Existe-t-il un maximum à la température de brillance d'un astre ou d'un
objet (en visible, pas en radio) ?
Existe-t-il un maximum à la température de brillance d'un astre ou d'un
objet (en visible, pas en radio) ?
Existe-t-il un maximum à la température de brillance d'un astre ou d'un
objet (en visible, pas en radio) ?
Existe-t-il un maximum à la température de brillance d'un astre ou
d'un objet (en visible, pas en radio) ?
Jean-Pierre Roche wrote pour Thierry :
? tu es certain de ne pas t'être trompé de forum là ?
Existe-t-il un maximum à la température de brillance d'un astre ou
d'un objet (en visible, pas en radio) ?
Jean-Pierre Roche wrote pour Thierry :
? tu es certain de ne pas t'être trompé de forum là ?
Existe-t-il un maximum à la température de brillance d'un astre ou
d'un objet (en visible, pas en radio) ?
Jean-Pierre Roche wrote pour Thierry :
? tu es certain de ne pas t'être trompé de forum là ?
Existe-t-il un maximum à la température de brillance d'un astre ou d'un
objet (en visible, pas en radio) ?
Jean-Pierre Roche wrote pour Thierry :
? tu es certain de ne pas t'être trompé de forum là ?
Bin, p'têt'pas !
La réponse est qu'il n'y a pas de limite théorique, pourvu qu'on ait un
réchaud suffisamment énergique pour pousser l'ébullition. Les astronomes
tutoient des objets avec des T visibles jusqu'à 100 000K.
nucléaires vont bien plus loin, mais leurs objets (couches internes des
étoiles, plasmas de fusion) sont (heureusement) masqués par des couches
externes plus calmes. Il y a bien la soupe primordiale du big-bang sur
laquelle tout le monde devait être en prise directe, mais c'est trop tard
maintenant, la soupe a beaucoup refroidi.
Charles
Existe-t-il un maximum à la température de brillance d'un astre ou d'un
objet (en visible, pas en radio) ?
Jean-Pierre Roche wrote pour Thierry :
? tu es certain de ne pas t'être trompé de forum là ?
Bin, p'têt'pas !
La réponse est qu'il n'y a pas de limite théorique, pourvu qu'on ait un
réchaud suffisamment énergique pour pousser l'ébullition. Les astronomes
tutoient des objets avec des T visibles jusqu'à 100 000K.
nucléaires vont bien plus loin, mais leurs objets (couches internes des
étoiles, plasmas de fusion) sont (heureusement) masqués par des couches
externes plus calmes. Il y a bien la soupe primordiale du big-bang sur
laquelle tout le monde devait être en prise directe, mais c'est trop tard
maintenant, la soupe a beaucoup refroidi.
Charles
Existe-t-il un maximum à la température de brillance d'un astre ou d'un
objet (en visible, pas en radio) ?
Jean-Pierre Roche wrote pour Thierry :
? tu es certain de ne pas t'être trompé de forum là ?
Bin, p'têt'pas !
La réponse est qu'il n'y a pas de limite théorique, pourvu qu'on ait un
réchaud suffisamment énergique pour pousser l'ébullition. Les astronomes
tutoient des objets avec des T visibles jusqu'à 100 000K.
nucléaires vont bien plus loin, mais leurs objets (couches internes des
étoiles, plasmas de fusion) sont (heureusement) masqués par des couches
externes plus calmes. Il y a bien la soupe primordiale du big-bang sur
laquelle tout le monde devait être en prise directe, mais c'est trop tard
maintenant, la soupe a beaucoup refroidi.
Charles
Le problème est que les astrophysiciens comptant parmi mes relations me
certifient que parler de température de couleur sans lien avec le corps noir
est une ineptie sur le plan physique. Même mes contacts US confirment.
Ce qu'il me faut c'est le point de vue de photographes, ou d'un autre
disciple d'une technique visuelle utilisant ces concepts.
J'ignore tout de la "température de brillance". En revanche je vois
Le problème est que les astrophysiciens comptant parmi mes relations me
certifient que parler de température de couleur sans lien avec le corps noir
est une ineptie sur le plan physique. Même mes contacts US confirment.
Ce qu'il me faut c'est le point de vue de photographes, ou d'un autre
disciple d'une technique visuelle utilisant ces concepts.
J'ignore tout de la "température de brillance". En revanche je vois
Le problème est que les astrophysiciens comptant parmi mes relations me
certifient que parler de température de couleur sans lien avec le corps noir
est une ineptie sur le plan physique. Même mes contacts US confirment.
Ce qu'il me faut c'est le point de vue de photographes, ou d'un autre
disciple d'une technique visuelle utilisant ces concepts.
J'ignore tout de la "température de brillance". En revanche je vois
Le problème est que les astrophysiciens comptant parmi mes relations
me certifient que parler de température de couleur sans lien avec le
corps noir est une ineptie sur le plan physique. Même mes contacts US
confirment.
Ce qu'il me faut c'est le point de vue de photographes, ou d'un autre
disciple d'une technique visuelle utilisant ces concepts.
J'ignore tout de la "température de brillance". En revanche je vois
assez bien ce qu'est une température de couleur qui est au programme de
la classe de 3e... Je confirme que parler de température de couleur
d'autre chose qu'un radiateur planckien (c'est à dire un "corps noir")
c'est tout à fait déconnant.
Le problème est que les astrophysiciens comptant parmi mes relations
me certifient que parler de température de couleur sans lien avec le
corps noir est une ineptie sur le plan physique. Même mes contacts US
confirment.
Ce qu'il me faut c'est le point de vue de photographes, ou d'un autre
disciple d'une technique visuelle utilisant ces concepts.
J'ignore tout de la "température de brillance". En revanche je vois
assez bien ce qu'est une température de couleur qui est au programme de
la classe de 3e... Je confirme que parler de température de couleur
d'autre chose qu'un radiateur planckien (c'est à dire un "corps noir")
c'est tout à fait déconnant.
Le problème est que les astrophysiciens comptant parmi mes relations
me certifient que parler de température de couleur sans lien avec le
corps noir est une ineptie sur le plan physique. Même mes contacts US
confirment.
Ce qu'il me faut c'est le point de vue de photographes, ou d'un autre
disciple d'une technique visuelle utilisant ces concepts.
J'ignore tout de la "température de brillance". En revanche je vois
assez bien ce qu'est une température de couleur qui est au programme de
la classe de 3e... Je confirme que parler de température de couleur
d'autre chose qu'un radiateur planckien (c'est à dire un "corps noir")
c'est tout à fait déconnant.
Sansame wrote:Le problème est que les astrophysiciens comptant parmi mes relations me
certifient que parler de température de couleur sans lien avec le corps
noir est une ineptie sur le plan physique. Même mes contacts US
confirment.
Ce qu'il me faut c'est le point de vue de photographes, ou d'un autre
disciple d'une technique visuelle utilisant ces concepts.
J'ignore tout de la "température de brillance". En revanche je vois assez
bien ce qu'est une température de couleur qui est au programme de la classe
de 3e... Je confirme que parler de température de couleur d'autre chose
qu'un radiateur planckien (c'est à dire un "corps noir") c'est tout à fait
déconnant.
(ii) Par contre, la température de couleur dont parlent les photographes dans
la vie de tous les jours serait plutôt la CCT (correlated color temperature).
La CCT d'un illuminant est la température à laquelle il faut porter un corps
noir pour que sa couleur soit «la plus proche» possible de la couleur de
l'illuminant en question.
"Correlated color température" se dit en français "température
Sansame wrote:
Le problème est que les astrophysiciens comptant parmi mes relations me
certifient que parler de température de couleur sans lien avec le corps
noir est une ineptie sur le plan physique. Même mes contacts US
confirment.
Ce qu'il me faut c'est le point de vue de photographes, ou d'un autre
disciple d'une technique visuelle utilisant ces concepts.
J'ignore tout de la "température de brillance". En revanche je vois assez
bien ce qu'est une température de couleur qui est au programme de la classe
de 3e... Je confirme que parler de température de couleur d'autre chose
qu'un radiateur planckien (c'est à dire un "corps noir") c'est tout à fait
déconnant.
(ii) Par contre, la température de couleur dont parlent les photographes dans
la vie de tous les jours serait plutôt la CCT (correlated color temperature).
La CCT d'un illuminant est la température à laquelle il faut porter un corps
noir pour que sa couleur soit «la plus proche» possible de la couleur de
l'illuminant en question.
"Correlated color température" se dit en français "température
Sansame wrote:Le problème est que les astrophysiciens comptant parmi mes relations me
certifient que parler de température de couleur sans lien avec le corps
noir est une ineptie sur le plan physique. Même mes contacts US
confirment.
Ce qu'il me faut c'est le point de vue de photographes, ou d'un autre
disciple d'une technique visuelle utilisant ces concepts.
J'ignore tout de la "température de brillance". En revanche je vois assez
bien ce qu'est une température de couleur qui est au programme de la classe
de 3e... Je confirme que parler de température de couleur d'autre chose
qu'un radiateur planckien (c'est à dire un "corps noir") c'est tout à fait
déconnant.
(ii) Par contre, la température de couleur dont parlent les photographes dans
la vie de tous les jours serait plutôt la CCT (correlated color temperature).
La CCT d'un illuminant est la température à laquelle il faut porter un corps
noir pour que sa couleur soit «la plus proche» possible de la couleur de
l'illuminant en question.
"Correlated color température" se dit en français "température