> Voilà un beau sujet de discussion qui va réduire certains arguments puiqu'il
> revient régulièrement f.c.r.s-f:-)
>
> Si un particulier laisse ouverte sa borne wifi à tout va, en laissant le
> libre accès à Internet que risque-t-il? Au sens du droit pénal,
Pour le fait de laisser libre accès : RIEN DU TOUT.
> Voilà un beau sujet de discussion qui va réduire certains arguments puiqu'il
> revient régulièrement f.c.r.s-f:-)
>
> Si un particulier laisse ouverte sa borne wifi à tout va, en laissant le
> libre accès à Internet que risque-t-il? Au sens du droit pénal,
Pour le fait de laisser libre accès : RIEN DU TOUT.
> Voilà un beau sujet de discussion qui va réduire certains arguments puiqu'il
> revient régulièrement f.c.r.s-f:-)
>
> Si un particulier laisse ouverte sa borne wifi à tout va, en laissant le
> libre accès à Internet que risque-t-il? Au sens du droit pénal,
Pour le fait de laisser libre accès : RIEN DU TOUT.
En laissant sciemment le libre accès, le particulier devient prestataire
de service au sens de l'article 43-7 de la loi sur la liberté de
communication avec les mêmes droits et devoirs qu'un FAI commercial.
En particulier, en prenant en compte la LEN, ses responsabilités pénale
et civile sont complètement engagées notamment dès lors qu'il ne peut
satisfaire aux réquisitions judiciaires concernant l'identification d'un
utilisateur.
En laissant sciemment le libre accès, le particulier devient prestataire
de service au sens de l'article 43-7 de la loi sur la liberté de
communication avec les mêmes droits et devoirs qu'un FAI commercial.
En particulier, en prenant en compte la LEN, ses responsabilités pénale
et civile sont complètement engagées notamment dès lors qu'il ne peut
satisfaire aux réquisitions judiciaires concernant l'identification d'un
utilisateur.
En laissant sciemment le libre accès, le particulier devient prestataire
de service au sens de l'article 43-7 de la loi sur la liberté de
communication avec les mêmes droits et devoirs qu'un FAI commercial.
En particulier, en prenant en compte la LEN, ses responsabilités pénale
et civile sont complètement engagées notamment dès lors qu'il ne peut
satisfaire aux réquisitions judiciaires concernant l'identification d'un
utilisateur.
> En particulier, en prenant en compte la LEN, ses responsabilités pénale
> et civile sont complètement engagées notamment dès lors qu'il ne peut
> satisfaire aux réquisitions judiciaires concernant l'identification d'un
> utilisateur.
oui. mais cette identification ne sera pas demandée sans problèmes.
donc le "seul fait" de mettre à disposition un accès n'est pas réprimandé.
> En particulier, en prenant en compte la LEN, ses responsabilités pénale
> et civile sont complètement engagées notamment dès lors qu'il ne peut
> satisfaire aux réquisitions judiciaires concernant l'identification d'un
> utilisateur.
oui. mais cette identification ne sera pas demandée sans problèmes.
donc le "seul fait" de mettre à disposition un accès n'est pas réprimandé.
> En particulier, en prenant en compte la LEN, ses responsabilités pénale
> et civile sont complètement engagées notamment dès lors qu'il ne peut
> satisfaire aux réquisitions judiciaires concernant l'identification d'un
> utilisateur.
oui. mais cette identification ne sera pas demandée sans problèmes.
donc le "seul fait" de mettre à disposition un accès n'est pas réprimandé.
Voilà un beau sujet de discussion qui va réduire certains arguments
puiqu'il
revient régulièrement f.c.r.s-f:-)
Si un particulier laisse ouverte sa borne wifi à tout va, en laissant le
libre accès à Internet que risque-t-il? Au sens du droit pénal,
absolument
rien, par contre en civil, on peut supposer qu'il peut être à l'origine
de
préjudice commis à autrui, comme un piratage, ou des abus techniques type
Spam... Mais comment prouver le lien avec ce préjudice? La chaîne de
causalité est un peu longue...
Vos avis de juristes;-)
Voilà un beau sujet de discussion qui va réduire certains arguments
puiqu'il
revient régulièrement f.c.r.s-f:-)
Si un particulier laisse ouverte sa borne wifi à tout va, en laissant le
libre accès à Internet que risque-t-il? Au sens du droit pénal,
absolument
rien, par contre en civil, on peut supposer qu'il peut être à l'origine
de
préjudice commis à autrui, comme un piratage, ou des abus techniques type
Spam... Mais comment prouver le lien avec ce préjudice? La chaîne de
causalité est un peu longue...
Vos avis de juristes;-)
Voilà un beau sujet de discussion qui va réduire certains arguments
puiqu'il
revient régulièrement f.c.r.s-f:-)
Si un particulier laisse ouverte sa borne wifi à tout va, en laissant le
libre accès à Internet que risque-t-il? Au sens du droit pénal,
absolument
rien, par contre en civil, on peut supposer qu'il peut être à l'origine
de
préjudice commis à autrui, comme un piratage, ou des abus techniques type
Spam... Mais comment prouver le lien avec ce préjudice? La chaîne de
causalité est un peu longue...
Vos avis de juristes;-)
Le Tue, 01 Jul 2003 18:07:15 +0200, david a écrit :Voilà un beau sujet de discussion qui va réduire certains arguments
puiqu'il
revient régulièrement f.c.r.s-f:-)
Si un particulier laisse ouverte sa borne wifi à tout va, en laissant le
libre accès à Internet que risque-t-il? Au sens du droit pénal,
Pour le fait de laisser libre accès : RIEN DU TOUT.
Pour le fait du piratage, la meme chose que si cela n'étais pas ouvert...
Le Tue, 01 Jul 2003 18:07:15 +0200, david a écrit :
Voilà un beau sujet de discussion qui va réduire certains arguments
puiqu'il
revient régulièrement f.c.r.s-f:-)
Si un particulier laisse ouverte sa borne wifi à tout va, en laissant le
libre accès à Internet que risque-t-il? Au sens du droit pénal,
Pour le fait de laisser libre accès : RIEN DU TOUT.
Pour le fait du piratage, la meme chose que si cela n'étais pas ouvert...
Le Tue, 01 Jul 2003 18:07:15 +0200, david a écrit :Voilà un beau sujet de discussion qui va réduire certains arguments
puiqu'il
revient régulièrement f.c.r.s-f:-)
Si un particulier laisse ouverte sa borne wifi à tout va, en laissant le
libre accès à Internet que risque-t-il? Au sens du droit pénal,
Pour le fait de laisser libre accès : RIEN DU TOUT.
Pour le fait du piratage, la meme chose que si cela n'étais pas ouvert...
De plus, faudrait vérifier, mais est-ce qu'un FAI n'est pas régi par un
système déclaratif ?
De plus, faudrait vérifier, mais est-ce qu'un FAI n'est pas régi par un
système déclaratif ?
De plus, faudrait vérifier, mais est-ce qu'un FAI n'est pas régi par un
système déclaratif ?
Je recommande la lecture du code des Postes et Télécommunications, article
L.34-2, je cite:
La fourniture au public des services de télécommunications autres que le
service téléphonique est libre sous réserve du respect des exigences
essentielles et des prescriptions relatives à la défense et à la sécurité
publique.
Je recommande la lecture du code des Postes et Télécommunications, article
L.34-2, je cite:
La fourniture au public des services de télécommunications autres que le
service téléphonique est libre sous réserve du respect des exigences
essentielles et des prescriptions relatives à la défense et à la sécurité
publique.
Je recommande la lecture du code des Postes et Télécommunications, article
L.34-2, je cite:
La fourniture au public des services de télécommunications autres que le
service téléphonique est libre sous réserve du respect des exigences
essentielles et des prescriptions relatives à la défense et à la sécurité
publique.
C'est un opérateur de télécommunication (régi par le Code des télécom) ou
un prestataire d'un accès à un service de communication en ligne (art 43-
7 de la loi de 86) ?
Un FAI est régi par la loi de 86, non ?
C'est un opérateur de télécommunication (régi par le Code des télécom) ou
un prestataire d'un accès à un service de communication en ligne (art 43-
7 de la loi de 86) ?
Un FAI est régi par la loi de 86, non ?
C'est un opérateur de télécommunication (régi par le Code des télécom) ou
un prestataire d'un accès à un service de communication en ligne (art 43-
7 de la loi de 86) ?
Un FAI est régi par la loi de 86, non ?
Nope. Et à ma connaissance un FAI (qui fournit de l'*accès*, pas du
contenu) relève de l'article L.34-2 du code des P&T, pas de la loi sur la
liberté de communication (qui s'applique elle aux fournisseurs de contenu
et hébergeurs, quelquefois appelés FSI). Mais je n'ai pas regardé la LEN et
ce qu'elle peut impliquer comme changements en ce sens.
Nope. Et à ma connaissance un FAI (qui fournit de l'*accès*, pas du
contenu) relève de l'article L.34-2 du code des P&T, pas de la loi sur la
liberté de communication (qui s'applique elle aux fournisseurs de contenu
et hébergeurs, quelquefois appelés FSI). Mais je n'ai pas regardé la LEN et
ce qu'elle peut impliquer comme changements en ce sens.
Nope. Et à ma connaissance un FAI (qui fournit de l'*accès*, pas du
contenu) relève de l'article L.34-2 du code des P&T, pas de la loi sur la
liberté de communication (qui s'applique elle aux fournisseurs de contenu
et hébergeurs, quelquefois appelés FSI). Mais je n'ai pas regardé la LEN et
ce qu'elle peut impliquer comme changements en ce sens.
Dans l'article , Jacques Caron
nous disait ...Nope. Et à ma connaissance un FAI (qui fournit de l'*accès*, pas du
contenu) relève de l'article L.34-2 du code des P&T, pas de la loi sur
la liberté de communication (qui s'applique elle aux fournisseurs de
contenu et hébergeurs, quelquefois appelés FSI). Mais je n'ai pas
regardé la LEN et ce qu'elle peut impliquer comme changements en ce
sens.
Il me semble bien qu'une partie des FSI est régi par le 43-8 tandis que
le FAI l'est par le 43-7 "fournir l'accès à un service de communication
en ligne autre que la correspondance privée". Un FAI assure bien un accès
au Web (par exemple), non ?
Dans l'article <oprrndf6fpq1hokb@news.free.fr>, Jacques Caron
<jc@imfeurope.com> nous disait ...
Nope. Et à ma connaissance un FAI (qui fournit de l'*accès*, pas du
contenu) relève de l'article L.34-2 du code des P&T, pas de la loi sur
la liberté de communication (qui s'applique elle aux fournisseurs de
contenu et hébergeurs, quelquefois appelés FSI). Mais je n'ai pas
regardé la LEN et ce qu'elle peut impliquer comme changements en ce
sens.
Il me semble bien qu'une partie des FSI est régi par le 43-8 tandis que
le FAI l'est par le 43-7 "fournir l'accès à un service de communication
en ligne autre que la correspondance privée". Un FAI assure bien un accès
au Web (par exemple), non ?
Dans l'article , Jacques Caron
nous disait ...Nope. Et à ma connaissance un FAI (qui fournit de l'*accès*, pas du
contenu) relève de l'article L.34-2 du code des P&T, pas de la loi sur
la liberté de communication (qui s'applique elle aux fournisseurs de
contenu et hébergeurs, quelquefois appelés FSI). Mais je n'ai pas
regardé la LEN et ce qu'elle peut impliquer comme changements en ce
sens.
Il me semble bien qu'une partie des FSI est régi par le 43-8 tandis que
le FAI l'est par le 43-7 "fournir l'accès à un service de communication
en ligne autre que la correspondance privée". Un FAI assure bien un accès
au Web (par exemple), non ?