Pour contrer cette objection, je propose l'utilisation d'une caméra
webcam. Il faut faire en sorte que, durant toute la procédure du vote
par l'électeur, il y ait une une continuité de la vision du temps
présent, du numéro d'identification de l'ordinateur, de
l'identification visuelle de l'électeur par la caméra et que de plus,
durant toute la succession des prises de vue, le fichier du vote
proprement dit puisse être intercalé entre deux vues. Il est ainsi
possible de vérifier que l'électeur est bien seul devant son
ordinateur et que personne vient interférer sur son activité. Cette
procédure est parfaitement sure si toutes les prises de vue sont
chiffrées et que le vecteur hash résultat d'une vue est reportée sur
la vue suivante.
A la réception des différents chiffrements à l'ordinateur serveur du
bureau de vote venant d'un même électeur, il est possible de vérifier
l'ordre de succession des chiffrements à l'aide des vecteurs hash de
chaque bloc chiffré. Ici il y a la nécessité de séparer les éléments
qui servent à vérifier, d'une part l'identité de l'électeur, et
d'autre part, ceux du vote proprement dit. On peut très bien imaginer
une vérification de la succession des différents éléments et, la
vérification étant faite, le logiciel effectue la suppression des
éléments de vérification. Il n'est plus possible à ce moment de
trouver la relation qui lie un fichier d'identification d'un électeur
à un fichier de vote d'un électeur. Le principe du secret du vote est
ainsi protégé. On suppose que les logiciels du serveur ont été
examinés à la loupe par des experts des différents partis qui
participent aux élections. Je ne crois pas qu'il faille mettre des
scellés sur les ordinateurs du serveur du bureau de vote, en effet, il
est parfaitement possible de calculer le vecteur hash des logiciels
sensibles et de les vérifier contradictoirement avant et après les
dépouillements.
Pour contrer cette objection, je propose l'utilisation d'une caméra
webcam. Il faut faire en sorte que, durant toute la procédure du vote
par l'électeur, il y ait une une continuité de la vision du temps
présent, du numéro d'identification de l'ordinateur, de
l'identification visuelle de l'électeur par la caméra et que de plus,
durant toute la succession des prises de vue, le fichier du vote
proprement dit puisse être intercalé entre deux vues. Il est ainsi
possible de vérifier que l'électeur est bien seul devant son
ordinateur et que personne vient interférer sur son activité. Cette
procédure est parfaitement sure si toutes les prises de vue sont
chiffrées et que le vecteur hash résultat d'une vue est reportée sur
la vue suivante.
A la réception des différents chiffrements à l'ordinateur serveur du
bureau de vote venant d'un même électeur, il est possible de vérifier
l'ordre de succession des chiffrements à l'aide des vecteurs hash de
chaque bloc chiffré. Ici il y a la nécessité de séparer les éléments
qui servent à vérifier, d'une part l'identité de l'électeur, et
d'autre part, ceux du vote proprement dit. On peut très bien imaginer
une vérification de la succession des différents éléments et, la
vérification étant faite, le logiciel effectue la suppression des
éléments de vérification. Il n'est plus possible à ce moment de
trouver la relation qui lie un fichier d'identification d'un électeur
à un fichier de vote d'un électeur. Le principe du secret du vote est
ainsi protégé. On suppose que les logiciels du serveur ont été
examinés à la loupe par des experts des différents partis qui
participent aux élections. Je ne crois pas qu'il faille mettre des
scellés sur les ordinateurs du serveur du bureau de vote, en effet, il
est parfaitement possible de calculer le vecteur hash des logiciels
sensibles et de les vérifier contradictoirement avant et après les
dépouillements.
Pour contrer cette objection, je propose l'utilisation d'une caméra
webcam. Il faut faire en sorte que, durant toute la procédure du vote
par l'électeur, il y ait une une continuité de la vision du temps
présent, du numéro d'identification de l'ordinateur, de
l'identification visuelle de l'électeur par la caméra et que de plus,
durant toute la succession des prises de vue, le fichier du vote
proprement dit puisse être intercalé entre deux vues. Il est ainsi
possible de vérifier que l'électeur est bien seul devant son
ordinateur et que personne vient interférer sur son activité. Cette
procédure est parfaitement sure si toutes les prises de vue sont
chiffrées et que le vecteur hash résultat d'une vue est reportée sur
la vue suivante.
A la réception des différents chiffrements à l'ordinateur serveur du
bureau de vote venant d'un même électeur, il est possible de vérifier
l'ordre de succession des chiffrements à l'aide des vecteurs hash de
chaque bloc chiffré. Ici il y a la nécessité de séparer les éléments
qui servent à vérifier, d'une part l'identité de l'électeur, et
d'autre part, ceux du vote proprement dit. On peut très bien imaginer
une vérification de la succession des différents éléments et, la
vérification étant faite, le logiciel effectue la suppression des
éléments de vérification. Il n'est plus possible à ce moment de
trouver la relation qui lie un fichier d'identification d'un électeur
à un fichier de vote d'un électeur. Le principe du secret du vote est
ainsi protégé. On suppose que les logiciels du serveur ont été
examinés à la loupe par des experts des différents partis qui
participent aux élections. Je ne crois pas qu'il faille mettre des
scellés sur les ordinateurs du serveur du bureau de vote, en effet, il
est parfaitement possible de calculer le vecteur hash des logiciels
sensibles et de les vérifier contradictoirement avant et après les
dépouillements.
À (at) Fri, 6 Feb 2009 01:51:19 -0800 (PST),
Emile écrivait (wrote):
Comment faites-vous pour garantir que, hors-champ, il n'y a pas
quelqu'un qui menace le votant ?
Tout le monde est capable de comprendre comment fonctionne
une urne transparente, un isoloir et des bulletins papier et peut,
s'il le souhaite, participer au décompte pour vérifier son bon
déroulement.
Comment cet expert est-il choisi ?
Si on me l'impose, en tant que citoyen, je garderais toujours un
doute sur la validité du vote. Si je peux le choisir, que fait-on si
mon expert déclare que le logiciel n'est pas acceptable ?
À (at) Fri, 6 Feb 2009 01:51:19 -0800 (PST),
Emile <emilemus...@gmail.com> écrivait (wrote):
Comment faites-vous pour garantir que, hors-champ, il n'y a pas
quelqu'un qui menace le votant ?
Tout le monde est capable de comprendre comment fonctionne
une urne transparente, un isoloir et des bulletins papier et peut,
s'il le souhaite, participer au décompte pour vérifier son bon
déroulement.
Comment cet expert est-il choisi ?
Si on me l'impose, en tant que citoyen, je garderais toujours un
doute sur la validité du vote. Si je peux le choisir, que fait-on si
mon expert déclare que le logiciel n'est pas acceptable ?
À (at) Fri, 6 Feb 2009 01:51:19 -0800 (PST),
Emile écrivait (wrote):
Comment faites-vous pour garantir que, hors-champ, il n'y a pas
quelqu'un qui menace le votant ?
Tout le monde est capable de comprendre comment fonctionne
une urne transparente, un isoloir et des bulletins papier et peut,
s'il le souhaite, participer au décompte pour vérifier son bon
déroulement.
Comment cet expert est-il choisi ?
Si on me l'impose, en tant que citoyen, je garderais toujours un
doute sur la validité du vote. Si je peux le choisir, que fait-on si
mon expert déclare que le logiciel n'est pas acceptable ?
On 6 fév, 11:57, Paul Gaborit wrote:À (at) Fri, 6 Feb 2009 01:51:19 -0800 (PST),
Emile écrivait (wrote):Comment faites-vous pour garantir que, hors-champ, il n'y a pas
quelqu'un qui menace le votant ?
Craindre qu'un jour un électeur participant à une procédure de
vote pourrait être menacé et ne pas être vu par la caméra frôle
la paranoïa, je le pense...
Tout le monde est capable de comprendre comment fonctionne
une urne transparente, un isoloir et des bulletins papier et peut,
s'il le souhaite, participer au décompte pour vérifier son bon
déroulement.
Il y a beaucoup plus de choses que je ne comprend pas que
des choses que je comprends réellement. Mais là où je ne
comprends pas tout, je fais confiance à mon expérience.
Quand je clique sur une URL, je ne connais pas toute la
succession de toutes les opérations qui sont engendrées
mais je fais confiance aux logiciels de mon ordinateur pour
obtenir le but désiré.
On 6 fév, 11:57, Paul Gaborit <Paul.Gabo...@invalid.invalid> wrote:
À (at) Fri, 6 Feb 2009 01:51:19 -0800 (PST),
Emile <emilemus...@gmail.com> écrivait (wrote):
Comment faites-vous pour garantir que, hors-champ, il n'y a pas
quelqu'un qui menace le votant ?
Craindre qu'un jour un électeur participant à une procédure de
vote pourrait être menacé et ne pas être vu par la caméra frôle
la paranoïa, je le pense...
Tout le monde est capable de comprendre comment fonctionne
une urne transparente, un isoloir et des bulletins papier et peut,
s'il le souhaite, participer au décompte pour vérifier son bon
déroulement.
Il y a beaucoup plus de choses que je ne comprend pas que
des choses que je comprends réellement. Mais là où je ne
comprends pas tout, je fais confiance à mon expérience.
Quand je clique sur une URL, je ne connais pas toute la
succession de toutes les opérations qui sont engendrées
mais je fais confiance aux logiciels de mon ordinateur pour
obtenir le but désiré.
On 6 fév, 11:57, Paul Gaborit wrote:À (at) Fri, 6 Feb 2009 01:51:19 -0800 (PST),
Emile écrivait (wrote):Comment faites-vous pour garantir que, hors-champ, il n'y a pas
quelqu'un qui menace le votant ?
Craindre qu'un jour un électeur participant à une procédure de
vote pourrait être menacé et ne pas être vu par la caméra frôle
la paranoïa, je le pense...
Tout le monde est capable de comprendre comment fonctionne
une urne transparente, un isoloir et des bulletins papier et peut,
s'il le souhaite, participer au décompte pour vérifier son bon
déroulement.
Il y a beaucoup plus de choses que je ne comprend pas que
des choses que je comprends réellement. Mais là où je ne
comprends pas tout, je fais confiance à mon expérience.
Quand je clique sur une URL, je ne connais pas toute la
succession de toutes les opérations qui sont engendrées
mais je fais confiance aux logiciels de mon ordinateur pour
obtenir le but désiré.
On 6 fév, 11:57, Paul Gaborit wrote:À (at) Fri, 6 Feb 2009 01:51:19 -0800 (PST),
Emile écrivait (wrote):Comment faites-vous pour garantir que, hors-champ, il n'y a pas
quelqu'un qui menace le votant ?
Craindre qu'un jour un électeur participant à une procédure de
vote pourrait être menacé et ne pas être vu par la caméra frôle
la paranoïa, je le pense...
Il y a beaucoup plus de choses que je ne comprend pas que
des choses que je comprends réellement. Mais là où je ne
comprends pas tout, je fais confiance à mon expérience.
Quand je clique sur une URL, je ne connais pas toute la
succession de toutes les opérations qui sont engendrées
mais je fais confiance aux logiciels de mon ordinateur pour
obtenir le but désiré.
Je ne suis pas un spécialiste en programmation,
mais je pense qu'il devrait avoir moyen de placer des tests
fonctionnant en permanence pour contrôler le bon
fonctionnement des logiciels.
J'ajouterai à mon commentaire que des sondages
d'opinion par internet, fonctionnant suivant les principes
des élections, seraient relativement facile à mettre en
oeuvre et nettement moins coûteux que des élections
papier.
Ces sondages auraient une valeur uniquement
indicative
et être fréquents s'il le faut. Ils seraient peut-être
plus efficaces que des grèves car celles-ci prennent en
otage des personnes qui ne sont pas toujours concernées
par les problèmes des autres.
On 6 fév, 11:57, Paul Gaborit <Paul.Gabo...@invalid.invalid> wrote:
À (at) Fri, 6 Feb 2009 01:51:19 -0800 (PST),
Emile <emilemus...@gmail.com> écrivait (wrote):
Comment faites-vous pour garantir que, hors-champ, il n'y a pas
quelqu'un qui menace le votant ?
Craindre qu'un jour un électeur participant à une procédure de
vote pourrait être menacé et ne pas être vu par la caméra frôle
la paranoïa, je le pense...
Il y a beaucoup plus de choses que je ne comprend pas que
des choses que je comprends réellement. Mais là où je ne
comprends pas tout, je fais confiance à mon expérience.
Quand je clique sur une URL, je ne connais pas toute la
succession de toutes les opérations qui sont engendrées
mais je fais confiance aux logiciels de mon ordinateur pour
obtenir le but désiré.
Je ne suis pas un spécialiste en programmation,
mais je pense qu'il devrait avoir moyen de placer des tests
fonctionnant en permanence pour contrôler le bon
fonctionnement des logiciels.
J'ajouterai à mon commentaire que des sondages
d'opinion par internet, fonctionnant suivant les principes
des élections, seraient relativement facile à mettre en
oeuvre et nettement moins coûteux que des élections
papier.
Ces sondages auraient une valeur uniquement
indicative
et être fréquents s'il le faut. Ils seraient peut-être
plus efficaces que des grèves car celles-ci prennent en
otage des personnes qui ne sont pas toujours concernées
par les problèmes des autres.
On 6 fév, 11:57, Paul Gaborit wrote:À (at) Fri, 6 Feb 2009 01:51:19 -0800 (PST),
Emile écrivait (wrote):Comment faites-vous pour garantir que, hors-champ, il n'y a pas
quelqu'un qui menace le votant ?
Craindre qu'un jour un électeur participant à une procédure de
vote pourrait être menacé et ne pas être vu par la caméra frôle
la paranoïa, je le pense...
Il y a beaucoup plus de choses que je ne comprend pas que
des choses que je comprends réellement. Mais là où je ne
comprends pas tout, je fais confiance à mon expérience.
Quand je clique sur une URL, je ne connais pas toute la
succession de toutes les opérations qui sont engendrées
mais je fais confiance aux logiciels de mon ordinateur pour
obtenir le but désiré.
Je ne suis pas un spécialiste en programmation,
mais je pense qu'il devrait avoir moyen de placer des tests
fonctionnant en permanence pour contrôler le bon
fonctionnement des logiciels.
J'ajouterai à mon commentaire que des sondages
d'opinion par internet, fonctionnant suivant les principes
des élections, seraient relativement facile à mettre en
oeuvre et nettement moins coûteux que des élections
papier.
Ces sondages auraient une valeur uniquement
indicative
et être fréquents s'il le faut. Ils seraient peut-être
plus efficaces que des grèves car celles-ci prennent en
otage des personnes qui ne sont pas toujours concernées
par les problèmes des autres.
Oserai-je ajouter qu'une dictature est encore moins coûteuse à mettre en
place ?
Oserai-je ajouter qu'une dictature est encore moins coûteuse à mettre en
place ?
Oserai-je ajouter qu'une dictature est encore moins coûteuse à mettre en
place ?
> oberthur a écrit :
> oberthur a écrit :
> oberthur a écrit :
oberthur a écrit :
pourquoi cette utilisation / usurpation / atteinte [RLMI]
d'un nom déposé de société ?
il me semble qui plus est qu'ils sont à Levallois, pas à Mantes.
oberthur a écrit :
pourquoi cette utilisation / usurpation / atteinte [RLMI]
d'un nom déposé de société ?
il me semble qui plus est qu'ils sont à Levallois, pas à Mantes.
oberthur a écrit :
pourquoi cette utilisation / usurpation / atteinte [RLMI]
d'un nom déposé de société ?
il me semble qui plus est qu'ils sont à Levallois, pas à Mantes.
On 6 fév, 11:57, Paul Gaborit wrote:À (at) Fri, 6 Feb 2009 01:51:19 -0800 (PST),
Emile écrivait (wrote):Comment faites-vous pour garantir que, hors-champ, il n'y a pas
quelqu'un qui menace le votant ?
Craindre qu'un jour un électeur participant à une procédure de
vote pourrait être menacé et ne pas être vu par la caméra frôle
la paranoïa, je le pense...
Tout le monde est capable de comprendre comment fonctionne
une urne transparente, un isoloir et des bulletins papier et peut,
s'il le souhaite, participer au décompte pour vérifier son bon
déroulement.
Il y a beaucoup plus de choses que je ne comprend pas que
des choses que je comprends réellement. Mais là où je ne
comprends pas tout, je fais confiance à mon expérience.
Quand je clique sur une URL, je ne connais pas toute la
succession de toutes les opérations qui sont engendrées
mais je fais confiance aux logiciels de mon ordinateur pour
obtenir le but désiré.
Comment cet expert est-il choisi ?
Si on me l'impose, en tant que citoyen, je garderais toujours un
doute sur la validité du vote. Si je peux le choisir, que fait-on si
mon expert déclare que le logiciel n'est pas acceptable ?
Un logiciel doit pouvoir être désassemblé et mis en pâture aux
experts. S'il y a une porte à la dérobée, elle sera certainement
démasquée. Je ne suis pas un spécialiste en programmation,
mais je pense qu'il devrait avoir moyen de placer des tests
fonctionnant en permanence pour contrôler le bon
fonctionnement des logiciels.
J'ajouterai à mon commentaire que des sondages
d'opinion par internet, fonctionnant suivant les principes
des élections, seraient relativement facile à mettre en
oeuvre et nettement moins coûteux que des élections
papier. Ces sondages auraient une valeur uniquement
indicative et être fréquents s'il le faut. Ils seraient peut-être
plus efficaces que des grèves car celles-ci prennent en
otage des personnes qui ne sont pas toujours concernées
par les problèmes des autres.
On 6 fév, 11:57, Paul Gaborit <Paul.Gabo...@invalid.invalid> wrote:
À (at) Fri, 6 Feb 2009 01:51:19 -0800 (PST),
Emile <emilemus...@gmail.com> écrivait (wrote):
Comment faites-vous pour garantir que, hors-champ, il n'y a pas
quelqu'un qui menace le votant ?
Craindre qu'un jour un électeur participant à une procédure de
vote pourrait être menacé et ne pas être vu par la caméra frôle
la paranoïa, je le pense...
Tout le monde est capable de comprendre comment fonctionne
une urne transparente, un isoloir et des bulletins papier et peut,
s'il le souhaite, participer au décompte pour vérifier son bon
déroulement.
Il y a beaucoup plus de choses que je ne comprend pas que
des choses que je comprends réellement. Mais là où je ne
comprends pas tout, je fais confiance à mon expérience.
Quand je clique sur une URL, je ne connais pas toute la
succession de toutes les opérations qui sont engendrées
mais je fais confiance aux logiciels de mon ordinateur pour
obtenir le but désiré.
Comment cet expert est-il choisi ?
Si on me l'impose, en tant que citoyen, je garderais toujours un
doute sur la validité du vote. Si je peux le choisir, que fait-on si
mon expert déclare que le logiciel n'est pas acceptable ?
Un logiciel doit pouvoir être désassemblé et mis en pâture aux
experts. S'il y a une porte à la dérobée, elle sera certainement
démasquée. Je ne suis pas un spécialiste en programmation,
mais je pense qu'il devrait avoir moyen de placer des tests
fonctionnant en permanence pour contrôler le bon
fonctionnement des logiciels.
J'ajouterai à mon commentaire que des sondages
d'opinion par internet, fonctionnant suivant les principes
des élections, seraient relativement facile à mettre en
oeuvre et nettement moins coûteux que des élections
papier. Ces sondages auraient une valeur uniquement
indicative et être fréquents s'il le faut. Ils seraient peut-être
plus efficaces que des grèves car celles-ci prennent en
otage des personnes qui ne sont pas toujours concernées
par les problèmes des autres.
On 6 fév, 11:57, Paul Gaborit wrote:À (at) Fri, 6 Feb 2009 01:51:19 -0800 (PST),
Emile écrivait (wrote):Comment faites-vous pour garantir que, hors-champ, il n'y a pas
quelqu'un qui menace le votant ?
Craindre qu'un jour un électeur participant à une procédure de
vote pourrait être menacé et ne pas être vu par la caméra frôle
la paranoïa, je le pense...
Tout le monde est capable de comprendre comment fonctionne
une urne transparente, un isoloir et des bulletins papier et peut,
s'il le souhaite, participer au décompte pour vérifier son bon
déroulement.
Il y a beaucoup plus de choses que je ne comprend pas que
des choses que je comprends réellement. Mais là où je ne
comprends pas tout, je fais confiance à mon expérience.
Quand je clique sur une URL, je ne connais pas toute la
succession de toutes les opérations qui sont engendrées
mais je fais confiance aux logiciels de mon ordinateur pour
obtenir le but désiré.
Comment cet expert est-il choisi ?
Si on me l'impose, en tant que citoyen, je garderais toujours un
doute sur la validité du vote. Si je peux le choisir, que fait-on si
mon expert déclare que le logiciel n'est pas acceptable ?
Un logiciel doit pouvoir être désassemblé et mis en pâture aux
experts. S'il y a une porte à la dérobée, elle sera certainement
démasquée. Je ne suis pas un spécialiste en programmation,
mais je pense qu'il devrait avoir moyen de placer des tests
fonctionnant en permanence pour contrôler le bon
fonctionnement des logiciels.
J'ajouterai à mon commentaire que des sondages
d'opinion par internet, fonctionnant suivant les principes
des élections, seraient relativement facile à mettre en
oeuvre et nettement moins coûteux que des élections
papier. Ces sondages auraient une valeur uniquement
indicative et être fréquents s'il le faut. Ils seraient peut-être
plus efficaces que des grèves car celles-ci prennent en
otage des personnes qui ne sont pas toujours concernées
par les problèmes des autres.
On Feb 6, 10:51 am, Emile wrote:
Si je préconise le vote par internet, c'est qu'il y a des personnes
handicapées (j'en suis malheureusement du nombre) pour qui se rendre à
un bureau de vote constitue de réelles difficultés.
Je ne crois pas
qu'aujourd'hui les mentalités des personnes soient déjà suffisamment
mûres pour le vote par internet, mais peut-être bien pour les sondages
d'opinions par internet.
Ceux-ci qui se pratiquent régulièrement aux
élections indiquent souvent de réelles tendances, mais parfois aussi
des grosses erreurs. Ces erreurs sont souvent dues à un
échantillonnage insuffisant ou mal diversifié. Le recours à de
sondages d'opinion réguliers et gratuits et offrants toutes les
sécurités de confidentialité constitueraient la meilleure connaissance
de l'opinion des gouvernés aux gouvernants et coûteraient nettement
moins cher à la société que les séquelles des grèves.
[...]
Si une personne se sent obligés de voter contre sa volonté
par le chef de famille, cette personne devrait toujours avoir
la possibilité du vote "papier". Donc pas de souci de ce coté là.
[...]
Les échanges de vues (Sylvain SF) concernant l'appellation "Oberthur"
constituent pour moi du verbiage pour ne pas dire des chamailleries.
On Feb 6, 10:51 am, Emile <emilemus...@gmail.com> wrote:
Si je préconise le vote par internet, c'est qu'il y a des personnes
handicapées (j'en suis malheureusement du nombre) pour qui se rendre à
un bureau de vote constitue de réelles difficultés.
Je ne crois pas
qu'aujourd'hui les mentalités des personnes soient déjà suffisamment
mûres pour le vote par internet, mais peut-être bien pour les sondages
d'opinions par internet.
Ceux-ci qui se pratiquent régulièrement aux
élections indiquent souvent de réelles tendances, mais parfois aussi
des grosses erreurs. Ces erreurs sont souvent dues à un
échantillonnage insuffisant ou mal diversifié. Le recours à de
sondages d'opinion réguliers et gratuits et offrants toutes les
sécurités de confidentialité constitueraient la meilleure connaissance
de l'opinion des gouvernés aux gouvernants et coûteraient nettement
moins cher à la société que les séquelles des grèves.
[...]
Si une personne se sent obligés de voter contre sa volonté
par le chef de famille, cette personne devrait toujours avoir
la possibilité du vote "papier". Donc pas de souci de ce coté là.
[...]
Les échanges de vues (Sylvain SF) concernant l'appellation "Oberthur"
constituent pour moi du verbiage pour ne pas dire des chamailleries.
On Feb 6, 10:51 am, Emile wrote:
Si je préconise le vote par internet, c'est qu'il y a des personnes
handicapées (j'en suis malheureusement du nombre) pour qui se rendre à
un bureau de vote constitue de réelles difficultés.
Je ne crois pas
qu'aujourd'hui les mentalités des personnes soient déjà suffisamment
mûres pour le vote par internet, mais peut-être bien pour les sondages
d'opinions par internet.
Ceux-ci qui se pratiquent régulièrement aux
élections indiquent souvent de réelles tendances, mais parfois aussi
des grosses erreurs. Ces erreurs sont souvent dues à un
échantillonnage insuffisant ou mal diversifié. Le recours à de
sondages d'opinion réguliers et gratuits et offrants toutes les
sécurités de confidentialité constitueraient la meilleure connaissance
de l'opinion des gouvernés aux gouvernants et coûteraient nettement
moins cher à la société que les séquelles des grèves.
[...]
Si une personne se sent obligés de voter contre sa volonté
par le chef de famille, cette personne devrait toujours avoir
la possibilité du vote "papier". Donc pas de souci de ce coté là.
[...]
Les échanges de vues (Sylvain SF) concernant l'appellation "Oberthur"
constituent pour moi du verbiage pour ne pas dire des chamailleries.