La violence contre les hommes ...
Le
Après rupture

> madox wrote:
>>"Toute violence est aveux de faiblesse", d'accord.
>>Qu'elle soit physique, verbale, etcetera
Dans cette affaire de Marie Trintignant on parle beaucoup
de la violence conter les femmes (une chroniqueuse
de la très gauchiste SRC vers 9h20 présente son émission
sans rapport avec cet incident en lançant « Une pensée
émue de solidarité avec Marie Trintignant [alors
dans le coma]. Encore une. ». Une quoi ?
Aujourd'hui, la Presse les lettres habituelles de hommes
culpabilisés « Quel gâchis! C'en est presque devenu une
honte d'être un homme. ».
On ne parle pas du rôle de la drogue véritable culture du
vedettariat et tant de nos élites « progressistes ».
On ne parle pas non plus de la violence faite aux hommes.
Or, par exemple, la totalité des hommes victimes de
violence de la part de leur conjointe au Québec n'ont
toujours pas accès à des services de soutien et
d'hébergement pour se sortir de leur enfer.
Pour régler le problème une fois pour toutes, les
gouvernements devraient consacrer au moins l’équivalent
des 100 millions de dollars donnés, année après année,
aux centres d’hébergement et autres organismes parrainés
par le Regroupement provincial des maisons d'hébergement
et de transition pour femmes victimes de violence
conjugale. Depuis toujours, les gouvernements n'ont
pris aucun engagement.
Rappelons que la violence conjugale commence bien
avant qu’un geste déplorable soit commis. La violence
conjugale se fait aussi en paroles et englobe
toutes les remarques déplacées qui sont proférées
en contexte familial [c'est la définition québécoise
qui vaut pour les sexes, d'abord dans l'espoir féministe
de hausser le nombre de violences contre les femmes, cette
définition semble se retourner contre elles], généralement
par la conjointe.
Par la suite la tension monte et le conjoint, dans la
plupart des cas, tente de prendre un peu de recul
alors que sa conjointe le harcèle pour tenter, par
tous les moyens, de maintenir un dialogue teinté
souvent de médisances et de calomnies. Les organismes
comme l’Après-Rupture s’efforcent, depuis des années,
d’obtenir de l’aide financière afin d’accueillir
et d’informer les hommes qui vivent une rupture.
Rappelons uniquement la grève de la faim entreprise
par Gordon Sawyer afin d’obtenir un tel financement.
Parmi les innombrables témoignages reçus, l’Après-
Rupture constate qu’une telle violence est présente
dans toutes les couches de la société et que son
effet est extrêmement dévastateur, tant au niveau
des parents que des enfants. C’est pourquoi
l’Après-Rupture exhorte les gouvernements à
s’impliquer davantage envers ceux qui constituent
la moitié de leur électorat. Les ressources
actuelles suffisent à peine à répondre aux cas
urgents.
Ainsi, à l'échelle québécoise, le quart des
hommes seraient victimes de violence conjugale
et 0,25 % d'entre eux arriveraient à trouver
l'aide dont ils ont besoin.
Parmi les mesures que l’Après-Rupture aimerait
voir implantées, on compte des services téléphoniques
de première ligne pour hommes, ouverts en tout temps;
des places en maisons d'hébergement et de transition;
des services d'accompagnement; un dépistage précoce
de la violence et des thérapies pour les
instigatrices.
L’Après-Rupture envisage d'entamer un recours
collectif contre les gouvernements s'il continuent
de faire fi de toute forme d'équité envers les
hommes dans l'aide aux conjoints et conjointes
en difficultés .
http://www.lapresrupture.qc.ca/
>>"Toute violence est aveux de faiblesse", d'accord.
>>Qu'elle soit physique, verbale, etcetera
Dans cette affaire de Marie Trintignant on parle beaucoup
de la violence conter les femmes (une chroniqueuse
de la très gauchiste SRC vers 9h20 présente son émission
sans rapport avec cet incident en lançant « Une pensée
émue de solidarité avec Marie Trintignant [alors
dans le coma]. Encore une. ». Une quoi ?
Aujourd'hui, la Presse les lettres habituelles de hommes
culpabilisés « Quel gâchis! C'en est presque devenu une
honte d'être un homme. ».
On ne parle pas du rôle de la drogue véritable culture du
vedettariat et tant de nos élites « progressistes ».
On ne parle pas non plus de la violence faite aux hommes.
Or, par exemple, la totalité des hommes victimes de
violence de la part de leur conjointe au Québec n'ont
toujours pas accès à des services de soutien et
d'hébergement pour se sortir de leur enfer.
Pour régler le problème une fois pour toutes, les
gouvernements devraient consacrer au moins l’équivalent
des 100 millions de dollars donnés, année après année,
aux centres d’hébergement et autres organismes parrainés
par le Regroupement provincial des maisons d'hébergement
et de transition pour femmes victimes de violence
conjugale. Depuis toujours, les gouvernements n'ont
pris aucun engagement.
Rappelons que la violence conjugale commence bien
avant qu’un geste déplorable soit commis. La violence
conjugale se fait aussi en paroles et englobe
toutes les remarques déplacées qui sont proférées
en contexte familial [c'est la définition québécoise
qui vaut pour les sexes, d'abord dans l'espoir féministe
de hausser le nombre de violences contre les femmes, cette
définition semble se retourner contre elles], généralement
par la conjointe.
Par la suite la tension monte et le conjoint, dans la
plupart des cas, tente de prendre un peu de recul
alors que sa conjointe le harcèle pour tenter, par
tous les moyens, de maintenir un dialogue teinté
souvent de médisances et de calomnies. Les organismes
comme l’Après-Rupture s’efforcent, depuis des années,
d’obtenir de l’aide financière afin d’accueillir
et d’informer les hommes qui vivent une rupture.
Rappelons uniquement la grève de la faim entreprise
par Gordon Sawyer afin d’obtenir un tel financement.
Parmi les innombrables témoignages reçus, l’Après-
Rupture constate qu’une telle violence est présente
dans toutes les couches de la société et que son
effet est extrêmement dévastateur, tant au niveau
des parents que des enfants. C’est pourquoi
l’Après-Rupture exhorte les gouvernements à
s’impliquer davantage envers ceux qui constituent
la moitié de leur électorat. Les ressources
actuelles suffisent à peine à répondre aux cas
urgents.
Ainsi, à l'échelle québécoise, le quart des
hommes seraient victimes de violence conjugale
et 0,25 % d'entre eux arriveraient à trouver
l'aide dont ils ont besoin.
Parmi les mesures que l’Après-Rupture aimerait
voir implantées, on compte des services téléphoniques
de première ligne pour hommes, ouverts en tout temps;
des places en maisons d'hébergement et de transition;
des services d'accompagnement; un dépistage précoce
de la violence et des thérapies pour les
instigatrices.
L’Après-Rupture envisage d'entamer un recours
collectif contre les gouvernements s'il continuent
de faire fi de toute forme d'équité envers les
hommes dans l'aide aux conjoints et conjointes
en difficultés .
http://www.lapresrupture.qc.ca/
pas
Ach... Je ne l'ai pas vu aujourd'hui, mais j'ai entendu dans la
voiture que c'est Montoya qui a gagné :-)
MH
pas
C'est pas mal non plus. Le but est d'en faire monter un max au plafond
:-))
MH
plafond
Eh...
:)
Madox
écoute Paulo ce qu'a voulu dire Bernardin de St-Pierre est que le mariage
100% heureux et la femme autant parfaite c'est rare en maudit
--
" Le rêveur préfère aller à pied sur la route qui deviendra celle de
ses souvenirs "
Extrait de Sous-Bois d'A.G.
là je sens que vous progressez ... si si
--
" Le rêveur préfère aller à pied sur la route qui deviendra celle de
ses souvenirs "
Extrait de Sous-Bois d'A.G.
oh je sensque nous allons recfevoir des coups de griffes
Tient ca me rapelle Hugo
qui disait ( très approximatif)je ne me rapelle plus dans quelle livre
Dieu pris tout son temps pour créé la femme et se retira satisfait de son
oeuvre
Le diable profitant du sommeil de celle-ci vint sur la pointe des pieds et
déposa des ongles au bout des doigt puis quitta en riant.
" Le rêveur préfère aller à pied sur la route qui deviendra celle de
ses souvenirs "
Extrait de Sous-Bois d'A.G.
Bernardin de Saint-Pierre n'a jamais voulu être que tu en fais pour
servir ta cause. Crisss, le gars a écrit Paul et Virginie en 1788 ou
la notion de bonheur dans le mariage n'alimentait que les discours de
salon de rares illuminés...
Hélas ! dit Virginie, je voulais rester ici toute ma vie; ma mère ne
l'a pas voulu. Mon confesseur m'a dit que la volonté de Dieu était que
je partisse; que la vie était une épreuve... Oh ! c'est une épreuve
bien dure !
Paul Rodgers
~~~~~~~~~~~~
« Finis les monuments aux morts ! Désormais, nous élèverons des monuments
aux vivants. Ils seront faits de notre indépendance et de notre liberté. »
Pierre Bourgault
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
;-)))
--
Natty
n'ont rien à voir avec le sujet ?
Citation intégrale postposée et suivi sur fsf.
Après rupture :
--
« Mê nun peri sauton ille tên gnômên aei, all' apokhala tên phrontid'
eis ton aera linodeton ôsper mêlolonthên tou podos » ARISTOPHANE
_______________________________________________________________
Vous cherchez les archives du forum ? http://groups.google.com/
Vous oubliez aussi de parler de la quantité d'homme se retrouvant du
jour au lendemain alcoolique dans les situations de divorce. Et quand les
féministes tombent sur un peigne cul de magistrat qui marche dans la combine
pour retirer les enfants au père elles ne manifestent pas dans les rues avec
indignation.
MH