Tu as déjà fait de la macro dans ta vie ? La photo est réussie, mais le sujet a été victime d'un accident classique de brumisation ! -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
Tu as déjà fait de la macro dans ta vie ? La photo est réussie, mais le sujet a été victime d'un accident classique de brumisation ! -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
Tu as déjà fait de la macro dans ta vie ? La photo est réussie, mais le sujet a été victime d'un accident classique de brumisation !
Plus je te lis, plus tu rentres dans la case Louis Leroy : Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés. Ils détestent tout, surtout les plus doués qu'eux. Ils deviennent parfois critiques d'art et se vengent. Le 15 avril 1874, une exposition réunit, dans l'ancien local du photographe Nadar, 35, boulevard des Capucines à Paris, une trentaine de peintres refusés par le salon officiel académique. Ils ont créé ensemble une Société anonyme coopérative d'artistes peintres pour organiser et financer leur manifestation. Parmi eux, Claude Monet, 33 ans. Il expose plusieurs peintures, dont l'une porte le numéro 98 dans le catalogue : « Impression, soleil levant ». Louis Leroy, un critique de 62 ans, n'y va pas de main morte. Le tableau ne lui plaît pas, et il cherche un bon mot : « Le papier peint à l'état embryonnaire est encore plus fait que cette marine-là ! » Le port du Havre à l'aube par Monet, même pas du niveau d'un papier peint... Et Paf ! Zboing ! Sclock ! Vlan ! -1 parce que je suis gentil. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
Jacques DASSIÉ <jacques.dassie@free.fr> wrote:
Benoit a émis l'idée suivante :
> jdd <jdd@dodin.org> wrote:
>
>> https://www.deviantart.com/martinamm/art/ugly-beauty-75637353
>
> Un grand très très grand merci.
>
> +10
Tu as déjà fait de la macro dans ta vie ?
La photo est réussie, mais le sujet a été victime d'un accident
classique de brumisation !
Plus je te lis, plus tu rentres dans la case Louis Leroy :
Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés. Ils détestent
tout, surtout les plus doués qu'eux. Ils deviennent parfois critiques
d'art et se vengent. Le 15 avril 1874, une exposition réunit, dans
l'ancien local du photographe Nadar, 35, boulevard des Capucines à
Paris, une trentaine de peintres refusés par le salon officiel
académique. Ils ont créé ensemble une Société anonyme coopérative
d'artistes peintres pour organiser et financer leur manifestation.
Parmi eux, Claude Monet, 33 ans. Il expose plusieurs peintures, dont
l'une porte le numéro 98 dans le catalogue : « Impression, soleil
levant ». Louis Leroy, un critique de 62 ans, n'y va pas de main morte.
Le tableau ne lui plaît pas, et il cherche un bon mot : « Le papier
peint à l'état embryonnaire est encore plus fait que cette marine-là ! »
Le port du Havre à l'aube par Monet, même pas du niveau d'un papier
peint...
Et Paf ! Zboing ! Sclock ! Vlan !
-1 parce que je suis gentil.
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
Tu as déjà fait de la macro dans ta vie ? La photo est réussie, mais le sujet a été victime d'un accident classique de brumisation !
Plus je te lis, plus tu rentres dans la case Louis Leroy : Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés. Ils détestent tout, surtout les plus doués qu'eux. Ils deviennent parfois critiques d'art et se vengent. Le 15 avril 1874, une exposition réunit, dans l'ancien local du photographe Nadar, 35, boulevard des Capucines à Paris, une trentaine de peintres refusés par le salon officiel académique. Ils ont créé ensemble une Société anonyme coopérative d'artistes peintres pour organiser et financer leur manifestation. Parmi eux, Claude Monet, 33 ans. Il expose plusieurs peintures, dont l'une porte le numéro 98 dans le catalogue : « Impression, soleil levant ». Louis Leroy, un critique de 62 ans, n'y va pas de main morte. Le tableau ne lui plaît pas, et il cherche un bon mot : « Le papier peint à l'état embryonnaire est encore plus fait que cette marine-là ! » Le port du Havre à l'aube par Monet, même pas du niveau d'un papier peint... Et Paf ! Zboing ! Sclock ! Vlan ! -1 parce que je suis gentil. -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
Tu as déjà fait de la macro dans ta vie ? La photo est réussie, mais le sujet a été victime d'un accident classique de brumisation !
Plus je te lis, plus tu rentres dans la case Louis Leroy : Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés. Ils détestent tout, surtout les plus doués qu'eux. Ils deviennent parfois critiques d'art et se vengent. Le 15 avril 1874, une exposition réunit, dans l'ancien local du photographe Nadar, 35, boulevard des Capucines à Paris, une trentaine de peintres refusés par le salon officiel académique. Ils ont créé ensemble une Société anonyme coopérative d'artistes peintres pour organiser et financer leur manifestation. Parmi eux, Claude Monet, 33 ans. Il expose plusieurs peintures, dont l'une porte le numéro 98 dans le catalogue : « Impression, soleil levant ». Louis Leroy, un critique de 62 ans, n'y va pas de main morte. Le tableau ne lui plaît pas, et il cherche un bon mot : « Le papier peint à l'état embryonnaire est encore plus fait que cette marine-là ! » Le port du Havre à l'aube par Monet, même pas du niveau d'un papier peint...
Toujours ce même verbiage pompeux (dont je ne suis pas sûr qu'il n'ait pas été pompé !). Du vent, c'est ce que tu sembles capable de produire. Mais hélas, pas la moindre photographie démonstrative, bien en rapport avec le sujet traité. C'est tout de même dommage dans ce forum consacré à la photographie. -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
La photo est réussie, mais le sujet a été victime d'un accident
classique de brumisation !
Plus je te lis, plus tu rentres dans la case Louis Leroy :
Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés. Ils détestent
tout, surtout les plus doués qu'eux. Ils deviennent parfois critiques
d'art et se vengent. Le 15 avril 1874, une exposition réunit, dans
l'ancien local du photographe Nadar, 35, boulevard des Capucines à
Paris, une trentaine de peintres refusés par le salon officiel
académique. Ils ont créé ensemble une Société anonyme coopérative
d'artistes peintres pour organiser et financer leur manifestation.
Parmi eux, Claude Monet, 33 ans. Il expose plusieurs peintures, dont
l'une porte le numéro 98 dans le catalogue : « Impression, soleil
levant ». Louis Leroy, un critique de 62 ans, n'y va pas de main morte.
Le tableau ne lui plaît pas, et il cherche un bon mot : « Le papier
peint à l'état embryonnaire est encore plus fait que cette marine-là ! »
Le port du Havre à l'aube par Monet, même pas du niveau d'un papier
peint...
Toujours ce même verbiage pompeux (dont je ne suis pas sûr qu'il n'ait
pas été pompé !). Du vent, c'est ce que tu sembles capable de produire.
Mais hélas, pas la moindre photographie démonstrative, bien en rapport
avec le sujet traité. C'est tout de même dommage dans ce forum consacré
à la photographie.
--
Jacques DASSIÉ
Toujours sçavoir plus
http://archaero.com/
Tu as déjà fait de la macro dans ta vie ? La photo est réussie, mais le sujet a été victime d'un accident classique de brumisation !
Plus je te lis, plus tu rentres dans la case Louis Leroy : Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés. Ils détestent tout, surtout les plus doués qu'eux. Ils deviennent parfois critiques d'art et se vengent. Le 15 avril 1874, une exposition réunit, dans l'ancien local du photographe Nadar, 35, boulevard des Capucines à Paris, une trentaine de peintres refusés par le salon officiel académique. Ils ont créé ensemble une Société anonyme coopérative d'artistes peintres pour organiser et financer leur manifestation. Parmi eux, Claude Monet, 33 ans. Il expose plusieurs peintures, dont l'une porte le numéro 98 dans le catalogue : « Impression, soleil levant ». Louis Leroy, un critique de 62 ans, n'y va pas de main morte. Le tableau ne lui plaît pas, et il cherche un bon mot : « Le papier peint à l'état embryonnaire est encore plus fait que cette marine-là ! » Le port du Havre à l'aube par Monet, même pas du niveau d'un papier peint...
Toujours ce même verbiage pompeux (dont je ne suis pas sûr qu'il n'ait pas été pompé !). Du vent, c'est ce que tu sembles capable de produire. Mais hélas, pas la moindre photographie démonstrative, bien en rapport avec le sujet traité. C'est tout de même dommage dans ce forum consacré à la photographie. -- Jacques DASSIÉ Toujours sçavoir plus http://archaero.com/
Bindarret
Le 05/02/2019 à 20:44, Benoit a écrit :
Plus je te lis, plus tu rentres dans la case Louis Leroy : Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés. Ils détestent tout, surtout les plus doués qu'eux. Ils deviennent parfois critiques d'art et se vengent. Le 15 avril 1874, une exposition réunit, dans l'ancien local du photographe Nadar, 35, boulevard des Capucines à Paris, une trentaine de peintres refusés par le salon officiel académique. Ils ont créé ensemble une Société anonyme coopérative d'artistes peintres pour organiser et financer leur manifestation. Parmi eux, Claude Monet, 33 ans. Il expose plusieurs peintures, dont l'une porte le numéro 98 dans le catalogue : « Impression, soleil levant ». Louis Leroy, un critique de 62 ans, n'y va pas de main morte. Le tableau ne lui plaît pas, et il cherche un bon mot : « Le papier peint à l'état embryonnaire est encore plus fait que cette marine-là ! » Le port du Havre à l'aube par Monet, même pas du niveau d'un papier peint...
Charlot, couché ! http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/et-monet-fit-grande-impression-16-08-2016-6043373.php -- Bindarret Une mauvaise photo qui rappelle vos traits vaut mieux qu'un beau paysage qui ne vous ressemble pas. [Pierre Dac]
Le 05/02/2019 à 20:44, Benoit a écrit :
Plus je te lis, plus tu rentres dans la case Louis Leroy :
Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés. Ils détestent
tout, surtout les plus doués qu'eux. Ils deviennent parfois critiques
d'art et se vengent. Le 15 avril 1874, une exposition réunit, dans
l'ancien local du photographe Nadar, 35, boulevard des Capucines à
Paris, une trentaine de peintres refusés par le salon officiel
académique. Ils ont créé ensemble une Société anonyme coopérative
d'artistes peintres pour organiser et financer leur manifestation.
Parmi eux, Claude Monet, 33 ans. Il expose plusieurs peintures, dont
l'une porte le numéro 98 dans le catalogue : « Impression, soleil
levant ». Louis Leroy, un critique de 62 ans, n'y va pas de main morte.
Le tableau ne lui plaît pas, et il cherche un bon mot : « Le papier
peint à l'état embryonnaire est encore plus fait que cette marine-là ! »
Le port du Havre à l'aube par Monet, même pas du niveau d'un papier
peint...
Plus je te lis, plus tu rentres dans la case Louis Leroy : Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés. Ils détestent tout, surtout les plus doués qu'eux. Ils deviennent parfois critiques d'art et se vengent. Le 15 avril 1874, une exposition réunit, dans l'ancien local du photographe Nadar, 35, boulevard des Capucines à Paris, une trentaine de peintres refusés par le salon officiel académique. Ils ont créé ensemble une Société anonyme coopérative d'artistes peintres pour organiser et financer leur manifestation. Parmi eux, Claude Monet, 33 ans. Il expose plusieurs peintures, dont l'une porte le numéro 98 dans le catalogue : « Impression, soleil levant ». Louis Leroy, un critique de 62 ans, n'y va pas de main morte. Le tableau ne lui plaît pas, et il cherche un bon mot : « Le papier peint à l'état embryonnaire est encore plus fait que cette marine-là ! » Le port du Havre à l'aube par Monet, même pas du niveau d'un papier peint...
Charlot, couché ! http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/et-monet-fit-grande-impression-16-08-2016-6043373.php -- Bindarret Une mauvaise photo qui rappelle vos traits vaut mieux qu'un beau paysage qui ne vous ressemble pas. [Pierre Dac]
Tu as déjà fait de la macro dans ta vie ? La photo est réussie, mais le sujet a été victime d'un accident classique de brumisation !
Plus je te lis, plus tu rentres dans la case Louis Leroy : Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés. Ils détestent tout, surtout les plus doués qu'eux. Ils deviennent parfois critiques d'art et se vengent. Le 15 avril 1874, une exposition réunit, dans l'ancien local du photographe Nadar, 35, boulevard des Capucines à Paris, une trentaine de peintres refusés par le salon officiel académique. Ils ont créé ensemble une Société anonyme coopérative d'artistes peintres pour organiser et financer leur manifestation. Parmi eux, Claude Monet, 33 ans. Il expose plusieurs peintures, dont l'une porte le numéro 98 dans le catalogue : « Impression, soleil levant ». Louis Leroy, un critique de 62 ans, n'y va pas de main morte. Le tableau ne lui plaît pas, et il cherche un bon mot : « Le papier peint à l'état embryonnaire est encore plus fait que cette marine-là ! » Le port du Havre à l'aube par Monet, même pas du niveau d'un papier peint...
Toujours ce même verbiage pompeux (dont je ne suis pas sûr qu'il n'ait pas été pompé !). Du vent, c'est ce que tu sembles capable de produire.
Ma citation date, en partie principale, d'avril 1874. Je pensais, espèrais, priais, que tu comprennes, tout seul, qu'il s'agissait d'une citation. Puisqu'il faut te prendre par la main pour tirer le bon grain de l'ivraie, où tu te complais avec aisance, voici l'origine du texte : <http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/et-monet-fit-grande-impression-16-08-2016-6043373.php>
Mais hélas, pas la moindre photographie démonstrative, bien en rapport avec le sujet traité. C'est tout de même dommage dans ce forum consacré à la photographie.
Donc, d'après Jacquot Photo, quand on aime une photo, on doit démontrer, justifier pourquoi on aime ? Je dois TE prouver que j'aime une photo par une autre photo qui prouve ma sincérité ? Alors, démontres-nous qu'il s'agit bien « d'un accident classique de brumisation ». Sois à-même de faire ce que tu rappoches aux autres, ce qui te permet de te moquer d'eux. Jacquot, tu sais faire de superbe photos que j'envie, mais tu baisses tes qualités en me critiquant sans aucun argument. Un peu comme si je disais que t'étais trop petit. En hauteur, bien sûr, votre Altesse. Et Paf ! Le chien (pour ceux qui ont une culture assez large). -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
Jacques DASSIÉ <jacques.dassie@free.fr> wrote:
Dans son message précédent, Benoit a écrit :
> Jacques DASSIÉ <jacques.dassie@free.fr> wrote:
>
>> Benoit a émis l'idée suivante :
>>> jdd <jdd@dodin.org> wrote:
>>>
>>>> https://www.deviantart.com/martinamm/art/ugly-beauty-75637353
>>>
>>> Un grand très très grand merci.
>>>
>>> +10
>>
>> Tu as déjà fait de la macro dans ta vie ?
>>
>> La photo est réussie, mais le sujet a été victime d'un accident
>> classique de brumisation !
>
> Plus je te lis, plus tu rentres dans la case Louis Leroy :
>
> Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés. Ils détestent
> tout, surtout les plus doués qu'eux. Ils deviennent parfois critiques
> d'art et se vengent. Le 15 avril 1874, une exposition réunit, dans
> l'ancien local du photographe Nadar, 35, boulevard des Capucines à
> Paris, une trentaine de peintres refusés par le salon officiel
> académique. Ils ont créé ensemble une Société anonyme coopérative
> d'artistes peintres pour organiser et financer leur manifestation.
>
> Parmi eux, Claude Monet, 33 ans. Il expose plusieurs peintures, dont
> l'une porte le numéro 98 dans le catalogue : « Impression, soleil
> levant ». Louis Leroy, un critique de 62 ans, n'y va pas de main morte.
> Le tableau ne lui plaît pas, et il cherche un bon mot : « Le papier
> peint à l'état embryonnaire est encore plus fait que cette marine-là ! »
> Le port du Havre à l'aube par Monet, même pas du niveau d'un papier
> peint...
>
Toujours ce même verbiage pompeux (dont je ne suis pas sûr qu'il n'ait
pas été pompé !). Du vent, c'est ce que tu sembles capable de produire.
Ma citation date, en partie principale, d'avril 1874. Je pensais,
espèrais, priais, que tu comprennes, tout seul, qu'il s'agissait d'une
citation. Puisqu'il faut te prendre par la main pour tirer le bon grain
de l'ivraie, où tu te complais avec aisance, voici l'origine du texte :
<http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/et-monet-fit-grande-impression-16-08-2016-6043373.php>
Mais hélas, pas la moindre photographie démonstrative, bien en rapport
avec le sujet traité. C'est tout de même dommage dans ce forum consacré
à la photographie.
Donc, d'après Jacquot Photo, quand on aime une photo, on doit démontrer,
justifier pourquoi on aime ? Je dois TE prouver que j'aime une photo par
une autre photo qui prouve ma sincérité ? Alors, démontres-nous qu'il
s'agit bien « d'un accident classique de brumisation ». Sois à-même de
faire ce que tu rappoches aux autres, ce qui te permet de te moquer
d'eux.
Jacquot, tu sais faire de superbe photos que j'envie, mais tu baisses
tes qualités en me critiquant sans aucun argument. Un peu comme si je
disais que t'étais trop petit. En hauteur, bien sûr, votre Altesse.
Et Paf ! Le chien (pour ceux qui ont une culture assez large).
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
Tu as déjà fait de la macro dans ta vie ? La photo est réussie, mais le sujet a été victime d'un accident classique de brumisation !
Plus je te lis, plus tu rentres dans la case Louis Leroy : Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés. Ils détestent tout, surtout les plus doués qu'eux. Ils deviennent parfois critiques d'art et se vengent. Le 15 avril 1874, une exposition réunit, dans l'ancien local du photographe Nadar, 35, boulevard des Capucines à Paris, une trentaine de peintres refusés par le salon officiel académique. Ils ont créé ensemble une Société anonyme coopérative d'artistes peintres pour organiser et financer leur manifestation. Parmi eux, Claude Monet, 33 ans. Il expose plusieurs peintures, dont l'une porte le numéro 98 dans le catalogue : « Impression, soleil levant ». Louis Leroy, un critique de 62 ans, n'y va pas de main morte. Le tableau ne lui plaît pas, et il cherche un bon mot : « Le papier peint à l'état embryonnaire est encore plus fait que cette marine-là ! » Le port du Havre à l'aube par Monet, même pas du niveau d'un papier peint...
Toujours ce même verbiage pompeux (dont je ne suis pas sûr qu'il n'ait pas été pompé !). Du vent, c'est ce que tu sembles capable de produire.
Ma citation date, en partie principale, d'avril 1874. Je pensais, espèrais, priais, que tu comprennes, tout seul, qu'il s'agissait d'une citation. Puisqu'il faut te prendre par la main pour tirer le bon grain de l'ivraie, où tu te complais avec aisance, voici l'origine du texte : <http://www.leparisien.fr/culture-loisirs/et-monet-fit-grande-impression-16-08-2016-6043373.php>
Mais hélas, pas la moindre photographie démonstrative, bien en rapport avec le sujet traité. C'est tout de même dommage dans ce forum consacré à la photographie.
Donc, d'après Jacquot Photo, quand on aime une photo, on doit démontrer, justifier pourquoi on aime ? Je dois TE prouver que j'aime une photo par une autre photo qui prouve ma sincérité ? Alors, démontres-nous qu'il s'agit bien « d'un accident classique de brumisation ». Sois à-même de faire ce que tu rappoches aux autres, ce qui te permet de te moquer d'eux. Jacquot, tu sais faire de superbe photos que j'envie, mais tu baisses tes qualités en me critiquant sans aucun argument. Un peu comme si je disais que t'étais trop petit. En hauteur, bien sûr, votre Altesse. Et Paf ! Le chien (pour ceux qui ont une culture assez large). -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
benoit
Bindarret wrote:
Le 05/02/2019 à 20:44, Benoit a écrit :
Plus je te lis, plus tu rentres dans la case Louis Leroy : Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés. Ils détestent tout, surtout les plus doués qu'eux. Ils deviennent parfois critiques d'art et se vengent. Le 15 avril 1874, une exposition réunit, dans l'ancien local du photographe Nadar, 35, boulevard des Capucines à Paris, une trentaine de peintres refusés par le salon officiel académique. Ils ont créé ensemble une Société anonyme coopérative d'artistes peintres pour organiser et financer leur manifestation. Parmi eux, Claude Monet, 33 ans. Il expose plusieurs peintures, dont l'une porte le numéro 98 dans le catalogue : « Impression, soleil levant ». Louis Leroy, un critique de 62 ans, n'y va pas de main morte. Le tableau ne lui plaît pas, et il cherche un bon mot : « Le papier peint à l'état embryonnaire est encore plus fait que cette marine-là ! » Le port du Havre à l'aube par Monet, même pas du niveau d'un papier peint...
Je l'ai dit dans un post parallèle au tien (y-me faut du temps pour répondre à Jacquot de façon à c'qu'y comprenne ce que je cause). Cela étant, je vais présenter mon dossier/photos à cette association pour exposer avec eux l'automne prochain. --
Bindarret Une mauvaise photo qui rappelle vos traits vaut mieux qu'un beau paysage qui ne vous ressemble pas. [Pierre Dac]
<https://citations.ouest-france.fr/citation-pierre-dac/mauvaise-photo-rappelle-vos-traits-89072.html> -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
Bindarret <bindarret@free.fr> wrote:
Le 05/02/2019 à 20:44, Benoit a écrit :
> Plus je te lis, plus tu rentres dans la case Louis Leroy :
>
> Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés. Ils détestent
> tout, surtout les plus doués qu'eux. Ils deviennent parfois critiques
> d'art et se vengent. Le 15 avril 1874, une exposition réunit, dans
> l'ancien local du photographe Nadar, 35, boulevard des Capucines à
> Paris, une trentaine de peintres refusés par le salon officiel
> académique. Ils ont créé ensemble une Société anonyme coopérative
> d'artistes peintres pour organiser et financer leur manifestation.
>
> Parmi eux, Claude Monet, 33 ans. Il expose plusieurs peintures, dont
> l'une porte le numéro 98 dans le catalogue : « Impression, soleil
> levant ». Louis Leroy, un critique de 62 ans, n'y va pas de main morte.
> Le tableau ne lui plaît pas, et il cherche un bon mot : « Le papier
> peint à l'état embryonnaire est encore plus fait que cette marine-là ! »
> Le port du Havre à l'aube par Monet, même pas du niveau d'un papier
> peint...
Plus je te lis, plus tu rentres dans la case Louis Leroy : Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés. Ils détestent tout, surtout les plus doués qu'eux. Ils deviennent parfois critiques d'art et se vengent. Le 15 avril 1874, une exposition réunit, dans l'ancien local du photographe Nadar, 35, boulevard des Capucines à Paris, une trentaine de peintres refusés par le salon officiel académique. Ils ont créé ensemble une Société anonyme coopérative d'artistes peintres pour organiser et financer leur manifestation. Parmi eux, Claude Monet, 33 ans. Il expose plusieurs peintures, dont l'une porte le numéro 98 dans le catalogue : « Impression, soleil levant ». Louis Leroy, un critique de 62 ans, n'y va pas de main morte. Le tableau ne lui plaît pas, et il cherche un bon mot : « Le papier peint à l'état embryonnaire est encore plus fait que cette marine-là ! » Le port du Havre à l'aube par Monet, même pas du niveau d'un papier peint...
Je l'ai dit dans un post parallèle au tien (y-me faut du temps pour répondre à Jacquot de façon à c'qu'y comprenne ce que je cause). Cela étant, je vais présenter mon dossier/photos à cette association pour exposer avec eux l'automne prochain. --
Bindarret Une mauvaise photo qui rappelle vos traits vaut mieux qu'un beau paysage qui ne vous ressemble pas. [Pierre Dac]
<https://citations.ouest-france.fr/citation-pierre-dac/mauvaise-photo-rappelle-vos-traits-89072.html> -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
Tu as déjà fait de la macro dans ta vie ? La photo est réussie, mais le sujet a été victime d'un accident classique de brumisation !
tu te dis pas juste 2s qu'à ce niveau de gouttelette, c'est tout sauf un accident ?? et que la photo n'aurait aucun interet sans les gouttes ? (là je t'en demande beaucoup).
Tu as déjà fait de la macro dans ta vie ? La photo est réussie, mais le sujet a été victime d'un accident classique de brumisation !
tu te dis pas juste 2s qu'à ce niveau de gouttelette, c'est tout sauf un accident ?? et que la photo n'aurait aucun interet sans les gouttes ? (là je t'en demande beaucoup).
Stephane Legras-Decussy
Le 05/02/2019 20:44, Benoit a écrit :
Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés.
là tu te trompes, il n'a sincèrement aucune velléité artistique, il croit juste que faire une photo documentaire d'un truc déja 1000 fois documenté en mieux, a un quelconque interet. c'est pas de l'aigreur, c'est juste de la mort cérébrale.
Le 05/02/2019 20:44, Benoit a écrit :
Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés.
là tu te trompes, il n'a sincèrement aucune velléité artistique, il
croit juste que faire une photo documentaire d'un truc déja 1000 fois
documenté en mieux, a un quelconque interet.
c'est pas de l'aigreur, c'est juste de la mort cérébrale.
Méfiez-vousdes peintres ratés, comme des écrivains ratés.
là tu te trompes, il n'a sincèrement aucune velléité artistique, il croit juste que faire une photo documentaire d'un truc déja 1000 fois documenté en mieux, a un quelconque interet. c'est pas de l'aigreur, c'est juste de la mort cérébrale.
