Une nouvelle surprenante lorsqu’on sait qu’aucun véhicule viable de cette catégorie n’existe à ce jour. La législation ne permet pas aux futures voitures volantes de survoler les routes, mais elle leur permet de fonctionner comme un véhicule traditionnel sur la voie publique. Elle permet aux pilotes de demain de se rendre à l'aéroport pour pouvoir décoller vers le ciel.

Bien qu'elles n'existent pas aujourd'hui, il existe deux sociétés qui continuent de poursuivre activement la recherche en ce sens. Terrafugia est probablement le plus grand nom après que le Chinois Geely ait racheté la startup basée au Massachusetts. La société a déclaré qu'elle comptait 100 personnes travaillant sur son projet de voiture volante, et qu'elle envisageait le leadership dans la «mobilité aérienne urbaine».

 Voiture volante (1)

La seconde est Samson Sky, une startup basée dans l'Oregon qui avait initialement prévu de présenter sa voiture volante, la Switchblade, en 2019 après avoir fait sensation en 2018.

Bien que cela ne soit pas impossible, la mise en circulation des voitures volantes peut très rapidement devenir limitée. Il faudra une piste de décollage et d'atterrissage, le décollage vertical restant pour l’heure toujours à l'état de fiction.