'être français, je suis pour l'instant européen !
Dans le reportage, on nous présente plein de femmes amoureuses de mineurs (de 12 à 17ans) comme des victimes, puis on passe à l'interview, "c'est beau une histoire d'amour" dit Carlier, soit, mais imaginez le tollé si le sujet avait été présenté de la même façon avec des hommes à la place des femmes.
Impossible en sens inverse. Le mec qui abuse de mineures suit ses pulsions sexuelles, pas son coeur. Les femmes interviewées n'ont rien imposé sous la contrainte aux mineurs détournés.
Au sommet de son art, analogue a pondu :
Dans le reportage, on nous présente plein de femmes amoureuses de
mineurs (de 12 à 17ans) comme des victimes, puis on passe à l'interview,
"c'est beau une histoire d'amour" dit Carlier, soit, mais imaginez le
tollé si le sujet avait été présenté de la même façon avec des hommes à
la place des femmes.
Impossible en sens inverse.
Le mec qui abuse de mineures suit ses pulsions sexuelles, pas son coeur.
Les femmes interviewées n'ont rien imposé sous la contrainte aux mineurs
détournés.
Dans le reportage, on nous présente plein de femmes amoureuses de mineurs (de 12 à 17ans) comme des victimes, puis on passe à l'interview, "c'est beau une histoire d'amour" dit Carlier, soit, mais imaginez le tollé si le sujet avait été présenté de la même façon avec des hommes à la place des femmes.
Impossible en sens inverse. Le mec qui abuse de mineures suit ses pulsions sexuelles, pas son coeur. Les femmes interviewées n'ont rien imposé sous la contrainte aux mineurs détournés.
Guy-Hubert Bourdelle
analogue wrote:
Dans le reportage, on nous présente plein de femmes amoureuses de mineurs (de 12 à 17ans) comme des victimes, puis on passe à l'interview, "c'est beau une histoire d'amour" dit Carlier, soit, mais imaginez le tollé si le sujet avait été présenté de la même façon avec des hommes à la place des femmes.
Imaginez la même chose avec un homme prof de collège qui témoigne avoir eu des relations sexuelles avec une élève de 14ans. Aurait-il été applaudi ?
Pour des femmes ça passe...
En France la femme ne peut qu'etre qu'une "victime".
analogue wrote:
Dans le reportage, on nous présente plein de femmes amoureuses de
mineurs (de 12 à 17ans) comme des victimes, puis on passe à l'interview,
"c'est beau une histoire d'amour" dit Carlier, soit, mais imaginez le
tollé si le sujet avait été présenté de la même façon avec des hommes à
la place des femmes.
Imaginez la même chose avec un homme prof de collège qui témoigne avoir
eu des relations sexuelles avec une élève de 14ans. Aurait-il été
applaudi ?
Pour des femmes ça passe...
En France la femme ne peut qu'etre qu'une "victime".
Dans le reportage, on nous présente plein de femmes amoureuses de mineurs (de 12 à 17ans) comme des victimes, puis on passe à l'interview, "c'est beau une histoire d'amour" dit Carlier, soit, mais imaginez le tollé si le sujet avait été présenté de la même façon avec des hommes à la place des femmes.
Imaginez la même chose avec un homme prof de collège qui témoigne avoir eu des relations sexuelles avec une élève de 14ans. Aurait-il été applaudi ?
Pour des femmes ça passe...
En France la femme ne peut qu'etre qu'une "victime".
Guy-Hubert Bourdelle
Sirius wrote:
Au sommet de son art, analogue a pondu :
Dans le reportage, on nous présente plein de femmes amoureuses de mineurs (de 12 à 17ans) comme des victimes, puis on passe à l'interview, "c'est beau une histoire d'amour" dit Carlier, soit, mais imaginez le tollé si le sujet avait été présenté de la même façon avec des hommes à la place des femmes.
Impossible en sens inverse. Le mec qui abuse de mineures suit ses pulsions sexuelles, pas son coeur. Les femmes interviewées n'ont rien imposé sous la contrainte aux mineurs détournés.
Les hommes non plus. Si tu ecoutes bien les proces les gamins sont en majorité partant et porte plainte quand ils se font largué.
Sirius wrote:
Au sommet de son art, analogue a pondu :
Dans le reportage, on nous présente plein de femmes amoureuses de
mineurs (de 12 à 17ans) comme des victimes, puis on passe à l'interview,
"c'est beau une histoire d'amour" dit Carlier, soit, mais imaginez le
tollé si le sujet avait été présenté de la même façon avec des hommes à
la place des femmes.
Impossible en sens inverse.
Le mec qui abuse de mineures suit ses pulsions sexuelles, pas son coeur.
Les femmes interviewées n'ont rien imposé sous la contrainte aux mineurs
détournés.
Les hommes non plus. Si tu ecoutes bien les proces les gamins sont
en majorité partant et porte plainte quand ils se font largué.
Dans le reportage, on nous présente plein de femmes amoureuses de mineurs (de 12 à 17ans) comme des victimes, puis on passe à l'interview, "c'est beau une histoire d'amour" dit Carlier, soit, mais imaginez le tollé si le sujet avait été présenté de la même façon avec des hommes à la place des femmes.
Impossible en sens inverse. Le mec qui abuse de mineures suit ses pulsions sexuelles, pas son coeur. Les femmes interviewées n'ont rien imposé sous la contrainte aux mineurs détournés.
Les hommes non plus. Si tu ecoutes bien les proces les gamins sont en majorité partant et porte plainte quand ils se font largué.
Maitre Po
"analogue" a écrit
Dans le reportage, on nous présente plein de femmes amoureuses de mineurs (de 12 à 17ans) comme des victimes, puis on passe à l'interview, "c'est beau une histoire d'amour" dit Carlier, soit, mais imaginez le tollé si le sujet avait été présenté de la même façon avec des hommes à la place des femmes. Pour des femmes ça passe...
Bah, en 97, Muriel a 33 ans, et Jean-Baptiste, 14 ans. Et tout le monde sur le plateau trouve ça normal... L'histoire devient plus scabreuse par la suite : Sa mère était sortie à 39 ans avec un jeune de 15 ans, Son fils Adrien avait un an de plus que JB, JB, drogué, la battait, Muriel s'est fait avorter deux fois...
Arf... une bien belle histoire d'amour ! Pour les curieux, l'url de son site : http://perso.wanadoo.fr/muriel.f/accueil.htm
Maître Po, ému
"analogue" <analogue@glop.org> a écrit
Dans le reportage, on nous présente plein de femmes amoureuses de mineurs
(de 12 à 17ans) comme des victimes, puis on passe à l'interview, "c'est
beau une histoire d'amour" dit Carlier, soit, mais imaginez le tollé si le
sujet avait été présenté de la même façon avec des hommes à la place des
femmes.
Pour des femmes ça passe...
Bah, en 97, Muriel a 33 ans, et Jean-Baptiste, 14 ans. Et tout le monde sur
le plateau trouve ça normal...
L'histoire devient plus scabreuse par la suite :
Sa mère était sortie à 39 ans avec un jeune de 15 ans,
Son fils Adrien avait un an de plus que JB,
JB, drogué, la battait,
Muriel s'est fait avorter deux fois...
Arf... une bien belle histoire d'amour !
Pour les curieux, l'url de son site :
http://perso.wanadoo.fr/muriel.f/accueil.htm
Dans le reportage, on nous présente plein de femmes amoureuses de mineurs (de 12 à 17ans) comme des victimes, puis on passe à l'interview, "c'est beau une histoire d'amour" dit Carlier, soit, mais imaginez le tollé si le sujet avait été présenté de la même façon avec des hommes à la place des femmes. Pour des femmes ça passe...
Bah, en 97, Muriel a 33 ans, et Jean-Baptiste, 14 ans. Et tout le monde sur le plateau trouve ça normal... L'histoire devient plus scabreuse par la suite : Sa mère était sortie à 39 ans avec un jeune de 15 ans, Son fils Adrien avait un an de plus que JB, JB, drogué, la battait, Muriel s'est fait avorter deux fois...
Arf... une bien belle histoire d'amour ! Pour les curieux, l'url de son site : http://perso.wanadoo.fr/muriel.f/accueil.htm
Maître Po, ému
analogue
Sirius a écrit :
Impossible en sens inverse. Le mec qui abuse de mineures suit ses pulsions sexuelles, pas son coeur. Les femmes interviewées n'ont rien imposé sous la contrainte aux mineurs détournés.
Donc pour toi, toute femme a des sentiments, et leur amour est respectable. A la différence, tout homme se résume à vouloir vider sa bourse. Tu es féministe ? Ca expliquerait ton étroitesse d'esprit.
-- Laurent Raufaste analogue @ http://www.glop.org/ Honteux d'être français, je suis pour l'instant européen !
Sirius a écrit :
Impossible en sens inverse.
Le mec qui abuse de mineures suit ses pulsions sexuelles, pas son coeur.
Les femmes interviewées n'ont rien imposé sous la contrainte aux mineurs
détournés.
Donc pour toi, toute femme a des sentiments, et leur amour est
respectable. A la différence, tout homme se résume à vouloir vider sa
bourse. Tu es féministe ? Ca expliquerait ton étroitesse d'esprit.
--
Laurent Raufaste
analogue @ http://www.glop.org/
Honteux d'être français, je suis pour l'instant européen !
Impossible en sens inverse. Le mec qui abuse de mineures suit ses pulsions sexuelles, pas son coeur. Les femmes interviewées n'ont rien imposé sous la contrainte aux mineurs détournés.
Donc pour toi, toute femme a des sentiments, et leur amour est respectable. A la différence, tout homme se résume à vouloir vider sa bourse. Tu es féministe ? Ca expliquerait ton étroitesse d'esprit.
-- Laurent Raufaste analogue @ http://www.glop.org/ Honteux d'être français, je suis pour l'instant européen !
Anne
Guy-Hubert Bourdelle wrote:
En France la femme ne peut qu'etre qu'une "victime".
À vous lire, on dirait bien que vous enviez ce rôle.
-- Anne
Guy-Hubert Bourdelle wrote:
En France la femme ne peut qu'etre qu'une "victime".
À vous lire, on dirait bien que vous enviez ce rôle.
En France la femme ne peut qu'etre qu'une "victime".
À vous lire, on dirait bien que vous enviez ce rôle.
-- Anne
Maxwell
"Guy-Hubert Bourdelle" a écrit dans le message de
En France la femme ne peut qu'etre qu'une "victime".
Une femme qui porte une jupe raz la chatte, qui roule du Q à 3h du matin dans un quartier chaud ou elle se fait violer, c'est pas de sa faute, mais celle de l'agresseur qui n'a pas su retenir ses pulsions. Logique.
"Guy-Hubert Bourdelle" a écrit dans le message de
En France la femme ne peut qu'etre qu'une "victime".
Une femme qui porte une jupe raz la chatte, qui roule du Q à 3h du matin
dans un quartier chaud ou elle se fait violer, c'est pas de sa faute, mais
celle de l'agresseur qui n'a pas su retenir ses pulsions.
Logique.
En France la femme ne peut qu'etre qu'une "victime".
Une femme qui porte une jupe raz la chatte, qui roule du Q à 3h du matin dans un quartier chaud ou elle se fait violer, c'est pas de sa faute, mais celle de l'agresseur qui n'a pas su retenir ses pulsions. Logique.
Sirius
Au sommet de son art, Maxwell a pondu :
Une femme qui porte une jupe raz la chatte, qui roule du Q à 3h du matin dans un quartier chaud ou elle se fait violer, c'est pas de sa faute, mais celle de l'agresseur qui n'a pas su retenir ses pulsions. Logique.
Je confirme : dans un viol, la faute est du côté de l'agresseur.
Au sommet de son art, Maxwell a pondu :
Une femme qui porte une jupe raz la chatte, qui roule du Q à 3h du matin
dans un quartier chaud ou elle se fait violer, c'est pas de sa faute, mais
celle de l'agresseur qui n'a pas su retenir ses pulsions.
Logique.
Je confirme : dans un viol, la faute est du côté de l'agresseur.
Une femme qui porte une jupe raz la chatte, qui roule du Q à 3h du matin dans un quartier chaud ou elle se fait violer, c'est pas de sa faute, mais celle de l'agresseur qui n'a pas su retenir ses pulsions. Logique.
Je confirme : dans un viol, la faute est du côté de l'agresseur.
Guy-Hubert Bourdelle
Maitre Po wrote:
"analogue" a écrit
Dans le reportage, on nous présente plein de femmes amoureuses de mineurs (de 12 à 17ans) comme des victimes, puis on passe à l'interview, "c'est beau une histoire d'amour" dit Carlier, soit, mais imaginez le tollé si le sujet avait été présenté de la même façon avec des hommes à la place des femmes. Pour des femmes ça passe...
Bah, en 97, Muriel a 33 ans, et Jean-Baptiste, 14 ans. Et tout le monde sur le plateau trouve ça normal... L'histoire devient plus scabreuse par la suite : Sa mère était sortie à 39 ans avec un jeune de 15 ans, Son fils Adrien avait un an de plus que JB, JB, drogué, la battait, Muriel s'est fait avorter deux fois...
Arf... une bien belle histoire d'amour ! Pour les curieux, l'url de son site : http://perso.wanadoo.fr/muriel.f/accueil.htm
Maître Po, ému
Ah la salope!
Maitre Po wrote:
"analogue" <analogue@glop.org> a écrit
Dans le reportage, on nous présente plein de femmes amoureuses de mineurs
(de 12 à 17ans) comme des victimes, puis on passe à l'interview, "c'est
beau une histoire d'amour" dit Carlier, soit, mais imaginez le tollé si le
sujet avait été présenté de la même façon avec des hommes à la place des
femmes.
Pour des femmes ça passe...
Bah, en 97, Muriel a 33 ans, et Jean-Baptiste, 14 ans. Et tout le monde sur
le plateau trouve ça normal...
L'histoire devient plus scabreuse par la suite :
Sa mère était sortie à 39 ans avec un jeune de 15 ans,
Son fils Adrien avait un an de plus que JB,
JB, drogué, la battait,
Muriel s'est fait avorter deux fois...
Arf... une bien belle histoire d'amour !
Pour les curieux, l'url de son site :
http://perso.wanadoo.fr/muriel.f/accueil.htm
Dans le reportage, on nous présente plein de femmes amoureuses de mineurs (de 12 à 17ans) comme des victimes, puis on passe à l'interview, "c'est beau une histoire d'amour" dit Carlier, soit, mais imaginez le tollé si le sujet avait été présenté de la même façon avec des hommes à la place des femmes. Pour des femmes ça passe...
Bah, en 97, Muriel a 33 ans, et Jean-Baptiste, 14 ans. Et tout le monde sur le plateau trouve ça normal... L'histoire devient plus scabreuse par la suite : Sa mère était sortie à 39 ans avec un jeune de 15 ans, Son fils Adrien avait un an de plus que JB, JB, drogué, la battait, Muriel s'est fait avorter deux fois...
Arf... une bien belle histoire d'amour ! Pour les curieux, l'url de son site : http://perso.wanadoo.fr/muriel.f/accueil.htm
Maître Po, ému
Ah la salope!
Europe
"Sirius" a écrit dans le message de news:42b5d240$0$9926$
Au sommet de son art, Maxwell a pondu :
> Une femme qui porte une jupe raz la chatte, qui roule du Q à 3h du matin > dans un quartier chaud ou elle se fait violer, c'est pas de sa faute,
mais
> celle de l'agresseur qui n'a pas su retenir ses pulsions. > Logique.
Je confirme : dans un viol, la faute est du côté de l'agresseur.
C'est ce que dit malheureusement la loi. Ce qui permet aux salopes de se faire agresser en toute impunité et avec des dommages et intérets. Poufiasses !
"Sirius" <barrywhite@yahoo.fr> a écrit dans le message de
news:42b5d240$0$9926$626a14ce@news.free.fr...
Au sommet de son art, Maxwell a pondu :
> Une femme qui porte une jupe raz la chatte, qui roule du Q à 3h du matin
> dans un quartier chaud ou elle se fait violer, c'est pas de sa faute,
mais
> celle de l'agresseur qui n'a pas su retenir ses pulsions.
> Logique.
Je confirme : dans un viol, la faute est du côté de l'agresseur.
C'est ce que dit malheureusement la loi. Ce qui
permet aux salopes de se faire agresser en toute impunité
et avec des dommages et intérets. Poufiasses !
"Sirius" a écrit dans le message de news:42b5d240$0$9926$
Au sommet de son art, Maxwell a pondu :
> Une femme qui porte une jupe raz la chatte, qui roule du Q à 3h du matin > dans un quartier chaud ou elle se fait violer, c'est pas de sa faute,
mais
> celle de l'agresseur qui n'a pas su retenir ses pulsions. > Logique.
Je confirme : dans un viol, la faute est du côté de l'agresseur.
C'est ce que dit malheureusement la loi. Ce qui permet aux salopes de se faire agresser en toute impunité et avec des dommages et intérets. Poufiasses !